Kitabı oku: «Correspondance, 1812-1876. Tome 3», sayfa 21
CCCLXI
M. CHARLES DUVERNET, A PARIS
Nohant, 30 janvier 1853.
Chers amis,
Je suis contente que vous soyez contents, que Paris vous amuse, que la bonne Berthe y ouvre de grands yeux. Je pense vous y rejoindre le mois prochain. Rien de nouveau dans le pays, que vous ne sachiez: la mort de madame Vergne et la banqueroute de M. Chabenet. Planet, qui est venu dîner avec nous aujourd'hui, m'a dit que tu y étais pour quelques milliers de francs. C'est fort désagréable sans doute; mais ce l'est moins que si la chose fut arrivée il y a quelques mois. Je sais que ta mère se porte bien, Borie l'ayant vue, il y a deux jours. Quant à Nohant, c'est toujours la même régularité monastique: le déjeuner, l'heure de promenade; les cinq heures de travail de ceux qui travaillent, le dîner, le cent de dominos, la tapisserie pendant laquelle Manceau me fait la lecture de quelque roman; Nini, assise sur la table, brodant aussi; Borie ronflant, le nez dans le calorifère et prétendant qu'il ne dort plus du tout; Solange le faisant enrager; Emile32 disant des sentences. Nous avons ici un temps magnifique, du soleil chaud, ou un ciel gris et doux. Les amandiers fleurissent, et je crois que les rossignols vont arriver. Je fais faire des travaux, dont je ne sais pas m'occuper beaucoup et qui ne me montent pas la tête, comme ceux qui consument d'impatience et d'activité fiévreuse notre bon Planet. Je l'ai trouvé mieux moralement que je ne m'y attendais, mais bien changé, quoique son état général soit amélioré. Solange va repartir et me laisse Nini. Elle ira vous voir.
Racontez-moi si vous avez vu l'impératrice et quelle mine qu'elle a. Puisque Sa Majesté la promène pour la présenter à la population, vous avez le droit d'exiger qu'on vous la montre.
Bonsoir, mes chers enfants; je m'aperçois que je vous écris sur une feuille simple. Ce n'est point par paresse, mais l'heure du sommeil arrive, et, comme j'ai la vertu de me coucher à une heure du matin, je n'y dois pas déroger. Le progrès que j'ai fait de dormir la nuit m'a remis sur mes pattes. Je me porte très bien depuis un mois. Et toi, te trouves-tu bien de l'air de Paris? Il ne vaut certes pas celui du Coudray; mais la distraction est une compensation, surtout pour les organisations nerveuses. J'espère que ma grosse Eugénie ne va pas perdre ses couleurs et son embonpoint berrichons.
Je vous embrasse de coeur tous deux, ainsi que la petite Berthe. Je donne trois coups de poing à ton gros gars. Engage-le de ma part à ne pas trop écrire de lettres, ça pourrait le fatiguer. Une pichenette à Marquis le rentier33; heureux vieillard!
Tout mon monde vous envoie amitiés, compliments, Hommages.
CCCLXII
SON ALTESSE LE PRINCE NAPOLÉON (JÉRÔME) A PARIS
Nohant, 8 février 1853.
Merci, cher prince; j'attendais pour vous envoyer mes actions de grâces que le nom de Patureau parût au Moniteur. J'ignore encore s'il y a figuré; car on ne se le procure pas aisément là où je suis. Mais j'ai reçu de M. Charles Abbattucci la confirmation de votre bonne nouvelle et j'ai envoyé sa lettre comme passeport à mon fugitif. Je l'attends, et il vous exprimera sa reconnaissance lui-même probablement, dans son langage de paysan et d'honnête homme.
J'irai à Paris vers la fin du mois. Si, comme j'en suis sûre, chère Altesse impériale, les grandeurs temporelles ne vous ont pas changé, je vous demanderai de venir me serrer la main dans mon petit taudis de poète-classique; car je vous aime et je crois en vous, quelque monseigneur que vous soyez.
CCCLXIII
A MAURICE SAND, A PARIS
Nohant, 16 février 1853.
Mon cher enfant,
J'ai été bien malade pendant deux jours d'une affreuse migraine. Je vais bien aujourd'hui et j'ai été me promener jusqu'à Vic, où l'on retourne le terrain autour de l'église et où l'on trouve des tombeaux et des ossements comme si toutes les armées de César et autres Ostrogoths y avaient passé. J'ai fait apporter trois cercueils de pierre dans notre jardin, et, avec la permission du maire et du curé, j'ai mis trois ouvriers pour remuer un petit coin, où l'on n'a trouvé aujourd'hui que des débris déjà fouillés à je ne sais quelle époque. En fouillant plus bas, au-dessous de la couche de sarcophages, on trouve de la brique romaine, et des squelettes couchés avec ordre dans des cercueils de maçonnerie, la tête couverte seulement d'une pierre. Malheureusement, pour faire faire des fouilles avec soin, l'endroit n'est pas commode et nous n'avons trouvé ni monnaie ni bijoux.
Mais ces découvertes nous ont mis en goût de recherches, et, comme je me rappelle un endroit du jardin, sous les noyers, d'où j'ai vu extraire autrefois toute une première couche de sépultures et d'ossements, nous allons nous amuser à faire creuser plus bas pour voir si, là aussi, nous trouverons le lit romain. Alors, en y ayant l'oeil et la main, nous trouverons peut-être des monnaies et des lacrymatoires.
Pendant que nous fouillons les tombes et qu'Émile, penché sur la fosse béante, se donne des airs de vampire, tu cours le bal et la mascarade. Amuse-toi bien, mais pas trop et n'échine ni ta santé ni l'on travail. J'ai repris le mien aujourd'hui, après deux jours de souffrances atroces. M'en voilà encore une fois revenue, et j'arrive à la fin de mes deux gros volumes de berrichon. Nini va bien; dis-le à Solange, à qui, du reste, j'écrirai demain. J'ai, ce soir, la tête encore un peu en marmelade. Patureau est de retour au pays. Périgois est gracié. Il fait assez froid mais très beau. Ton atelier est si magnifique, qu'il n'y aurai ni châtelain du royaume de Léon, ni reine des Asturies, mieux logés que toi.
Bonsoir, mon petit. Écris-nous si tu as fait de l'épate avec ton costume. Tu ne seras pas si bien coiffé que si j'étais là. Je t'embrasse mille fois. Tâche de ne pas t'enrhumer.
Le jardinier a peur des sarcophages de pierre que j'ai fait mettre dans le jardin. Il n'ose plus sortir le Soir!
CCCLXIV
A M..ET MADAME ERNEST PÉRIGOIS, A LA CHÂTRE
Paris, mars 1853.
Chers enfants,
Merci encore et toujours pour toutes vos tendresses pour ma petite-fille… Il me tarde de vous remercier, de vous embrasser, de revoir ma Nini et de me retrouver dans mon nid tranquille; car je m'ennuie ici à avaler trois langues, si je les avais. Tout le monde y est bête à manger de l'herbe, surtout les gens d'esprit, qui redoublent de vide et de paradoxe pour prouver que tout est pour le mieux.
Je fais mon possible pour sourire à toute chose en me parlant à moi-même, pour me consoler de ce que j'entends. Mais, il me semble que je suis aux galères. On sent tellement que la contradiction ne serait qu'un jeu d'esprit et n'atteindrait pas des coeurs vides ou absents! Quelle décadence que celles des âmes, et comme l'intelligence est stupide quand elle se met à vouloir vivre et marcher toute seule!
Aussi les arts périssent et se traînent froids devant des yeux troubles.—Cependant la pièce de Ponsard l'Honneur et l'Argent a fait vibrer encore un peu de jeunesse à l'Odéon. C'est presque de l'opposition que d'oser mettre ces deux choses en parallèle.
À bientôt, chers amis; mille et mille tendresses de tous les miens pour vous. Je vous embrasse de coeur.
GEORGE SAND.
CCCLXV
A M. SULLY-LÉVY, A PARIS
Nohant, juin 1853.
Merci, merci, mon cher enfant! Vous êtes la providence du théâtre de Nohant, qui vous donne plus de peine qu'il ne vaut, mais qui vaudra grâce à vous. Encouragez bien notre ingénue et dites-lui qu'il n'y a pas de beaux esprits ici, mais de très bonnes gens, sans en excepter les romanciers.
Dans deux ou trois jours, je vous écrirai pour vous dire le jour et l'heure où ma voiture pourra se trouver à Châteauroux; car les diligences ne correspondent plus avec l'arrivée des convois, et je ne peux pas disposer de mes moyens de transport pour une seule personne. Priez donc mademoiselle Berengère d'être bien gentille et bien exacte au rendez-vous que nous lui donnerons; car j'ai à coeur de ne pas la laisser attendre et s'ennuyer à Châteauroux ou s'embarquer pour Nohant dans une guimbarde berrichonne par le joli temps qu'il fait.
Ce sera pour le 30 juin, le 1er ou le 2 juillet, et il faudra partir de Paris par le convoi de neuf ou dix heures du matin. Je vous dirai cela d'une manière plus précise; mais prévenez-la. Si elle a quelques chiffons à l'usage d'une gentille villageoise très simple, faites-les-lui apporter; sinon, nous la costumerons ici. Dites-lui d'avance toutes mes amitiés. Qu'elle sache aussi que je suis liée d'amitié avec M. Vaez, que j'attends lui-même un de ces jours.
Remerciez pour moi les jeunes gens qui ont bien voulu répondre à l'appel de Maurice; nous comptons sur eux. Quand pouvez-vous être de la partie? ce sera pour une autre année, j'espère.
A vous de coeur
G. SAND.
CCCLXVI
A MAURICE SAND, A PARIS
Nohant, 25 septembre 1853.
Cher vieux,
Le jour de notre arrivée, il a passé sur la route un pifferaro napolitain, que j'ai happé bien vite; ce n'était pas un fameux maître sonneur; mais sa musette est bien autrement belle de sons que les nôtres, et il jouait des airs qui avaient beaucoup de caractère. Il y avait avec lui deux musiciens de Venise sans aucune couleur locale, et un jeune homme qui dansait très joliment, très sérieusement, et les yeux baissés, des cachuchitas et des jotas, d'une manière si pareille aux paysans maïorquins, et il en avait si bien les airs et le type, que j'aurais juré que c'en était un. Il m'a dit qu'il était de Tolède et qu'il dansait à la manière des gens de son pays. Alors c'est absolument la même chose qu'à Maïorque.
Je ne crois pas du tout qu'on ait joué Nello à Bruxelles. Tout au contraire, Hetzel le retire parce qu'on n'a pas maintenu les acteurs qu'on lui avait promis.
Ne reste pas trop longtemps, mon Bouli; je t'embrasse comme je t'aime.
Tes petits camarades t'embrassent aussi.
CCCXLVII
A MADAME AUGUSTINE DE BERTHOLDI, A VARSOVIE
Nohant, 28. octobre 1S53.
Ma chère mignonne, je suis bien contente de te savoir arrivée en bonne santé, et installée chez de si excellents parents. Embrasse mon Georget, qui écrit de si belles lettres et qui voyage comme un homme. Rien de nouveau depuis ton départ. Maurice Lambert et Manceau sont toujours ici; nous allons prendre notre volée pour Paris dans peu de jours, je pense. Nous attendons qu'on nous dise que Mauprat est près de passer.
Il paraît que les répétitions vont bien et qu'on prépare des décors superbes. Mademoiselle Fernand jouera Edmée. Elle va jouer aussi Claudie, que l'on reprend à l'Odéon. On a repris le Champi avec de nouveaux acteurs. La petite Bérengère, que tu as vue ici, a joué très bien Mariette. Thiron est parti avec Rachel pour la Russie; il fait partie de sa troupe. Peut-être le verrais-tu à Varsovie. Buthiaud a débuté très bien à l'Odéon. Le Pressoir va toujours bien Voilà toutes les nouvelles de théâtre nous concernant.
Moi, j'ai fait un roman, et une préface pour la nouvelle édition de Balzac. Voilà mon travail de ce mois-ci. Je me porte bien. Je travaille tous les jours à mon petit Trianon: je brouette des cailloux, j'arrache et je plante du lierre, je m'éreinte dans un jardin de poupée, et cela me fait dormir et manger on ne peut mieux. Nous avons eu des temps affreux; mais, depuis quelques jours, il fait chaud comme en été, et nous avons été aujourd'hui nous promener au Magnier.
Madame Fleury est partie avec ses filles pour rejoindre son mari à Bruxelles. Le pauvre Planet s'en va, lui, tout à fait. Il se promène encore un peu, et il est venu me voir hier, avec sa femme et son beau-père. Il se voit bien partir et fait ses adieux à tous ses amis avec sa bonté et son effusion ordinaires. Je ne le crois pas si près de sa fin que les médecins le prétendent; mais je crois bien qu'il n'en reviendra pas. C'est un vrai chagrin pour moi; car, après Rollinat, c'était le meilleur du pays.
L'empereur et l'impératrice ont été voir le Pressoir. L'empereur a beaucoup applaudi, l'impératrice a beaucoup pleuré. On s'inquiète fort de la guerre à Paris. Dans les campagnes, tu sais qu'on ne s'occupe que du temps qu'il fait. La vendange est à peu près nulle. La moisson a été mauvaise. Les noix ont gelé. Les pommes de terre sont malades. On craint un hiver très malheureux pour les pauvres, gêné pour tout le monde.
Comme nous voilà tout seuls en famille, le petit théâtre remplace le grand, et Maurice, avec Lambert, nous donne souvent des représentations de marionnettes. Ils ont fait encore des merveilles de décors et de costumes.
J'espère que je te donne un bulletin complet de nos faits et gestes. Réponds-moi pour tout ce qui t'occupe et t'intéresse. Écris-moi toujours ici; car je ne compte pas rester longtemps à Paris, et, d'ailleurs, on me renverra tes lettres.
Bonsoir, ma mignonne chérie; je t'embrasse mille fois. Maurice t'embrasse de tout son coeur.
CCCLXVIII
A MAURICE SAND, A PARIS
Nohant, 13 décembre 18S3.
J'ai reçu ta lettre, mon vieux Bouli. J'étais inquiète, toujours à propos de pommes cuites! et j'avait écrit hier soir à Lambert de me donner de tes nouvelles.
Je suis contente que tu ailles bien. Je vois bien aussi. Il a fait aujourd'hui un temps charmant.
J'ai été avant-hier au spectacle de la Châtre entendre des chanteurs montagnards fort intéressants.
Je travaille avec zèle à une petite comédie qui m'intéresse. C'est pour le Gymnase.—Je cultive toujours les nymphes de Trianon; mais leurs eaux sont pourries. Ainsi finissent les nymphes en ce siècle de prose! Je ne me dégoûte pourtant pas de Trianon, parce que les mousses et le lierre sont de tous les temps et sont toujours prêts à renaître. Nini a une brouette et s'en va bruquant dans tous les arbres. Elle est très gentille et demande pourquoi tu es à Paris quand elle est à Nohant.
Rien de nouveau, qu'une lettre de Titine que je t'envoie. Travaille, amuse-toi et aime-moi. Je te bige mille fois.
CCCLXIX
A JOSEPH MAZZINI A LONDRES
Nohant, 15 décembre 1853.
Je n'ai pas cessé de vous chérir et de vous respecter, mon ami. Voilà tout ce que je peux vous dire; la certitude que toutes les lettres sont ouvertes et commentées doit nécessairement gêner les épanchements de l'affection et les confidences de la famille.
Vous dites que je suis résignée, c'est possible; j'ai de grandes raisons pour l'être, des raisons aussi profondes, à mes yeux, aussi religieuses et aussi philosophiques que vous paraissent celles qui vous défendent la résignation. Pourquoi supposez-vous que ce soit lâcheté ou épuisement? Vous m'avez écrit à ce sujet des choses un peu dures. Je n'ai pas voulu y répondre. Les affections sérieuses sont pleines d'un grand respect, qui doit pouvoir être comparé au respect filial. On trouve parfois les parents injustes, on se tait plutôt que de les contredire, on attend qu'ils ouvrent les yeux.
Quant aux allusions que vous regrettez de ne pas voir dans certains ouvrages, vous ne savez guère ce qui se passe en France, si vous pensez qu'elles seraient possibles. Et puis, vous ne vous dites peut-être pas que, quand la liberté est limitée, les âmes franches et courageuses préfèrent le silence à l'insinuation. D'ailleurs, la liberté fût-elle rétablie pour nous, il n'est pas certain que je voulusse toucher maintenant à des questions que l'humanité n'est pas encore digne de résoudre et qui ont divisé jusqu'à la haine les plus grands, les meilleurs esprits de ce temps-ci.
Vous vous étonnez que je puisse faire de la littérature; moi, je remercie Dieu de m'en conserver la faculté, parce qu'une conscience honnête, et pure comme est la mienne, trouve encore, en dehors de toute discussion, une oeuvre de moralisation à poursuivre. Que ferais-je donc si j'abandonnais mon humble tâche? Des conspirations? Ce n'est pas ma vocation, je n'y entendrais rien. Des pamphlets? Je n'ai ni fiel ni esprit pour cela. Des théories? Nous en avons trop fait et nous sommes tombés dans la dispute, qui est le tombeau de toute vérité, de toute puissance: Je suis, j'ai toujours été artiste avant tout; je sais que les hommes purement politiques ont un grand mépris pour l'artiste, parce qu'ils le jugent sur quelques types de saltimbanques qui déshonorent l'art. Mais vous, mon ami, vous savez bien qu'un véritable artiste est aussi utile que le prêtre et le guerrier; et que, quand il respecte le vrai et le bon, il est dans une voie où Dieu le bénit toujours. L'art est de tous les pays et de tous les temps; son bienfait particulier est précisément de vivre encore quand tout semble mourir; c'est pour cela que la Providence le préserve des passions trop personnelles ou trop générales, et qu'elle lui donne une organisation patiente et persistante, une sensibilité durable et le sens contemplatif où repose la foi invincible.
Maintenant, pourquoi et comment pensez-vous que le calme de la volonté soit la satisfaction de l'égoïsme? À un pareil reproche, je n'aurais rien à répondre, je vous l'avoue; je ne saurais dire que ceci: Je ne le mérite pas. Mon coeur est transparent comme ma vie, et je n'y vois point pousser de champignons vénéneux que je doive extirper; si cela m'arrive, je combattrai beaucoup, je vous le promets, avant de me laisser envahir par le mal.
Je répondrai à M. Linton dans quelques jours. C'est une affaire, en somme, et il faut que je m'occupe de cette affaire, c'est-à-dire que je consulte, que je relise des traités: le tout pour savoir si je ne suis pas empêchée pour clause entendue ou sous-entendue, dont je ne me souviens pas. Sous le rapport des intérêts matériels, je suis restée dans un idiotisme absolu; aussi j'ai pris un homme d'affaires qui se charge de tout le positif de ma vie; je désire être à même de satisfaire M. Linton et de répondre à ses bonnes intentions. Adieu, mon ami, ne me croyez pas changée, pour vous, ni pour quoi que ce soit.
GEORGE
FIN DU TOME TROISIÈME