Kitabı oku: «Programme des Épouses Interstellaires Coffret», sayfa 7
« Certaines personnes n’apprécient pas les soldats, la majeure partie des gens détestent la guerre qui règne sur Terre, mais pas les soldats en eux-mêmes. Notre peuple traite en général les soldats avec un immense respect. » Je souris et frissonne en m’entendant clamer ma cause, je reconnais les faits tels qu’ils sont, je m’y reconnais pleinement. « Qu’ils soient blessés ou non. »
Le silence des hommes qui m’entourent est étouffant, je retire ma main et m’éclaircis la gorge. Je regarde cette pièce étrange. Elle est circulaire, avec des vitres foncées s’élevant à mi-hauteur jusqu’au plafond. Le sol est gris anthracite, doux comme du marbre. Je n’aperçois pas de porte ni l’extérieur. On pourrait aussi bien être dans un vaisseau spatial qu’à des centaines de mètres sous terre. Impossible de le savoir.
« Qu’est-ce qu’on fabrique ici ? Pourquoi m’avoir emmenée dans cet horrible endroit ? »
La pièce n’est pas horrible, mais d’après ce qu’on dit, la Colonie c’est pas Disneyland. Je me demande à quoi ça ressemble derrière la porte.
« N’aie crainte, partenaire. Nous resterons ici uniquement le temps de s’assurer que tu vas bien, » promet Ander. Il se lève et vient à côté de moi mais il est tellement grand qu’il est obligé de se courber pour croiser mon regard. « Un vaisseau va nous transporter sur le cuirassé Deston. Mais avant de partir, le docteur va t’examiner afin de s’assurer que tu sois prête pour la cérémonie d’accouplement. »
Je fais immédiatement barrage. Mes blessures ne me font plus mal. C’est comme s’il ne m’était jamais rien arrivé. Tout va bien, hormis l’intérieur des cuisses un peu tendues peut-être. Je rougis en repensant aux doigts d’Ander qui me branlent. Il m’a baisée. Il m’a procuré orgasme sur orgasme. Non, c’est pas tout. Il aussi posé sa bouche sur ma chatte, m’a sucé, léché, brouté le clito jusqu’à ce que je jouisse. Le dernier souvenir que j’emporterai de Terre est celui où je me retrouve sur les genoux de Nial au centre de recrutement, les bouches de mes deux partenaires me faisant jouir.
Oh, mon Dieu, la Terre. Je ne suis plus sur Terre. Cette pensée est fugace, Ander me fait face et je sens la chaleur de Nial dans mon dos. Ils m’entourent, je ne vois plus l’autre homme dans la pièce. Il ne me manque pas. Son attitude m’a agacée, il a douté de mes capacités parce que je suis une femme.
« Je me sens bien. J’ai pas besoin qu’un docteur m’examine.
– Si, » rétorque Ander. Il se redresse et se dirige vers une table que je n’avais pas remarquée, placée derrière Nial. Ander pose ses mains sur la surface dure. Le docteur, toujours présent, extrait d’étranges objets des étagères alignées sur le mur. Je regarde autour de moi, nous sommes dans une salle d’examen, mon examen était prévu depuis le départ. Ils le savaient tous les trois.
Leur ‘on va regarder tes cicatrices’ n’était qu’une excuse. Il s’agit bel et bien d’un examen médical.
Vu le regard d’Ander, il ne risque pas de changer d’avis. Je pointe le menton vers Nial, espérant lui faire entendre raison. « Je me sens bien. Je t’assure. »
Il prend mon visage dans ses mains. « Tu t’es fait tirer dessus, Jessica, t’as été soignée par une baguette ReGen vieille comme Hérode. On aurait dû attendre avant d’entamer le processus d’accouplement mais on ne pouvait pas prévoir que tu réagirais aussi violemment. On ne t’a laissé aucune chance de récupérer après qu’on t’ait aspergé de sperme et transférée à l’autre bout de la galaxie. On ignore si tu as été endommagée pendant le transport. Je n’ai pas confiance en la baguette ReGen qui a servi à cicatriser ta peau ou des lésions internes invisibles à l’œil nu. Nous devons évaluer l’étendue des autres blessures.
– Quelles autres blessures ? Je me sens bien. » J’étrécis les yeux. De quoi il parle putain ? J’ai pas d’autres blessures.
« Tu portes de nombreuses cicatrices mon épouse guerrière. J’ignore si tu es totalement remise de tes blessures de guerre. Nous devons nous assurer que tu puisses tomber enceinte. Qu’on puisse te baiser selon nos envies. Tu as accepté notre sperme. L’accouplement a commencé mais ta réaction était plutôt … son regard sombre s’emplit d’un désir que je connais bien … extrême.
– C’est pas bien ? » demandais-je, confuse. Ils ne veulent pas d’une femme passionnée ?
« Nous savions que ton corps réagirait de façon unique, mais les sensations que tu as vécues lorsque nous avons frotté notre fluide sur ta peau ne sont rien comparées à ce que tu vas ressentir lorsque notre sperme sera en toi. »
Mon dieu, je risque de faire un infarctus si c’est encore plus intense. Mes seins se tendent, mes partenaires vont vite comprendre que je mouille.
Ander inspire profondément, je l’entends presque gronder dans la pièce. Putain, il sent que je mouille. Comment ils font ? Je serre les jambes mais je sais pertinemment que c’est inutile.
« On risque de te baiser plusieurs fois d’affilée. »
Je secoue la tête, j’essaie de mettre de l’ordre dans tout ce qui s’est passé depuis les dernières heures. Je me rappelle que Nial me tient et me touche. Je me rappelle le choc que j’ai éprouvé en voyant la bouche d’Ander sur mon sexe, la chaleur de leur sperme quand ils ont pris leurs bites dans leurs mains et m’ont aspergé dans leur simulacre d’accouplement primitif.
Après… tout devient confus. J’essaie de me souvenir qui tenait ma cuisse, qui suçait mes tétons, qui mettait sa main dans mes cheveux et qui me doigtait… tout se mêle en… un plaisir intense à couper le souffle. J’étais perdue, engloutie par ces hommes. Mes hommes, à en juger par leur accouplement. Mes partenaires. Je lève la tête, Nial me regarde de près.
« Tu ressens toujours notre connexion, partenaire. N’essaie pas de refouler tes désirs. Tu as hurlé dans mes bras, tes cris rauques de plaisir résonnent encore à mes oreilles. Je suis certes très heureux que tu sois si… submergée par notre connexion, mais ta réaction n’est pas celle que l’on attend d’une épouse Prillon. »
Je rougis intensément. Je sens la chaleur me monter au cou et aux joues. Inutile de me rappeler que j’ai adoré ce qu’ils m’ont fait. J’ai adoré chaque baiser, chaque caresse.
Apprendre que ma réaction n’est pas normale confirme ce que je soupçonnais déjà. Je n’ai pas l’étoffe d’une princesse. Si je ne suis pas capable de supporter l’intensité de leur sperme extraterrestre sur ma peau, ils n’ont qu’à aller se chercher une autre épouse ailleurs. J’ai perdu mon sang-froid et… je me suis évanouie puisque je ne me souviens plus de rien. Et ils ne m’ont pas encore sautée !
Ils m’ont procuré orgasme sur orgasme, c’était si intense que j’ai totalement perdu pied. J’ai oublié où j’étais, je m’en fichais complètement. J’ai perdu mon sang-froid, c’est dangereux. Ils auraient pu me faire n’importe quoi.
N’importe quoi. Je les aurais probablement suppliés encore plus.
« Ça ne justifie pas qu’on m’examine. C’est juste que vous étiez bons au lit, c’est tout, » balbutiais-je, finissant par admettre qu’Ander et lui m’avaient tout de même ébranlée. Je devrais plutôt voir un psy. Aucune femme ne s’attache si rapidement à deux hommes qu’elle vient juste de rencontrer. Aucune femme n’aurait permis qu’on lui fasse ce que je leur ai permis de faire. Non, je n’aurais pas dû le leur permettre. Je les ai suppliés de continuer.
« On ne t’a pas encore sautée, ajoute Ander, à toutes fins utiles. Bientôt. Très bientôt. »
Je jette un œil vers le docteur et regarde Ander d’un air méfiant mais il n’a pas l’air gêné pour deux sous.
« Je me sens bien.
– Si tu es si … si mes doigts et ma bouche, notre sperme répandu sur ton ventre et tes seins te font autant d’effet, il est possible que nous te fassions mal quand nous te pénétrerons avec nos bites.
– Ander, » grondais-je, j’aimerais vraiment qu’il la ferme maintenant.
– Il dit la vérité, ajoute Nial. Il est de notre devoir de te protéger, pas de te faire mal. Nous devons nous assurer que tu es en assez bonne santé pour qu’on s’accouple en bonne et due forme. »
Il se lève, me prend dans ses bras et me dépose sur la table d’examen.
« Comment ça, en bonne et due forme ? »
De quoi peut-il bien parler, hormis de baiser ? Pour être honnête, je ne suis pas franchement contre l’idée de chevaucher l’énorme bite de Nial ou de leur faire une fellation chacun leur tour, de goûter leur sperme dans un orgasme qui déferlera sur mon corps.
« C’est la deuxième fois qu’on m’examine. » La table est semblable à celle au centre de recrutement, lorsque la gardienne m’a ôté les morceaux de métal dans le dos et la cuisse et s’est servie de cette étonnante baguette guérisseuse. « Si j’avais eu un problème, la gardienne Egara s’en serait aperçue.
– C’est faux, dit Ander. Tu as éprouvé du plaisir après qu’on t’ait donné notre sperme. »
Ses grandes mains repoussent la couverture, mon corps est nu devant le docteur. Une fois ma colère retombée, je trouve son inspection tout bonnement insupportable. Je n’ai pas envie que le docteur me regarde, et encore moins qu’il me touche.
« Ander ! » je fais mine d’attraper la couverture mais il saisit mes poignets, se met derrière la table, tend mes bras en arrière et maintient mes poignets dans ses mains immenses. Mes bras sont tendus derrière ma tête, mon dos se cambre et mes seins saillent.
J’étrécis les yeux en regardant cette brute.
« Lâche-moi ! »
Il secoue doucement la tête. « On doit t’examiner. Il est de notre devoir de veiller à ta sécurité et ton bien-être. »
Nial se tient à mes côtés et penche la tête. « On va te baiser, Jessica. Souvent et en prenant tout notre temps. Le docteur va s’assurer que tu peux supporter les besoins de tes partenaires. »
Ander renifle. « Tu la sens ? »
Nial plante son regard dans celui d’Ander. « Oui. Intéressant. »
Je m’agite pour échapper à la poigne d’Ander mais je sais que c’est inutile. C’est trop tard. Le docteur, maudit soit-il, garde le silence, au bout de la table. Il attend clairement la permission de commencer.
« Qu’est-ce qu’il y a de si intéressant ? » demandais-je.
Nial lève un sourcil devant mon air courroucé. Ce n’est pas lui qui est planté à poil devant un parfait inconnu. « Ce qui est intéressant, partenaire, c’est que ça t’excite.
– C’est pas vrai ! » rétorquais-je, mes tétons pointent. Je serre fort les cuisses, par défi. Si je les ferme, mes partenaires ne sentiront peut-être pas ce que la poigne solide d’Ander provoque en moi. Cette logique complètement ridicule me décontenance. Je sais tout au fond de moi que si ces hommes vont me pénétrer, je dois être certaine qu’ils sont plus forts que moi. J’ai passé à ma vie à protéger des gens et je n’ai jamais rencontré d’homme avec lequel je me sente en sécurité.
Ander arrive à me faire tenir tranquille rien qu’en me tenant fermement. Son côté dominateur me rend furax, j’ai envie de lutter contre son étreinte. Qu’en est-il de mon autre facette, que je garde enfouie dans le tréfonds de mon âme, de cette fille qui hurle pour que ce monde vive à nouveau en paix ? Elle refait surface, elle veut qu’on la délivre. Plus je la combats, plus elle va devenir enragée, jusqu’à ce que mon désir envers la caresse dominatrice d’Ander se mue en guerre civile entre mon cœur et mon esprit. Je m’arcboute sur la table, mon cœur bat si fort que ses battements doivent s’entendre jusqu’à la pièce d’à côté.
Je sais que quoi que je fasse, Ander sera là, il est assez fort pour me maîtriser, pour régenter le monde à ma place.
Nial place une épaisse courroie noire autour de mes hanches qui s’agitent et accroche la sangle à la table. Je ne peux plus soulever mes hanches. Je lui décoche un coup de pied, il relève mes jambes dans des étriers que le docteur a sortis de sous la table. Il s’était bien gardé de me les montrer, si je les avais vus avant, j’aurais piqué un sprint vers la porte. Ils ressemblent à s’y méprendre à ceux de mon gynéco, Nial bloque mes chevilles dans l’épais métal. Ceci fait, il regarde Ander.
« T’as besoin de liens pour ses bras ? »
Ander glousse, se penche et murmure à mon oreille. « Non. J’aime bien la tenir. »
Oh, mon Dieu. Ça m’excite.
Nial sourit et se sert d’une drôle de manivelle pour ajuster les étriers, mes cuisses sont grandes ouvertes, ma chatte bien en vue, le cul pratiquement au bord de table. Ce n’est pas le docteur mais Nial qui se place entre mes jambes, il glisse son long doigt dans ma chatte, tandis que je halète.
« Elle mouille, Ander. On pourrait la pénétrer dès maintenant, répandre ses fluides sur nos sexes et la prendre vite et bien. »
Les mains d’Ander se tendent sur mes poignets, mais il ne me fait pas mal. J’ai envie de gigoter mais toute attitude de défi m’est impossible vue la grosse courroie qui enserre mes hanches. Je suis tellement en colère que j’aimerais cracher au visage de Nial et lui arracher les yeux, je me tourne, j’espère qu’il va enlever son pantalon et me baiser pendant qu’Ander me tient et regarde.
C’est quoi mon problème ?
Nial se tourne vers le docteur et hoche la tête avant de s’éloigner, de manière à ce que le docteur ait la place de faire ce qu’il a à faire. Quoiqu’ils aient prévu, je n’ai aucune chance de m’échapper.
Je regarde Nial lécher son doigt enduit de mon fluide vaginal, il se lèche le doigt comme si c’était un miel délicieux.
Déterminée à ne pas capituler, je me tourne à l’approche du docteur. Il arbore un air résigné des plus médical. Heureusement, son regard ne fait preuve d’aucune excitation ni convoitise. Il a deux godes à la main, je m’arcboute et redouble d’efforts pour me soustraire à la poigne de fer d’Ander.
10
Nial
Je regarde le docteur s’approcher de ma partenaire. Son attitude de défi est magnifique. Je m’étais toujours imaginé avec une reine docile et soumise mais je remercie les dieux et les protocoles de recrutement de m’avoir donné une telle diablesse, une guerrière qui n’a pas peur de se battre et qui n’est pas intimidée par les cicatrices de ses partenaires.
« Hors de question. Vous vous croyez où ? » hurle-t-elle à l’adresse du docteur, qui ignore ses protestations et pose son matériel sur la petite desserte sortant du côté de la table. « Ces trucs … servent pour quel type d’examen … ?” »
Il lève la main vers sa cuisse mais elle s’agite et se débat si farouchement entre les mains d’Ander que je redoute qu’elle fasse une crise cardiaque si on ne la calme pas. Cet équipement médical est nécessaire à sa survie sur Prillon. Non seulement je dois m’assurer qu’elle ne soit pas blessée pour qu’on puisse la baiser à loisir, mais je l’ai kidnappée sur Terre sans qu’elle ait passé le test de recrutement en bonne et due forme, elle n’est pas équipée des implants biologiques de base lui permettant de vivre heureuse et en bonne santé sur Prillon.
Je lève la main et le docteur recule. Jessica essaie de reprendre de l’air à mon approche. « Jessica, je t’en prie. On ne te fera aucun mal. Le docteur suit le protocole standard. Toutes les épouses effectuent le même test de recrutement. Je te le promets. Crois-moi. Je ne lui permettrai pas de te faire le moindre mal. »
« Des conneries. C’est que des conneries. Aucun examen médical ne nécessite des godes, espèce de connards pervers. Laisse-moi partir ! » Elle se débat violemment, déclenchant les alarmes du système qui enregistre sa pression artérielle et son rythme cardiaque.
« Elle doit se calmer. Elle va faire une attaque. » Les paroles du docteur m’inquiètent au plus haut point, il est temps de montrer à ma nouvelle partenaire ce qu’est la discipline sur Prillon.
Je me dirige vers elle et pose ma main sur sa poitrine.
« Calme-toi, Jessica. Cet examen est nécessaire. Arrête de nous contrer sinon je vais te botter le cul jusqu’à ce que tu ais les fesses toutes rouges. »
Elle me jette un regard noir, son dos s’arcboute sur la table tandis qu’elle essaie de se libérer de la poigne d’Ander. « Quoi ? Comme si j’avais trois ans ? Non. Laisse-moi partir. »
– Fais-nous confiance, partenaire. Le docteur ne te fera aucun mal. » Ander essaie de se rallier à la cause. « Je te promets que si jamais il te fait mal, je le tue.
– Non. » Elle se débat, tourne la tête et le cou pour essayer de mordre mon bras et que je la relâche.
« Je t’ai prévenu, Jessica. Tu vas apprendre ce qu’il en coûte de désobéir à ton partenaire. » Je lève le bras et me place au bout de la table, ses fesses rebondies sont bien en vue, ses jambes écartées et retenues par les sangles. Je caresse sa peau douce et pulpeuse afin qu’elle s’aperçoive que je suis bel et bien là, de l’endroit où je compte frapper. « Je vais te fesser parce que tu as refusé d’écouter. Sache que je ne tolère pas qu’on me contredise, lorsque ta sécurité ou ta santé sont en jeu, Jessica. »
Je croise et soutiens son regard, elle se calme et me parle. « T’as pas intérêt. »
Je la fesse violemment ; elle hurle de colère, non de douleur. « Et de un. »
– Connard.
– Tu vas avoir droit à une autre fessée, Jessica. Tu ferais mieux de tenir ta langue. » Je lui donne la fessée pour de vrai, son cul devient rouge vif, profondément satisfait de constater qu’une rage silencieuse a cédé la place à son verbiage cinglant, sa chatte rose est toute luisante et accueillante tandis que j’inspecte ses replis, je lui laisse le temps de s’habituer à sa nouvelle position et m’accepter en tant que son maître, son partenaire.
Comme prévu, la pause que j’ai ménagée dans mes leçons attise de nouveau sa fureur.
« Ça y est ? Parce ce que si t’as terminé, tu peux aller te faire foutre et me laisser. Je ne vais pas laisser ce toubib me baiser comme un pervers avec ses sex-toys. »
Je croise le regard d’Ander et lui adresse un signe de tête pour m’assurer qu’il raffermisse sa prise. J’introduis deux doigts dans son vagin humide, je me sers des autres pour branler son clitoris tout en la masturbant, son orgasme approche, elle va presque jouir, et je me retire. « Ce n’est là que le début de ta leçon, puisque tu t’adresses à ton partenaire en lui manquant de respect. »
Son gémissement de plaisir languissant me plaît, son vagin se contracte sur du vide, il se languit de ce que lui ai refusé. « Tu vas compter cette fois-ci, Jessica. Tu vas compter jusqu’à vingt pendant que je te punirai pour m’avoir désobéi. Lorsqu’on aura fini, j’inviterai le docteur à poursuivre son examen.
– J’ai pas envie de subir un examen. » Sa poitrine se soulève, son corps est sous nos yeux. Je fais mon possible pour ne pas baisser mon pantalon et la baiser sur le champ, au bord de la table. Nous ne sommes pas là pour ça. Elle a besoin des implants biologiques fournis par le docteur, on doit s’assurer qu’elle est en bonne santé avant qu’Ander et moi puissions la posséder. Je n’ai pas envie d’attendre parce qu’elle est trop têtue pour se soumettre à un banal examen médical.
« Je sais. Mais c’est obligatoire. Tu vas le laisser faire, sinon je te fesserai jusqu’à ce que tu deviennes raisonnable. Tu comprends ?
– Va te faire foutre. »
J’enfonce trois doigts violemment et profondément dans son vagin, je titille son col de l’utérus tandis qu’elle se cambre en poussant un petit cri, les parois de son vagin se referment sur mes doigts en signe de bienvenue. Je frotte son clitoris jusqu’à ce qu’elle se tortille, sans la faire jouir. Si elle veut descendre de cette table, elle devra obéir.
« N’oublie pas de compter, Jessica. » Je retire mes doigts et la fesse à nouveau cul nu. J’en suis à trois lorsqu’elle se met à compter.
« Trois.
– Commence à un, partenaire. On commence à un. »
Elle frémit tandis que je poursuis ma fessée, sa voix murmure enfin le mot que j’attendais.
« Un. »
Pan.
« Deux. »
Pan.
Je continue jusqu’à vingt, ses fesses se teintent d’un joli rouge et son cœur accélère. Elle tremble, son dos se cambre tandis que des larmes perlent aux coins de ses yeux. Sa voix s’est muée en sanglots quand j’ai terminé, elle est calme et soumise avec Ander.
Je reprends ma place auprès d’elle, ma large main est posée sur sa poitrine, elle détourne le regard de l’autre côté. « Tu vas permettre au docteur de t’examiner maintenant, partenaire ?
– Je vois pas pourquoi je l’y autoriserai. »
Elle est mécontente mais écoute. « Le docteur doit tester ton système nerveux pour s’assurer qu’il fonctionne correctement. Tu as besoin de certains implants pour vivre sur notre planète. Il va également tester ta fertilité et s’assurer que tu n’es porteuse d’aucune maladie.
– Comment ça ? Quels implants ? » Elle attend ma réponse en frissonnant. Je ne sais pas comment ça fonctionne à vrai dire, je m’adresse au docteur.
« Docteur ? Répondez à la question de ma partenaire je vous prie. »
Le docteur fait un pas en avant mais Jessica s’agite dans les bras d’Ander, il s’arrête et parle. « On ne vous a pas implanté les unités de bio-recrutement de Prillon. Il va falloir le faire.
– C’est à dire ? »
Le docteur hoche la tête. « Notre technologie recycle la matière sous sa forme première. Les vêtements que nous portons, la nourriture que nous mangeons, et les déchets produits par notre corps, tout est récupéré et réutilisé par nos systèmes. Les enfants reçoivent les implants Prillon à la naissance. Toutefois, étant donné que vous venez de Terre et que le recrutement complet n’a pas été effectué à cause de votre … transport avorté, vous n’êtes pas dotée des implants nécessaires pour vivre sur nos cuirassés. » Il écarte grand les mains et avance d’un pas hésitant. « Je ne vous ferai aucun mal, je vous le jure sur mon honneur de guerrier Prillon et de médecin.
– Bien. Faites ce que vous avez à faire. » Elle ferme les yeux et tourne la tête, sa mâchoire est serrée mais ses bras sont détendus entre ceux d’Ander. Il se penche sur notre épouse et l’embrasse tendrement, ses baisers effacent les larmes sur ses joues.
« C’est bien, Jessica. Ne t’inquiète pas, partenaire. Il ne t’arrivera rien. Tu as ma parole. »
Je prends place auprès de Jessica, le docteur n’est pas bien loin, la vulve rose et douce de Jessica est bien visible. Je fais confiance au docteur, jusqu’à un certain point. Nous sommes sur la Colonie, je ne suis pas certain de sa loyauté à cent pour cent. Au moindre geste déplacé, à la moindre étincelle de désir dans ses yeux, je lui arrache la tête. Il me regarde en tenant un premier instrument en l’air. Je place ma main sur la cuisse de Jessica pour qu’elle sache que je veille.
« Allez-y, docteur. »
Le docteur écarte bien grand les lèvres gonflées de la vulve de Jessica, j’aperçois son vagin, je ne peux détacher mon regard tandis qu’il se prépare à insérer un scanner long et épais en elle, afin de tester sa fertilité et rechercher d’éventuelles maladies. Un deuxième instrument amovible doit tester le système nerveux de ma partenaire et sa réaction aux stimuli sexuels, mais il n’est pas encore relié au clitoris sensible de Jessica. Je sais qu’elle fonctionne parfaitement bien, sa réponse à la bouche d’Ander était toute la preuve dont j’avais besoin. Toutefois, on doit appliquer le protocole, sous peine qu’elle ne soit pas acceptée en tant qu’épouse Prillon. Elle ne sera pas n’importe quelle épouse Prillon ; ce sera une princesse Prillon.
Le docteur enfonce l’épais appareil dans la chatte humide de ma partenaire, il l’écarte pour qu’elle accepte cette sonde assez volumineuse. Jessica pousse un gémissement et je bande tandis que le long instrument, à peu près de la taille de ma bite, disparaît peu à peu, englouti entre ses replis roses. Un appareil d’enregistrement des données commence à afficher des chiffres et des informations que je ne comprends pas, le docteur saisit les données et hoche la tête en guise d’approbation, avant de s’emparer de l’autre appareil, destiné au cul de Jessica. Il est largement plus petit que la bite d’Ander, il va servir à tester sa capacité à être baisée par deux partenaires en même temps, l’unique façon d’être accouplée.
Ma main parcourt la cuisse douce de Jessica, elle sait que je suis là, j’ai besoin de la toucher, pour me rappeler qu’elle est bien à moi, qu’elle existe. Cet examen doit se terminer au plus vite.
Le docteur doit nous délivrer nos colliers d’accouplement, il ne pourra le faire que lorsque Jessica aura passé avec succès son examen médical. Sans mon collier autour de son cou, tous les hommes célibataires de la Colonie pourront se battre en duel pour se l’accaparer.
Et ils le feront. J’entends déjà les guerriers se rassembler, s’agglutiner de l’autre côté de la fenêtre pour assister à l’examen de ma superbe partenaire. C’est leur droit, et je suis certain que ça risque de se terminer en duel. La seule question qui me taraude est combien Ander et moi allons-nous devoir en tuer avant d’exfiltrer notre partenaire de cette planète.
Jessica
Je suis attachée sur la table d’examen, les jambes ouvertes et le sexe à l’air tandis que le docteur insère un gode géant dans mon vagin trempé. Je ne sais pas à quoi m’attendre mais Ander ne relâche pas sa prise sur mes poignets, Nial caresse l’intérieur de ma cuisse, comme s’il caressait un chaton.
Je n’ai pas compris ce qui m’est arrivé, j’ai mal au cul, je suis profondément humiliée et je me languis des caresses de Nial, de son calme, je n’ai qu’une hâte, descendre de cette table d’examen et me blottir dans ses bras. Pour la première fois depuis des jours, voire des semaines, je suis calme et posée, ma crainte s’est envolée. Je suis apaisée.
Des années d’endoctrinement m’ont fait croire que je devais me rebeller contre la façon dont il me traite, me punit et exige obéissance. Mais ses caresses me donnent envie, j’aimerais que le docteur nous laisse seuls afin que je puisse sentir la bite épaisse de Nial en moi, au lieu de cette sonde. J’ai déjà ressenti le bonheur provoqué par leur sperme, j’en meurs d’envie à un point qui pourrait s’avérer gênant, si je n’étais pas déjà occupée par des choses largement plus humiliantes à cet instant précis. Comme le doigt du docteur qui explore mon anus vierge et étroit, et enfonce un truc chaud et huileux.
Je pousse un cri de surprise.
Je sais à quoi ressemble du lubrifiant, mais au lieu du gel froid dont j’ai l’habitude chez mon gynéco, ce liquide dans mon cul ressemble à de l’huile chaude, il tapisse mon intimité d’une substance qui me rend encore plus réceptive.
Alors que le bout arrondi de ce deuxième instrument viole mon anus, je réalise que garder les yeux fermés n’est pas la stratégie idéale. Ça ne fait qu’exacerber le moindre petit détail, la moindre sensation de cet instant auquel je ne peux me soustraire. Je remarque que la respiration d’Ander s’accélère, j’entends son cœur battre plus fort. Nial se tient à mes côtés, prudent et en alerte, étrangement fier, comme s’il exhibait mon vagin au peuple en guise de trophée.
Le docteur, tout en restant très clinique, me fait des choses jamais expérimentées jusqu’alors. Tandis que l’étrange appareil glisse entre mes fesses, je me contracte, pour l’empêcher de rentrer. Je lutte.
Nial me donne une claque retentissante sur l’intérieur de la cuisse et je halète, sous le choc, tandis qu’une sensation de chaleur coule dans mes veines. « Arrête de t’opposer, Jessica. Laisse-le faire et qu’on en finisse. »
J’ouvre les yeux, Ander me dévisage d’un regard de braise, je me fige, incapable de soutenir son regard.
« Tu n’as jamais été sodomisée ? » Sa question est brute de décoffrage.
Je rougis et fais non de la tête.
Il pousse un grondement sourd et répond.
Je lèche mes lèvres. « Ander. Distrais-moi »
Il sourit. Mon dieu il est séduisant. Une mâchoire carrée, un regard sauvage et pénétrant. Je pourrais plonger dans ses yeux, mais j’ai envie d’autre chose.
« Avec plaisir. » Il se redresse, relâche son étreinte, contourne la table, se place face à Nial et se penche sur moi. Avant même de se placer dans sa nouvelle position, il baisse la tête et m’embrasse comme un possédé. Son baiser est torride, je me détends tandis que le docteur me dilate, il introduit le second objet dans mon corps par à-coups lents et savamment dosés jusqu’à ce que je sois si remplie que je manque exploser s’ils ne me font pas jouir ou me relâchent.
Ander m’embrasse, Nial prend mon sein en coupe dans sa main libre, il tire sur le téton et le pince assez fort pour que je me cambre à son contact autoritaire. Son autre main passe de ma cuisse à mon clitoris, il l’explore, m’excite jusqu’à ce que je me remette à lutter contre la poigne d’Ander, non parce que j’ai envie de descendre de la table, mais parce que j’ai besoin de plus que ce qu’ils me procurent.
Les gros doigts de Nial écartent les lèvres de ma vulve autour du gode et Ander enfonce profondément sa langue, je sens qu’on pose un étrange appareil d’aspiration sur mon clitoris. Il ne s’agit pas de la bouche ou des lèvres de Nial, je sais à quoi ressemble la bouche du guerrier puisqu’il m’a sucé jusqu’à ce que je hurle. C’est bizarre, on dirait un demi-cercle en caoutchouc qui aspire. J’essaie de détourner ma bouche de celle d’Ander pour poser la question mais il m’en empêche, il s’appuie encore plus sur la partie supérieure de mon corps, jusqu’à ce que je sois littéralement piégée sous son immense carrure. Je suis littéralement clouée, non seulement par les courroies ou ses mains, mais par sa force brute et sa taille imposante.
Pour une raison dont je n’ai strictement rien à faire, la sensation me rend folle. J’oublie le docteur et son examen stupide. Tout ce qui m’importe c’est mes deux grands guerriers, leurs mains et leurs bouches, et ce truc énorme qui envahit ma chatte. Et mon cul. Je dois avouer que bien que ce ne soit pas très confortable, ça ne fait qu’exacerber les sentiments qui me parcourent.