Kitabı oku: «Gubi», sayfa 6

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La police a commencé la recherche de l’ex-épouse de Gubi. Cela n’était pas difficile, ils vivaient dans la même ville. Elle accepta de de coopérer. Aurore est donc venue au rendez vous fixé par la police, habillée dans un monté aux rouges avec des talons blancs, elle rentre dans le commissariat avec une sureté sur le visage.

–Bonjour, Monsieur dit elle d’une voix calme et rassurée.

– Bonjour, asseyez- vous et présentez-vous.

Après quelques minutes, tout en pleurant elle raconte :

– Cela fait qu’on est plus ensemble, et que je n’ai aucun lien avec Gubi, même si mon homme actuel est son patron, j’évite tout contact avec Gubi car notre séparation a été dure et depuis il n’accepte pas de divorcer avec moi officiellement, il fait tout pour me récupérer, il me harcèle, il dort sous notre maison, il m’appelle non stop… Dit-elle en pleurant. Les larmes coulant à flot de ses yeux, elle sortit un mouchoir de sa poche.

– Pourquoi vous ne vous êtes jamais adressée à la police pour harcèlement?

– C’est quand même mon ex, et je ne voulais pas lui causer du mal, Dit-elle encore plus fort. Il reste au fond de lui une bonne personne. Je le sais, sinon je ne l’aurais pas épousé. Mais aujourd’hui, je suis surprise qu’il est venu autant de fois vers vous et qu’il vous dit que c’est moi qui l’agresse, que dois-je faire ?

– Ne vous inquiétez pas, nous avons toutes les raisons de l’enfermer dans un centre spécialisé. Mais vous devez déposer une plainte pour harcèlement de sa part. Vous avez des preuves de ses appels ? Ou qu’il est venu chez vous ?

– J’ai changé de téléphone plein de fois, pour les appels cela sera difficile, mais mon homme peut vous prouver ma bonne foi.

– Très bien nous allons procéder au processus d’enregistrement de plainte.

– Bon cher collègues, je pense que nous avons toutes les raisons d’enfermer ce fou a l’hôpital.

– Prend contact avec le service concerné pour qu’ils viennent le chercher.

Aurore sortit du commissariat avec la même expression de visage calme et rassurée. Elle a sorti un paquet de cigarette fins de sa poche, et a mis une d’entre elles au coin de ses lèvres.

Soudain son téléphone sonne. Elle reprend la cigarette dans sa main et décroche.

– Bonjour, Madame Scotchev, c’est l’agence de location Cimtier, nous devons nous voir pour prolonger votre contrat de location de l’appartement rue de calvaire au 4ème étage. Pouvez-vous venir le signer ?

– Je viens ce soir. J’aime beaucoup cet appartement. Dit-elle en souriant.