Kitabı oku: «Tennis - La methode d'auto apprentissage», sayfa 2
1.3 Surface de contact – forme de mouvement
Il a déjà été mentionné que le mouvement du joueur est l’établissement d’une relation entre celui-ci et la balle. Cette relation s’établit non seulement quand le joueur touche la balle avec la raquette, mais, déjà avant ça, lorsque il doit adapter ses gestes au comportement de l’adversaire et à celui de la balle dans l’espace pendant son vol. Plus le joueur adapte ses mouvements au comportement de la balle qui approche – dans une optique d’espace et de temps – plus exactement synchronisé (timed) sera exécuté le coup.
Les demandes de description sur la relation doivent englober tous les rapports d’espace-temps entre le joueur et la balle avant, pendant et après la frappe de la balle. De cette façon, le mouvement de contact entre la surface de la raquette et la balle est profitable. Imaginons simplement la situation suivante : Deux joueurs se tiennent l’un en face de l’autre. L’un d’eux sert la balle à hauteur de tête. Son adversaire doit alors rattraper la balle avec sa raquette sans que celle-ci ne rebondisse. Il en résulte les phases de mouvement suivantes :
• Frappe perpendiculaire de haut en bas au-dessus de filet.
• Frappe perpendiculaire vers le haut quand la balle tombe pour la première fois.
• Frappe perpendiculaire vers le haut après que la balle ait touché le sol et rebondi (Fig. 3).
• Frappe perpendiculaire vers le haut après que la balle ait touché le sol et soit retombée.
Afin de rattraper la balle en douceur, la vitesse de mouvement de la raquette doit correspondre à celle de la balle. Si le joueur s’efforce de suivre le mouvement vertical de la balle avec sa raquette au moment même où son partenaire sert la balle, il lui est plus facile d’effectuer son approche à hauteur identique lorsque la dite balle redescend. Pour réaliser cette performance il faut déterminer le rapport espace – temps. Ainsi, le « timing » du mouvement de la raquette représente la performance du mouvement de l’ensemble du corps. Ce comportement du contact vertical acquis est également mis en pratique lors de l’exécution des séquences de mouvement mentionnées plus haut :
• Pour une frappe de haut en bas, la raquette suit tout d’abord la balle vers le haut et dès la frappe, vers le bas, ensuite elle rejoint le mouvement « haut-bas » (smash/ service) du joueur.
• Pour une frappe de bas en haut, la raquette suit tout d’abord le mouvement ascendant de la balle, ensuite la raquette redescend, puis pendant le service, monte à nouveau. Ceci provoque chez le joueur un mouvement ascendant – descendant – ascendant (haut – bas – haut) accompagné d’un changement rythmique (volée, demi-volée, coup au sol). La hauteur à laquelle l’adversaire frappe la balle importe peu . Les rapports temps-espace restent constants. Les rythmes de mouvement résultant des frappes mentionnées plus haut sont applicables dans les cas suivants :
• Le smash et le service (zone de tir au premier mouvement ascendant et au premier mouvement descendant de la balle au-dessus du filet).
• La volée (zone de tir au premier mouvement descendant de la balle).
• La demi-volée (zone de tir au rebond de la balle envolée).
Fig. 3 : Demi-volée, aspect vertical
Coups au sol (zone de tir au deuxième mouvement descendant après rebond de la balle (Fig. 4).
Fig. 4. Répartition des frappes selon le rythme de mouvement
Cette structuration est possible puisque le mouvement vertical n’est pas influencé par la vitesse verticale respective de la balle. Si les adversaires s’éloignent l’un de l’autre, le « mouvement de prise » doit aussi s’adapter au mouvement horizontal de la balle et la constante ‘temps’ subsiste dans le rapport vertical. Ainsi, la raquette peut « coller » à la balle directement dans l’espace de mouvement. Pourtant, aussitôt qu’elle quitte cet espace, l’axe longitudinal de la raquette, qui est pointé sur la balle, garde le contact par le biais du « dessin » simultané de la trajectoire courbe de la balle (Fig. 5).
Fig. 5. Demi - volée – « dessiner »
Le rythme crée en gardant le contact permet de donner une impulsion contrôlée au point de l’impact. Même si le temps d’impulsion ne dure qu’une fraction de seconde, et aucune correction consciente de mouvement n’est possible, la forme de mouvement de la surface de la raquette doit correspondre à la trajectoire, donnée ou désirée, de la balle avant, mais aussi après la frappe. On y parvient grâce à un parcours d’accompagnement, lequel doit être le plus long possible. En même temps, le centre de la surface de la raquette est mis à niveau avec le plan d’arrivée. Le mouvement perpendiculaire régule la hauteur et l’inclinaison de la surface de la raquette influence la modulation du vol de la balle. Si par exemple, il faut frapper une balle sans rotation, la surface de la raquette doit, à la frappe, être perpendiculaire au mouvement instantané de la balle. Puisque néanmoins le mouvement de la balle se modifie durant le laps de temps d’accompagnement, alors l’inclinaison de la surface de la balle doit correspondre à la trajectoire en courbe de la balle par une rotation autour de l’axe longitudinal. Ainsi, la trajectoire en courbe de la balle est avant tout suivie puis anticipée par « l’ouverture » et la « fermeture » de la surface de la raquette. Or, la raquette n’est pas un objet suspendu en l’air. Le joueur doit la mettre en mouvement de manière appropriée. De cette façon, il se réfère à la trajectoire de la balle. Le mouvement ‘de haut en bas’ de la raquette correspond à l’aspect vertical, celui ‘d’avant en arrière’ , à l’aspect horizontal et la modification de l’inclinaison de la surface de la raquette correspond, elle, à l’aspect de la trajectoire de la balle. La transmission de la trajectoire courbe de la balle au corps du joueur via le mouvement de la raquette consiste à « lire », à comprendre et à « dessiner » simultanément ce que le joueur perçoit de la balle dans le but d’en déterminer les futurs mouvements durant l’accompagnement. Mieux cela fonctionne, plus précise est l’unité avec la balle et mieux réalisée est l’unité de perception et de mouvement .
1.4 Gravitation et rythme de jeu
Si le mouvement du joueur est crée par le processus de ‘dessiner’ ce qu’il voit ou ce qu’il s’efforce de faire, le rythme du mouvement (le timing) produit par l’unité de la balle et du joueur est donc un résultat lié aux rapports entre la surface de la raquette et la balle. Les trajectoires en courbe de la balle qui sont toujours similaires, et la surface de la raquette, laquelle suit simultanément la trajectoire de la balle imposent le rythme du mouvement au joueur. Les mouvements répétitifs du corps sont similaires parce que le corps permet à la surface de la raquette de respecter les règles. La compulsion de la surface de la raquette vers un mouvement rythmique correspond à la forme du mouvement de l’ensemble du corps. L’implication du déroulement simultané de la perception et du mouvement devient possible par la gravitation. Le joueur se comporte comme s’il savait déjà ce qui allait se produire à l’avenir. En se déplaçant, il s’abandonne à une loi qu’il considère comme acquise. Lorsqu’il se déplace, il se fit à la validité de la loi de la gravitation. Cette confiance correspond au processus « danser ». Le danseur ne bouge pas les pieds après avoir entendu un son ou un rythme de mélodie, mais simultanément, avec ce son ou ce rythme musical. Il a confiance en ce flux de rythme de la mélodie, il le considère comme convenu.
1.5 Langage propre et langage extérieur
La méthode « Timing défini» offre la possibilité d’influencer l’imagination par l’accompagnement du langage (communications verbales) afin qu’un mouvement contrôlé puisse être enseigné. L’invariance des rythmes de mouvement, crée par la constance du temps selon l’aspect vertical, permet un accompagnement verbal synchrone du mouvement. Ainsi, la forme du langage sera sophistiquée par le contenu des paroles ; qui plus est, la connexion des propos peut être suivie par rapport au temps. Si on compte au moment du contact de la balle (série de coups), on prend conscience de ce contact. Et si, en plus, on compte les points d’impact du partenaire d’en face, on devient également conscient du temps disponible pour l’élan et la frappe. Cette utilisation optimale du laps de temps disponible pour renvoyer la balle selon l’objectif est effectuée via la surface de contact et la forme de mouvement à apprendre. Elle donne au rythme de mouvement un « timing », un temps vécu. L’accompagnement verbal à ‘haute voix’ a pour effet de provoquer l’intégration du rythme dans le mouvement. Contrairement à l’action de penser ‘à voix haute’ à peine contrôlée, les paroles, leur contenu mental mis à part, ont toujours une évolution chronologiquement structurée. Donc, l’accompagnement verbal simultané permet d’imaginer le contenu mental et de comprendre un événement universel, à savoir la gravitation, qui constitue une partie de la nature et que la physique décrit en termes de loi. L’unité ambiguë de concentration et de processus méditatif se trouve dans la parole. La perception en tant que sorte de fixation (voir C. F. v. Weizsäcker 1983) reçoit son identité dans la compréhension simultanée de l’action globale. Le plus important au départ pour le débutant est le laps de temps de l’impact (‘coller’ – ‘dessiner’) de la balle, il s’agit alors de trouver ce point d’impact. Le contrôle de la balle par le biais de ‘l’accompagnement’ prend davantage d’importance après que l’on ait assimilé le rythme général. Mais c’est uniquement en comprenant leur corrélation que les élans et les frappes peuvent devenir des mouvements de plus en plus dynamiques et précis. La fonction, insignifiante, de l’impact en tant que point d’accompagnement est de révéler les données physiques de la trajectoire de la balle ultérieurement par un vecteur de force. Ceci ne peut expliquer l’acte biologique, lequel est responsable de ce résultat. Lorsqu’on s’entraîne, on parle et on entend son mouvement. Et si on accompagne verbalement les mouvements de son partenaire, , on l’aide au timing et on s’entraîne soi-même en observant et en saisissant les mouvements du partenaire qui détermine la prochaine balle à frapper. Si les deux joueurs parlent (Fig. 6), une correction automatique de timing (« reflet »/modèle) se produit par le biais de la synchronisation du langage (« chœur »). Dans les deux cas, une concentration continue est mise en place, un « fil conducteur » courant qui ne peut être perturbé par des influences extérieures au jeu. Ce processus provoque cette sorte de distraction inhérente à tout acte de jeu.
Fig. 6 : Identité du mouvement de reflet/modèle et de langage synchronisé
1.6 Liberté et compulsion
La différence de méthode s’explique par la réalisation d’un mouvement au moyen de la surface de contact, de la forme du mouvement de la raquette et de la balle, et non par la recherche d’une solution passant par une description phénographique. Cette dernière est basée sur la croyance en l’existence du « mouvement » comme donné, et du « résultat exigé ». Notre méthode n’envisage le mouvement que comme une possibilité. Ce n’est pas le déterminisme d’un système cybernétique mais la liberté d’un individu dans une situation respective qui détermine la forme de mouvement. A première vue, la surface de contact et la forme du mouvement, qui doivent être assimilées, apparaissent comme une compulsion anormale (mouvement compulsif entre surface de contact et forme de mouvement entre raquette et balle). Entre la surface de la raquette et la balle, une relation mathématique et physique est établie, et afin d’apporter une certaine précision à la description, on utilise des lignes droites, des paraboles ainsi que l’accélération de la pesanteur. Cette précision, en considérant la forme phénographique, liée à l’intention de mouvement (à savoir, frapper correctement la balle) correspond à une idée exactement définie en ce qui concerne la perception. Les expressions du mouvement telles que « rester en contact », « guider », « ouvrir », « fermer » peuvent être décrites en termes physiques tels que « cercle », « lignes droites », « courbe » et « pendule ».
Fig. 7 : Coup au sol – « accompagnement »
En réalité, la compulsion n’est que le coté ambigu de la liberté. La liberté de décider la réalisation d’un but défini doit être payée du sacrifice de la variété des possibilités, c.-à-d. que le joueur doit prendre une décision. Une fois qu’il a fait son choix, il est soumis
aux lois d’une probabilité.
A ce propos, Christian (1963) parle de l’aide appréciée comme d’une chose typiquement humaine. Si la balle doit être envoyée dans une grande zone de tir, le mouvement de surface de la raquette reste difficilement maîtrisé (parce que non-structuré). Toutefois, lors d’une frappe correcte vers une petite zone de tir (séries de jeu), le mouvement de surface se structure afin de guider la balle avec précision. (Fig. 7 et Fig. 8). Si on détermine à l’avance la distance et la hauteur de la trajectoire de la balle, si en plus, on requiert une rotation avant/ arrière (modulation), et si on prend en compte les conditions d’anticipation de la balle et les actions de l’adversaire, alors le mouvement de surface de la raquette, qui doit générer une impulsion de force adéquate au moment de l’impact, devient de plus en plus défini.
La forme coïncidente entre la balle et la surface de raquette, le parallélisme entre perception et mouvement - offrent la possibilité de décrire le processus comme une interdépendance psychophysique qui tient compte du caractère axiologique, de l’intention de mouvement.
La relation mathématique et physique entre le mouvement de la surface de raquette et la balle, ajoutée à l’intention de mouvement de frapper et d’envoyer correctement cette dernière, permet de décrire une structure espace-temps ; le « timing » du mouvement. Cette structure se caractérise par le but, l’attente, le langage et l’action, elle ouvre d’inimaginables perspectives d’étude de mouvement. Cette étude doit prendre en compte, d’une part, la précision d’une abstraction mathématique et physique, et d’autre part, la perception qui se produit simultanément. Ainsi, la contradiction apparente entre liberté et compulsion se détermine dans la forme.
Fig. 8 : Demi-volée – « accompagnement »
Fig. 9 : « envoyer » - « attraper »
2. « DEFINIERTES TIMING » : CONSEQUENCES PRATIQUES
Tout comme la découverte de la forme coïncidente de mouvement ; le fait de « se former » par la « compréhension », la structure externe du système d’enseignement fut développée grâce à l’interaction continue entre le déroulement total d’une leçon et sa réalisation.
2.1 Rythme de mouvement et zones de définition
Les zones de perception définissables et les structures de mouvement sont liées aux quatre rythmes de mouvement suivants : coup au sol, demi-volée, volée et smash/service.
La figure 9 montre l’action d’envoyer et d’attraper la balle comme un exercice de base duquel sont déduits les quatre rythmes de mouvement.
Fig. 10 : Zone de définition – coup au sol
La figure 11 montre la structure du mouvement « coller » de la surface de raquette à la balle. Le fait de « Coller » dans l’espace direct de mouvement met en évidence le « dessin » de la trajectoire courbe de la balle au loin.
Fig. 11 : Rythme de mouvement du coup au sol – « coller »
La trajectoire courbe dans la figure 12 présente la zone totale de perception pour la demi-volée. La partie en pointillés de la courbe (la section ascendante après le rebond au sol de la balle) représente en fois encore la zone de tir.
Fig.12 : Zone de définition – demi-volée
La figure 13 montre la structure de mouvement correspondant à l’exemple de demi-volée hors portée. La raquette et la balle se trouvent simultanément à la même hauteur.
Fig. 13 : Rythme de mouvement de demi-volée – « bas »
Remarque : La condition d’une perception « assurée » a pour objectif un mouvement « rayon conducteur » lent (œil – tête – corps – balle). Le mouvement de l’ensemble du corps lorsqu’on se tourne vers la balle est une mesure logique pour la réalisation d’une image rétinienne la plus stationnaire possible. Dans la zone de vitesse du « rayon conducteur » qui est ‘trop élevée’, un espace de perception constitue un équivalent raisonnable. Cette particularité concerne la zone peu de temps après le rebond de la balle au sol (la grande vitesse verticale angulaire du rayon conducteur). Dans la zone d’espace direct de mouvement du corps, le joueur prévient un changement d’angle visuel trop rapide en frappant la balle en face de son corps (entre lui-même et la direction prévue de la balle).
La figure 14 montre la zone de perception totale à la volée. La partie en pointillés de la courbe (premier mouvement descendant de la balle) représente la zone de tir.
Fig. 14 : Zone de définition – volée
La figure 15 montre la structure du mouvement. La surface de la raquette suit la balle.
Fig. 15 : Rythme de mouvement de volée – « dessiner »
La figure 16 est une illustration de la perception et de la zone de tir pour le smash qui est identique à celle du service.
Fig. 16 : Zone de définition – service/smash
La figure 17 montre le mouvement ascendant simultané de la raquette et de la balle comme dans l’exemple du service. Quand la balle sort de l’espace direct de mouvement du corps, l’axe longitudinal de la raquette entre en contact avec la balle. Le lancer de la balle vers le haut au service correspond au lob de l’adversaire au smash. Contrairement aux rythmes du coup au sol, de la demi-volée et de la volée, l’objectif, dans ce cas précis, se situe en bas vers le sol. Le mouvement de la raquette, par rapport à l’espace, n’est plus de bas en haut mais de haut en bas.
Fig. 17 : Rythme de mouvement de service – « haut »
2.2 Série d’exercices
Des directives et des explications d’exercices (pour un film ou un tableau éducatif) sont établies dans des formulaires d’exercices comme suit (Fig. 18) :
• Numéro d’exercice
• Série d’exercices
• Zone de définition (rythme de mouvement)
• Zone de tir et zone d’anticipation
• Directives de mouvement
• Mesure de performance
L’information symbolique et verbale est suffisante pour décrire un exercice. Une présentation cinématique (en images) n’est pas nécessaire, mais elle simplifie l’organisation des cours et la compréhension des séquences d ‘exercices. Elle explique la partage de l’espace du court et l’attribution des rôles (le passeur, l’arbitre, etc.). La répartition du mouvement (dans le film par exemple) en l’examinant sous un aspect vertical et latéral, est un « point de vue naturel ». Ainsi, les images d’une vue arrière structurent le mouvement de la façon la plus claire possible.
L’autonomie du mouvements vertical et du mouvement horizontal permet le développement de la série d’exercices, du plus facile au plus difficile, telle une évolution géométrique, du plus proche au plus éloigné. Si le rythme de mouvement est constant, il ne se produit qu’un changement mesurable de la forme du mouvement en parallèle de ce développement.
De cette façon, on peut déterminer le niveau de performance du joueur grâce aux structures géométriques. Pour les quatre rythmes de mouvement et leurs combinaisons, une modification du système de lignes pour les zones de tir et d’anticipation est nécessaire. Ces lignes fixent les limites du jeu dans l’espace, sur le court, lorsqu’on marche et court comme lorsqu’on joue contre son adversaire, et à plus ou moins grande distance.
La détermination de la surface de perception, parallèlement à l’action qui se déroule dans le temps, permet la communication verbale. Les paroles sont liées à l’action par rapport à la surface et au temps.
Phase de concentration additionnelle provisoire
Fig. 18 Formulaire d’exercice
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