Kitabı oku: «Le Échafaud ouralien. Documentaire l’investigation. Analyse comparative», sayfa 2

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Le Soviet régional d’Oural

Bien qu’à nous clair est qui remplaçait par soi le Soviet régional d’Oural il faut mentionner sa composition.


Liste du Soviet régional des députés:

(Est donné par le enseigne Selianine)

1) Beloborodov 2) Golochtchekine 3) Sakovitch 4) Voïkov 5) Bykov 6) Syromolotov 7) Safarov 8) Oukraintshev 9) Kisselev 10) Vaïner 11) Khotimski 12) Vorobiov 13) Andronnikov 14) Andreev 15) Simachko 16) Avdeev 17) Kariakin 18) Jilinski 19) Tchoufarov 20) Yourovski 21) Efremov 22) Anoutchine

Le sept de extraordinaires:

Tchoutskaev, Golochtchekine, Yourovski, Efremov…

Pavel Mikhaïlovitch Bykov le participant de la révolution D’Octobre à Petrograd, le membre de Présidence CECT, de travaillant sur l’Oural. Après guerre civile est devenu par journaliste et a laissé beaucoup de souvenirs. Dans archive CDOMRS (le Centre de la documentation des organisations de masse de la région de Sverdlovsk) de la ville Ekaterinbourg se trouve le manuscrit, signé “V. Bykov”.12

Voici, que Bykov dit de les qualités personnelles des membres de Soviet: “… Safarov toujours sarcastique sage, Golochtchekine expansif, Voïkov, alternant par l’humour les mots, en jonglant par eux; ardent Khotimski, tranquilles et habiles en affaires Andronnikov, Poliakov, Tchoutskaev…

Dans le Soviet un grand travail se réalisait par camarades suivants: Andronnikov, Tountoul, Mratchkovski, Medvedev. À la fin de novembre 1917 est introduit dans la composition du Soviet Voïkov…”

De les coïncidences accidentelles dans cette affaire ne peut pas être.

“… En janvier (1918 – auteur) on organisait Soviet Régional: les gestions – Tountoul et Mratchkovski, Militaire – Oufimtsev (plus tard Golochtchekine), de Justice – Golochtchekine (plus tard Poliakov), de Finances – Syromolotov (plus tard Tchoutskaev), de Production – Malychev et Safarov (plus tard Andreev), d’Approvisionnement – Voïkov et Bykov В, de Transport – Vassilev (plus tard Medvedev), de Production – Andronnikov, Kouzmine et Didkovski, d’Agriculture – Khotimski, d’Instruction publique -? de Santé publique – Khourine et Sokovitch, de Sceau – Vorobiov…”

De Bykov P. de par souvenirs, Beloborodov, Ermakov etc. étaient par organisateurs de la première cellule clandestine dans l’usine Lysvenski. Du bourg d’usine Lysva du district de Ekaterinbourg sort sur la scène Alexandre Gueorguievitch Beloborodov, le nom de qui, sonnera dans tous les communiqués sur le meurtre de la famille tsariste. Par le nom retentissant et par graphie belle se détachait Beloborodov parmi les bolcheviques d’Oural.



Photo 9. Ermakov-Beloborodov.

I.F. Plotnikov dit de Beloborodov: “… Est sorti de l’école paroissiale d’église. L’ouvrier de l’usine Nadejdinski. Le membre PORSD/b (le Parti ouvrier Russe Social-démocrate (des bolcheviques) – auteur) dès 1907. Encore par l’adolescent a fait partie de la révolutionnairement de activité de combat à Nadejdinsk (à présent la ville Serov – auteur), puis à Lysva… Deux fois était l’emprisonnement et la exil. Après la Révolution de Février – le membre de soviet Lysvenski…”

Avec Ermakov commençaient l’activité de combat à Lysva, se sont trouvés ensemble à Ekaterinbourg. Encore à 1917 Beloborodov présidait le Soviet de Lysva, mais à 1918 décide déjà du destin de l’empereur. Il a commencé à jouer le rôle “décisif” en Soviet régional d’Oural auprès de quel soutien? Probablement, auprès de soutien de Sverdlov.

Après que les communistes ont quitté Ekaterinbourg en été 1918, le conseiller de la cour Kirsta a commencé l’enquête. Il trouvait par de principaux coupables du crime:

“… d’Yourovski, de Didkovski, de Golochtchekine, de Safarov, de Beloborodov, de Tchoutskaev, de Voïkov, de Tountoul et d’autres membres du Soviet régional de l’Oural…”

Dans cette liste est absent seulement le commissaire Sergueï Vitalevitch Mratchkovski l’organisateur de la garde extérieure de “La Maison de spécial de nomination”.

I.F. Plotnikov dit de Mratchkovski: “… En 1905 est entré en PORSD a présidé l’équipe de combat des bolcheviques, commettant les attentats terroristes. Était mis aux arrêts. Vers le temps de la Révolution de Février – à Ekaterinbourg, après la révolution, est élu à la composition du soviet de ville…”



Photo 10. Golochtchekine-Mratchkovski.

Le participant de l’instruction définitive le subinspecteur M. Talachmanov: “… près du mois du 15 juillet dans un des dimanches (par dimanche était le 14 juillet 1918 – auteur) la compagnie se promenait dans la forêt au nombre des gens suivants: 1) le commissaire militaire Golochtchekine, 2) sa adjoint Anoutchine, 3) le commissaire de logement Jilinski, 4) Oufimtsev, 5) Bronitski, 6) Safarov. 7) Jeltov et 8) le nom établir, se trouva non par le possible. Tous étaient avec les jeunes filles. Étant dans l’humeur gaie, discutaient vivement la question, comment faire avec le Souverain ancien l’Empereur et sa famille…”

Le 14 juillet 1918 de retour de Moscou, Golochtchekine dans la forêt a joué le spectacle suivant “en décidant” en présence des jeunes filles le destin de l’empereur ancien.

La fraude

Pendant discours dans le Radiocomité en 1964 Nikouline s’est embrouillé définitivement et s’est trompé pendant le direct (Nikouline Grigori Petrovitch le participant de la fusillade de la famille tsariste, en une semaine jusqu’à cela, le 10 juillet 1918 a tué le prince V.A. Dolgorouki): “… puisque Beloborodov, c’est-à-dire Golochtchekine…” Nous voyons le nom Beloborodov – on lit Golochtchekine.

La substitution d’unes de personnes par les autres est l’affaire ordinaire dans les déclarations des assassins. Le juge d’instruction pour les affaires considérables de la cour de la grande instance d’Omsk Nikolaï Alexeevitch Sokolov déjà à 1920 a réussi à comprendre, quels rôles exécutaient Beloborodov et Ermakov. Chez certains des investigateurs modernes leur rôle est exagéré.

Les gens qui voudraient s’affaisser par messieurs à Pétersbourg, mais aucunement à district d’Ekaterinbourg, ici ils étaient dans “la mission”. Avec le pince-nez sur nez s’affublaient aux capotes de soldat et les papakhas et cachaient les mains soignées quand se photographiaient. Beloborodov évidemment est de trop dans cette compagnie.



Photo 11. De gauche à droite: N.G. Tolmatchev, A.G. Beloborodov, G.A. Safarov, F.I. Golochtchekine.

Pour cacher le rôle véritable dans l’affaire du meurtre de la famille tsariste du favori de Lénine Safarov, entre en scène – bolchevique Beloborodov.

J’ai un grand doute au sujet de ce “trio”, qui écrivait aux prisonniers les lettres-fraudes.

Le tchekiste (le collaborateur de commission extraordinaire) Rodzinski Issaï Ilitch: “… Nous nous réunissions d’habitude Beloborodov, Voïkov et moi. Moi de CE (de la Commission Extraordinaire – auteur) Régionale d’Oural…

…il y a deux lettres, qui écrites du moi en français, avec la signature… Russe l’officier. Par l’encre rouge…”

Le tchekiste Koudrine Mikhaïl Alexandrovitch (Medvedev): “… Beloborodov, Voïkov et le tchekiste Rodzinski ont écrit de la part de l’organisation russe des officiers la lettre, dans lui ils disaient de la chute rapide d’Ekaterinbourg et proposaient de se préparer à l’évasion durant la nuit du jour défini…”

Voïkov soit dictait, soit écrivait en français. Rodzinski soit écrivait sous la dictée de Voïkov, soit recopiait ces lettres par graphie belle. Même dans une telle question la clarté est absent. Ici quelque chose cachaient. Que Beloborodov avec la formation du d’église paroissiale pouvait comprendre? Le troisième superflu. Probablement, par troisième il y avait Safarov, un assistant de Beloborodov, et d’orthographe française il connaissait mieux, que l’habitant de Perm Rodzinski.

Rodzinski dans le Radiocomité le 13 mai 1964 donne l’interview, une des phrases semble étrange: “… Dans la archive ont embrouillé… les choses authentiques…”

De nouveau la fraude. Les choses authentiques sont embrouillés dans archive.




À lieu laissé dans la lettre, ont écrit la réponse par graphie large.

Rodzinski: “… Pour l’histoire… il fallait le preuve du ce quoi se préparait le kidnapping… que parler, en effetnon d’aucun kidnapping ne se préparait pas…”

Dans un demi-siècle le tchekiste reconnaît, qu’il n’y avait, pas de complot avec le but de libérer de dessous la garde la famille tsariste, de complot qui est devenu la raison officielle de leurs de meurtre.

“… Est qui était rien celui-là deviendra”


Photo 12.

Le paysan de l’usine Syssertski Pavel Spiridonovitch Medvedev pour ne pas aller sur le front, se case travailler sur l’usine de la défense. Plus loin – plus. Le commissaire Mratchkovski, venant sur l’usine, a commencé à recueillir l’équipe de les plus fidèles à l’affaire de la révolution des gens pour la garde de “La Maison de spécial de nomination”.

Le salaire immense de par ses temps-là au 400 roubles est devenu par le facteur décisif d’inscription dans détachement. Plus loin encore plus. Medvedev était bien obligeant avec Yourovski (selon le témoignage Anatoli Yakimov de l’ouvrier de la fabrique de Zlokazov) et a mérité le siège de supérieur de la garde extérieure en “la Maison de spécial de nomination” avec le salaire déjà au 600 roubles. Vertigineux la croissance de carrière…



(Le recours plein de fautes de Medvedev à Soviet).

Oui-i-i-i…

Pendant le meurtre de la famille tsariste P. Medvedev se trouvait derrière tous les bourreaux. Tirait, mais a tué ou non – les informations est absentes. La cruauté vue a provoqué la nausée chez l’assassin pas mûr, et il est allé sur l’air.

Le tchekiste Koudrine (Medvedev): “… Dans la chambre de passage je vois Pavel Medvedev – il est mortellement pâle, chez lui le vomissement…”

Probablement, à père de trois d’enfants il était difficile de lever la main sur tsaristes d’enfants…



Le paysan de l’usine Syssertski, servant dans la garde extérieure de MSN (la Maison de Spécial de Nomination), Proskouriakov: “… Nous recevions 400 roubles du salaire, mais Medvedev recevait 600 roubles…”

Dans l’Affaire criminelle il y a un récépissé authentique de Medvedev dans la réception de la somme de 10800 roubles de Yourovski pour le paiement du salaire aux gardiens Syssertski. Sans soupçonner sur son existence, (le récépissé n’a pas brûlé par hasard dans le fourneau de la maison de l’ingénieur d’Ipatev) Medvedev affirmait sur les interrogatoires que il a reçu de Yourovski du la somme au 8000 roubles.

De documents de l’affaire criminelle: “… Medvedev s’indignait au sujet de ce pillage, en exprimant le mécontentement par les actions d’Yourovski et des Lettons: toutes ont pris à soi et ne lui ont rien donné. Medvedev exprimait absolument l’indignation et ne pouvait pas le cacher…”

À soi le coquin avide prend 60 roubles de l’argent tsariste et s’indigne au sujet de ce qu’avec lui n’ont pas divisé de eux les choses.

Cela tout caractérise éloquemment de les gens possédant le pouvoir et la force, à qui Yourovski a confié la garde de la Maison.

Des déclarations testimoniales de Driaguina Vassa Ossipovna:

“… Medvedev était bien ivre … – était chez les natals, … et voulait aller dans la Maison d’Ipatev, mais lui ont dits que là de personne non. – Comme, non? – a demandé Medvedev. – Oui, tous sont partis, – ont répondu lui. Après cela Medvedev a demandé sur le compte de Yourovski et a reçu, a reçu la réponse que et Yourovski est parti…”

Selon le témoignage de gardien Proskouriakov – ceux qui prenait part au meurtre, sont partis avec Yourovski. Pourquoi ont oublié Medvedev? Je pense, parce qu’il était dans la liste de Meïer-Yourovski. Sur le compte de cette liste un peu plus tard.

D’abord Medvedev s’établit chez le commissaire Mratchkovki, puis à Perm Golochtchekine définit de Medvedev au l’équipe pour l’explosion du pont sur la rivière Kama. S'étant persuadé qu’il ne comprend rien dans cette affaire et l’ohmmètre voit une première fois à la vie, lui montrent le 3-ème pilier du pont avec mines désarmées et par feeder conduisant à la maisonnette du gardien du pont.

Puis, à la veille de l’explosion “… étaient apporté 4 détonateurs et la fusée-détonateur. Tout cela était adressé non à Medvedev, mais à quelque Bobylev… Ils agissent toujours ainsi pour” la confidentialité”…

…Le commissaire des voies et le commandant du pont ont transmis l’ordre sur l’explosion du pont et “… ont commencé immédiatement à se sauver, … et en même temps les troupes gouvernementales se sont approchées du pont du côté de la rive droite, et déjà ont commencé à tirer par les fusils de pont sur ceux qui se sauvait

…Il, Medvedev, était assis en même temps dans la maisonnette du garde et n’entreprenait rien, il a décidé de ne pas faire sauter le pont et continuer le service dans les troupes gouvernementales…”

La mort héroïque pour l’affaire de la révolution, et encore sous le nom du d’autrui, n’était pas la partie de plan de Medvedev.

Chez moi il n’y a pas doute dans celui-là, que de Medvedev voulaient se libérer; non par hasard, lui était expédié par Golochtchekine faire sauter le pont.

Deuxième “le héros de la révolution” était aussi pas trop scrupuleux.

“… Les choses trouvés dans l’appartement de courrier-gardien de Soviet régional d’Oural de Petr Illarionovitch Lylov le 30 juillet de 1918…” – 22 dénominations (№№349—370).

…Les choses trouvés chez la femme civile du gardien-courrier Lylov Fedossia Illarionovna Balmacheva…” – 90 dénominations (№№371—461).

Lylov a expliqué sur l’interrogatoire dans la Police judiciaire de Ekaterinbourg le 4 septembre 1918, quoi leur principale masse auprès de fuite des bolcheviques d’Ekaterinbourg étaient volés par Beloborodov. Il, Lylov, a volés de leurs, à son tour, à Beloborodov. En particulier, le crayon de l’Impératrice (№349) il a volés du bureau de Beloborodov…”

Le prince Gueorgui Evguenevitch Lvov: “… Combien en général Beloborodov était par influent chez les bolcheviques, je ne peux pas dire. Mais je connais que les bolcheviques le mettaient en prison le pour le vol 30.000 roubles; ont pardonné, et il après cela, était de nouveau par le président du soviet de région…”

Ayant volé de la caisse de parti une telle grande somme, Beloborodov devait être traduit en justice. Mais les gens avec la réputation tarée deviennent souvent les exécuteurs accommodants et confortables de la volonté d’autrui. Au Golochtchekine qui a aidé lui à sortir de cette position indécente, Beloborodov a commencé à se soumettre sans objections.

Mais les habitudes de voleur n’ont pas disparu. En emportant les choses de valeur de la maison d’Ipatev, ils avec Golochtchekine ont mis beaucoup aux poches. Aux membres du parti spécialement distingués donnaient les primes par les choses des fusillées des personnes tsaristes.

Le participant des événements à Ekaterinbourg, Ivan Petrovitch Meïer dit de Beloborodov: “… S’est habitué à se soumettre; il dans toutes les décisions comptait sur Moscou…”

Le vrai rôle de Beloborodov dans l’activité du pouvoir d’Ekaterinbourg, se découvre dans preuve testimoniale de Sergeï Nikolaevitch Smirnov:

“… Avant la révolution je dirigeais la ville-palais Pavlovsk et les affaires de Son Altesse, le Prince Ivan Konstantinovitch et Sa Altesse Royale, de la Princesse Elena Petrovna Serbski l’épouse du Prince Ivan Konstantinovitch…

…j’avec le commandant suis parti pour le soviet régional. Nous étions rencontrés par le secrétaire de Beloborodov par Moutnykh et sommes allés vers Beloborodov. Beloborodov avec nous était attentif, en manifestant la politesse et en appelant Sa Altesse par “la Princesse”…

…Ici il y avait un inconnu, il a écrit quelque chose sur papier, a fourré d’elle à Beloborodov. Celui-là est devenu considérablement plus sec avec nous, plus officiellement. Je ne connais pas qui il y avait cet inconnu. Mais j’affirme positivement que c’était le Juif jeunet. C'était absolument clair et de par l’apparence et de par réprimande juive…

…Je suis allé de nouveau à Moutnykh… Moutnykh non celui-là est devenu qu’autrefois. Il ne regardait pas dans yeux, se détournait, il disait quelque chose, téléphonait en la commission extraordinaire. Conseillait de s’adresser là au “camarade Gorev” plaidant notre cause…”

Si non Gorine, alors qui est-ce? Les noms russes ont les désinences "-ov”, "-ev”, "-ine”. À la racine totale du mot, le désinence est changée exprès ou par méprise. Le Juif jeunet – ce l’étudiant de Perm. À l’hôtel américain habitait et travaillait le tchekiste Gorine, mais pas le tchekiste Gorev.

Yourovski: “… L'étudiant ancien Issaï Rodzinski alors dirigeait le service de la Contre-révolution de CE, et la lutte avec la spéculation et le sabotage aussi l’étudiant ancien Gorine…”13

Sergeï Nikolaevitch Smirnov: “… Vous pourrez estimer le rôle de Beloborodov de par le caractère des faits, qui sont amenés par moi. De lui les dispositions le zéro. Il était traité de haut CE et les militaires les commissaires. Il donne les dispositions. Les retirent et n’exécutent pas. Il a permis à la Princesse de partir à Alapaevsk. La traînent au CE…”

Donc, et Beloborodov – la première personne dans le Soviet de ouvriers, des députés paysans et de les députés soldats d’Ekaterinbourg, et de lui le secrétaire Moutnykh seulement les marionnettes dans les mains des tchekistes et commissaires. Tous les documents, que signait Beloborodov, il faut examiner comme la falsification des bolcheviques.

Revenu avec Lénine après l’émigration Voïkov Petr Lazarevitch reçoit le document, qui signe Beloborodov. Uns gouvernaient l’Oural, mais les autres signaient les documents…

Le troisième personnage est important pour nous par la compétence accidentelle dans l’affaire de la fusillade de la famille tsariste. C’est Valentin Sakharov.

Le commandant du bâtiment de l’hôtel américain, dans qui s’est installée “CE” est une “haute” fonction administrative de Valentin Sakharov.

Le mécanicien du chemin de fer de Perm Pavel Ivanovitch Loguinov: “… Se rencontrait je aussi à Perm avec le camarade ancien du président de la commission d’enquête extraordinaire d’Ekaterinbourg par Valentin Sakharov. Avec le père de Sakharov V. servant dans les entreprises d’industrie forestière j’étais ami proche. V. Sakharov a fini du cours de quatre classes de l’école réelle et après la mort du père, est sorti de l’école. De par ma recommandation V. Sakharov était défini sur le service par le clerc au bureau du dépôt de locomotives, mais et ici Sakharov a commencé à tricher et a fait les fraudes pour quoi était destitué et conduite sur la place de compteur, a triché et ici, (est entré dans la transaction avec les ouvriers – marquait de leur les heures d’ouverture superflues), et était licencié du tout. Grâce aux larmes et aux prières de la mère de Valentin ont accepté par Le manoeuvre près réparation des locomotives…

…Même Sakharov racontait qu’il y avait une décision de fusiller 14 personnes… Sur le doigt chez Sakharov pendant le mien avec lui de la conversation, j’ai remarqué l’anneau avec la turquoise et sur la mon question, d’où chez lui un tel bel anneau, j’ai reçu la réponse que l’anneau du travail anglais, puisque on pris dès main d’Anastassia Nikolaevna…”

Sergeï Nikolaevitch Smirnov vivait dans le numéro d’hôtel Américain: (Est interrogé par le juge d’instruction Nikolaï Alexeevitch Sokolov à Fontainebleau (la France)): “… Sakharov est il y avait un gamin-voyou. Il passait chez nous souvent au numéro et se vantait des costumes neufs et chaque fois par les nouveaux gants. Il y avait tout à fait un gamin vide…”

Sakharov, Beloborodov, Medvedev… La jeunesse Peu instruite d’Oural, qui était achetée par l’argent et les fonctions fausses, représentait la personne de la révolution. Est qui était rien celui-là est devenu le pillard de l’avoir d’autre ou l’assassin…

Les jours de semaine de l’hôtel américain


Photo 13. L’hôtel Américain avec les numéros. 1890.

Nous rappellerons que dans le bâtiment de l’hôtel Américain après la révolution s’est placée la Commission Extraordinaire régionale.

Des travailleuses de l’hôtel américain étaient interrogés par l’instruction définitive de par un plan. Est qui vivait dans quels numéros, quelle apparence, est qui dirigeait? Pour la commodité de la comparaison des déclarations, nous les présenterons en forme de tableaux. Sous eux – la narration de preuves testimoniales.

Alexandra Mikhaïlovna Piankova, 23 ans – la femme de chambre dans l’hôtel Américain.



Tabl. 1.

Je ne connais pas les commissaires de Beloborodov, Tchoutskaev et Safarov. Donc, ils vivaient sur les appartements, mais non dans cet hôtel. Yourovski vivait aussi dans la ville à l’adresse: Ekaterinbourg, r. 1-ère Riveraine, m.6; mais le numéro était le cabinet ouvrier.

Par supérieur du détachement des soldats de l’Armée rouge était un certain Chinder.

Fekla Alexéévna Dedioukhina, 26 ans – la serveuse de l’hôtel Américain:



Tabl. 2.

Praskovia Ivanovna Morozova, 28 ans – la serveuse de l’hôtel Américain:



Tabl. 3.

Après que Praskovia Morozova a fait honte à Fekla Dedioukhina dans la cohabitation avec Chender qui participait aux meurtres massifs, probablement, de par la dénonciation de Dedukhina, elle était soupçonnée de “la contre-révolution” et était licenciée 10 juillet.

Il est clair que les déclarations de Dedioukhina sur l’apparence de Nikouline, ne doivent pas être prises au le considération.

Il est intéressant de comparer les déclarations de A. Piankova et de P. Morozova. A. Piankova plus jeune, chez elle Gorine – beau, Morozova P. est plus aîné, elle remarque qui aux séances des tchekistes est assis en tête de la table, et donc, le vrai supérieur, et Gorine chez elle, sans regarder l’apparence, dirige les meurtres massifs. Cela confirme l’idée que, les bolcheviques créaient la révolution par les mains de la jeunesse verte qui non capable de par l’inexpérience estimer du changements, passant au pays.

Gorine et Radzinski, probablement, étaient liés par amitié, puisque les jeunes filles se confondent dans les numéros de pièces. Souvent, probablement, les voyaient ensemble.

Anna Nazarovna Chveïkina, 43 ans – la femme de chambre dans l’hôtel Américain.



Tabl. 4.

Après Loukoïanov étaient par les supérieurs Gorine, Rodzinski, Kaïgorodov. Le secrétaire Yarovski.

Loukoïanov, Rodzinski et Gorine – les étudiants de Perm, vers eux les parents arrivaient. Kaïgorodov – l’ouvrier de l’usine à Motovilikha (le bourg près de Perm), le supérieurs du détachement de combat Chinder. Aux séances participaient Beloborodov, Golochtchekine, Tchoutskaev, Jilinski et Yourovski.

“… Cette serveuse presque a amené à la fusillade la serveuse Morozova, qui la condamnait dans la proximité vers des bolcheviques et la sympathie vers leur…”

A.M. Piankova: “… Par le supérieur du détachement des soldats d’Armée rouge, était un certain Chinder (Chender – auteur). Il était le concubin de la serveuse Fekla Dedioukhina et, au départ de la ville, de par mots de elle, a volé le porte-monnaie avec 60 roubles de l’argent…”

Clairement, pourquoi Fekla Dedioukhina ne veut pas honnêtement décrire l’apparence de Nikouline Elle la concubine du supérieur de détachement punitif de Chender. Praskovia Morozova était licenciée, mais se trouve, pouvaient et fusiller.

“… Un principal travail et un remue-ménage se passait chez nous pendant la nuit: les perquisitions, les arrestations, les fusillades…”

En déclarations des testimonials se décrivent souvent l’apparence et les vêtements, mais les noms de les personnes, de qui décrivent restent par inconnus. Les déclarations des travailleuses de l’hôtel sont très utiles dans l’identification des participants des événements. Avec leur aide, par exemple, on réussit plus à apprendre l’activité des jeunes étudiants de Perm de Rodzinski et de Gorine.

12.CDOMRS f. 221, in. 1, af. 66.
13.CDOMRS f. 41, in. 2, af. 28, f. 34.

Türler ve etiketler

Yaş sınırı:
18+
Litres'teki yayın tarihi:
04 mart 2021
Hacim:
382 s. 221 illüstrasyon
ISBN:
9785005336163
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