Kitabı oku: «Discours civiques», sayfa 14
Il est donc établi d’abord que, dans le département de l’Aube, le prix des meubles et des immeubles qui ont été vendus n’a pas pu s’élever au-dessus de 12.405 livres; ensuite que notre père, au moment de sa mort, devait encore 16.065 livres sur le prix d’acquisition des immeubles qu’il y possédait.
Voilà pour ce qui concerne le département de l’Aube. Notre tuteur a-t-il eu à faire, pour notre compte, des réclamations dans quelques autres départements? C’est possible, il est même présumable qu’il en a eu à faire relativement à des objets mobiliers; il était trop soigneux de nos intérêts pour que nous puissions croire qu’il ait négligé quelque chose de ce qui s’y rattachait. Mais les sommes dont il a dû obtenir la restitution ont été sans doute peu considérables, car il n’en est rien parvenu jusqu’à nous dans la succession de notre père. D’un autre côté, s’il eût possédé des immeubles dans les départements autres que celui de l’Aube, il fût arrivé de deux choses l’une: 1° ou bien ces immeubles n’eussent pas été vendus; alors nous les posséderions encore aujourd’hui, puisque, à l’exception de la ferme de Nuisement, dont nous avons parlé, nous n’avons jamais vendu d’immeubles; eh bien, nous n’en possédons aucun hors du département de l’Aube; 2° ou bien ils eussent été vendus par la République à son profit; dans ce cas, la République nous en eût plus tard restitué le prix, comme elle l’a fait pour ceux qui ont été vendus dans le département de l’Aube, et nous eussions retrouvé ce prix dans la succession de notre père, soit en valeurs immobilières achetées par nos tuteurs, pour emploi, soit en valeurs mobilières. Eh bien, nous l’avons déclaré précédemment, nous n’avons presque rien recueilli en valeurs mobilières; et, en immeubles, nous n’en avons recueilli aucun qui n’ait été acheté du vivant de notre père, et qui ne fasse partie de l’état que nous avons fourni.
Nous croyons avoir répondu complètement et victorieusement à l’objection précédemment faite.
Notre raisonnement était donc logique quand nous disions: nous n’avons recueilli que cela de la succession de notre père et de notre mère, il est donc évident qu’ils ne possédaient rien autre chose, ni dans le département de l’Aube, ni ailleurs. Toutefois, nous ferons remarquer que, en raisonnant ainsi, nous avons fait abstraction et des 12.405 livres qu’il eût fallu ajouter à leur avoir, et des 16.065 livres qu’il eût fallu retrancher pour établir un compte rigoureusement exact.
Nous avons prouvé d’abord que, si Danton n’était pas riche an commencement de la Révolution, il possédait au moins sa charge d’avocat aux conseils du Roi; ensuite, par l’état que nous avons établi de sa fortune au moment de sa mort, nous avons prouvé qu’on peut regarder ce qu’il possédait à ce moment comme étant à peu près l’équivalent de sa charge, dont il avait reçu le remboursement. Si nous avons prouvé tout cela (comme nous n’en doutons pas); nous avons prouvé aussi que c’est à très grand tort qu’on lui a reproché d’avoir exploité la Révolution pour amasser une fortune énorme et scandaleuse. Certes, on en conviendra, il a bien pu parvenir au degré d’opulence qu’il avait atteint sans se rendre coupable des actes infâmes, des monstrueux et innombrables forfaits que les atroces calomnies de nos ennemis et l’odieux et inique rapport de Saint-Just lui ont si perfidement et si faussement imputés.
Maintenant nous allons citer quelques faits authentiques qui pourront faire apprécier la bonté de son coeur. Nous avons vu précédemment que ce fut en mars et en avril 1791 qu’il acheta la majeure partie, on pourrait même dire la presque totalité des immeubles qu’il possédait quand il mourut.
Voici un des sentiments qui agitaient son coeur en mars et en avril 1791. Il désirait augmenter la modeste aisance de sa mère, de sa bonne mère qu’il adorait. Veut-on savoir ce qu’il s’empressa de faire à son entrée en jouissance de ces immeubles qu’il venait d’acheter? Jetons un regard sur l’acte que nous tenons dans les mains. Il a été passé le 15 avril 1791 (deux jours après la vente faite à Danton par Mlle Piot) par-devant Me Odin qui en a gardé la minute, et Me Étienne son collègue, notaires à Troyes. Danton y fait donation entre vifs, pure, simple et irrévocable, à sa mère, de six cents livres de rentes annuelles et viagères, payables de six mois en six mois, dont les premiers six mois payables au 15 octobre 1791. Sur cette rente de 600 livres, Danton veut qu’en cas de décès de sa mère, 400 livres soient réversibles sur M. Jean Recordain, son mari (M. Recordain était un homme fort aisé lorsqu’il épousa la mère de Danton; il était extrêmement bon; sa bonté allait même jusqu’a la faiblesse, puisque, par sa complaisance pour de prétendus amis dont il avait endossé des billets, il perdit une grande partie de ce qu’il avait apporté en mariage; néanmoins, c’était un si excellent homme, il avait toujours été si bon pour les enfants de Jacques Danton, qu’ils le regardaient tous comme leur véritable père; aussi Danton, son beau-fils, avait-il pour lui beaucoup d’affection). Le vif désir que ressent Danton de donner aux donataires des marques certaines de son amitié pour eux, est la seule cause de cette donation. Cette rente viagère est à prendre sur la maison et sur ses dépendances, situées à Arcis, que Danton vient d’acquérir le 13 avril 1791. Tel fut son premier acte de prise de possession.
On remarquera que cette propriété, au moment où mademoiselle Piot la vendit, était louée par elle à plusieurs locataires qui lui payaient ensemble la somme de 600 livres annuellement. Si Danton eût été riche et surtout aussi riche que ses ennemis ont voulu le faire croire, son grand coeur ne se fût pas contenté de faire à sa mère une pension si modique. Pour faire cette donation, Danton aurait pu attendre qu’il vint à Arcis, mais il était si pressé d’obéir au sentiment d’amour filial qu’il éprouvait que, dès le 17 mars 1791, il avait donné à cet effet une procuration spéciale à M. Jeannet-Bourcier, qui exécuta son mandat deux jours après avoir acheté pour Danton la propriété de mademoiselle Piot. Aussitôt que la maison était devenue vacante et disponible, Danton, qui aimait tant à être entouré de sa famille, avait voulu que sa mère et son beau-père vinssent l’habiter, ainsi que M. Menuel, sa femme et leurs enfants. (M. Menuel avait épousé la soeur aînée de Danton.)
Au 6 août 1792, Danton était à Arcis; on était à la veille d’un grand événement qu’il prévoyait sans doute. Au Milieu des mille pensées qui doivent alors l’agiter, au milieu de l’inquiétude que doivent lui causer les périls auxquels il va s’exposer, quelle idée prédomine, quelle crainte vient l’atteindre? Il pense à sa mère, il craint de n’avoir pas suffisamment assuré son sort et sa tranquillité; en voici la preuve dans cet acte passé le 4 août 1792 par-devant Me Pinot, notaire à Arcis. Q’y lit-on? «Danton voulant donner à sa mère des preuves des sentiments de respect et de tendresse qu’il a toujours eus pour elle, il lui assure, sa vie durant, une habitation convenable et commode, lui fait donation entre-vifs, pure, simple et irrévocable, de l’usufruit de telles parts et portions qu’elle voudra choisir dans la maison et dépendances situées a Arcis, rue des Ponts, qu’il a acquise de mademoiselle Piot de Courcelles, et dans laquelle maison, sa mère fait alors sa demeure, et de l’usufruit de trois denrées de terrain à prendre dans tel endroit du terrain qu’elle voudra choisir, pour jouir desdits objets à compter du jour de la donation». Si M. Jean Recordain survit à sa femme, donation lui est faite par le même acte de l’usufruit de la moitié des objets qu’aura choisis et dont aura joui sa femme.
Nous n’avons pas connaissance que Danton ait jamais fait d’autres dispositions en faveur de sa mère ni de son beau-père. Nous le répétons, si Danton eût été riche, et surtout s’il eût été aussi riche que ses ennemis ont voulu le faire croire, son grand coeur ne se fût pas contenté de faire à sa mère et à son beau-père des dons si modiques; nous sommes intimement persuadés que sa générosité envers eux eût été en proportion de sa fortune.
Voici encore une pièce, peu importante en elle-même à la vérité, mais qui honore Danton et qui prouve sa bonté; c’est une pétition en date du 30 thermidor an II (17 août 1794), adressée aux citoyens administrateurs du département de Paris, par Marguerite Hariot (veuve de Jacques Geoffroy, charpentier à Arcis), qui expose que, par acte passé devant Me Finot, notaire à Arcis, le 11 décembre 1791, Danton, dont elle était la nourrice, lui avait assuré et constitué une rente viagère de cent livres dont elle devait commencer à jouir à partir du jour du décès de Danton, ajoutant que, de son vivant, il ne bornerait pas sa générosité à cette somme. Elle demande, en conséquence, que les administrateurs du département de Paris ordonnent que cette rente viagère lui soit payée à compter du jour du décès et que le principal en soit prélevé sur ses biens confisqués au profit de la République. Nous ne savons pas ce qui fut ordonné. Cette brave femme que notre père ne manquait jamais d’embrasser avec effusion et à plusieurs reprises chaque fois qu’il venait à Arcis, ne lui survécut que pendant peu d’années.
La recherche que nous avons faite dans les papiers qui nous sont restés de la succession de notre grand’mère Recordain, papiers dont nous ne pouvons pas avoir la totalité, ne nous a fourni que ces trois pièces authentiques qui témoignent en faveur de la bonté de Danton dans sa vie privée. Quant aux traditions orales que nous avons pu recueillir, elle sont en petit nombre et trop peu caractéristiques pour être rapportées. Nous dirons seulement que Danton aimait beaucoup la vie champêtre et les plaisirs qu’elle peut procurer. Il ne venait à Arcis que pour y jouir, au milieu de sa famille et de ses amis, du repos, du calme et des amusements de la campagne. Il disait dans son langage sans recherche, à madame Recordain, en l’embrassant: «Ma bonne mère, quand aurai-je le bonheur de venir demeurer auprès de vous pour né plus vous quitter, et n’ayant plus à penser qu’à planter mes choux?»
Nous ne savons pas s’il avait des ennemis ici, nous ne lui en avons jamais connu aucun. On nous a très souvent parlé de lui avec éloge; mais nous n’avons jamais entendu prononcer un mot qui lui fût injurieux, ni même défavorable, pas même quand nous étions au collège; là pourtant les enfants, incapables de juger la portée de ce qu’ils disent, n’hésitent pas, dans une querelle occasionnée par le motif le plus frivole, à s’adresser les reproches les plus durs et les plus outrageants. Nos condisciples n’avaient donc jamais entendu attaquer la mémoire de notre père. Il n’avait donc pas d’ennemis dans son pays.
Nous croyons ne pas devoir omettre une anecdote qui se rapporte à sa vie politique. Nous la tenons d’un de nos amis qui l’a souvent entendu raconter par son père, M. Doulet, homme très recommandable et très digne de foi, qui, sous l’Empire, fut longtemps maire de la ville d’Arcis. Danton était à Arcis dans le mois de novembre 1793. Un jour, tandis qu’il se promenait dans son jardin avec M. Doulet, arrive vers eux une troisième personne marchant à grands pas, tenant un papier à la main (c’était un journal) et qui, aussitôt qu’elle fut à portée de se faire entendre, s’écrie: Bonne nouvelle! bonne nouvelle! et elle s’approche.—Quelle nouvelle? dit Danton.—Tiens, lis! les Girondins sont condamnés et exécutés, répond la personne qui venait d’arriver.—Et tu appelles cela une bonne nouvelle, malheureux? s’écrie Danton à son tour, Danton, dont les yeux s’emplissent aussitôt de larmes. La mort des Girondins une bonne nouvelle? Misérable!—Sans doute, répond son interlocuteur, n’était-ce pas des factieux?—Des factieux, dit Danton. Est-ce que nous ne sommes pas des factieux? Nous méritons tous la mort autant que les Girondins; nous subirons tous, les uns après les autres, le même sort qu’eux. Ce fut ainsi que Danton, le Montagnard, accueillit la personne qui vint annoncer la mort des Girondins, auxquels tant d’autres, en sa place, n’eussent pas manqué de garder rancune.
Avec une âme comme la sienne, il est impossible de ne pas être un honnête homme, nos coeurs nous le disent, et jamais rien n’ébranlera une de nos plus fermes et de nos plus douces croyances en ce monde, celle de devoir la vie à un père qui fut non seulement un homme d’esprit, de génie, d’un grand courage, grand orateur, grand citoyen, aimant sincèrement et passionnément son pays, mais qui fut avant tout un homme probe. Que n’avons-nous son éloquence pour faire passer dans l’esprit de nos citoyens nos convictions, et pour leur faire partager nos sentiments!
Mais la tâche; qu’à notre grand regret nous ne remplissons pas, parce qu’elle est au-dessus de nos forces et de nos talents, d’autres plus puissants et plus capables la rempliront. Mieux vaudrait mourir à l’instant que d’en perdre l’espérance. Oui, Danton, un jour toutes lés calomnies accumulées sur toi par l’erreur, par l’envie, par la haine, viendront expirer aux pieds de la vérité mise à nu par des orateurs, par des écrivains consciencieux, impartiaux, éclairés, éloquents. Oui, un jour la France reconnaîtra que tous tes actes politiques ont pris naissance dans de louables sentiments, dans ton ardent amour pour elle, dans le plus violent désir de son salut et du triomphe de la liberté! Oui, un jour la France appréciera toute l’immensité de ton dévouement qui te porta jusqu’à vouloir lui faire le sacrifice de ta mémoire: sacrifice cent fois, mille fois plus grand que celui de la vie! Dévouement sans exemple dans l’histoire! La France aujourd’hui si belle, si florissante, te placera alors au rang qui t’appartient parmi ses enfants généreux, magnanimes, dont les efforts intrépides, inouïs, sont parvenus à lui ouvrir, au milieu de difficultés et de dangers innombrables, un chemin à la liberté, à la gloire, au bonheur. Un jour, enfin, Danton, justice complète sera rendue à ta mémoire! Puissent tes fils, avant de descendre dans la tombe, voir ce beau jour, ce jour tant désiré!
Note
[1] ÉDOUARD FLEURY. Etudes révolutionnaires: Camille Desmoulins et Roch Mercandier (la presse révolutionnaire), p. 47; Paris, 1852
[2] F.A. AULARD. Études et leçons sur la Révolution française, tome 1, p. 183; Paris, Félix Alcan, 1893.
[3] «Mon ami Danton est devenu ministre de la Justice par la grâce du canon: cette journée sanglante devait finir, pour nous deux surtout, par être élevés ou hissés ensemble. Il l’a dit à l’Assemblée nationale: Si j’eusse été vaincu, je serais criminel». Lettre de Camille Desmoulins à son père, 15 août 1792. Oeuvres de Camille Desmoulins, recueillies et publiées d’après les textes originaux par M. Jules Claretie, tome II, p. 367-369; Paris, Pasquelle, 1906.
[4] Séance de la Convention, du 31 juillet 1793.
[5] P. AULARD, oevr. cit., tome I, p. 172.
[6] Séance de la Convention, du 21 août 1793.
[7] La Correspondance de Marat, recueillie et publiée par Charles Vellay, intr. xxii; Paris, Fasquelle, 1896.
[8] Séance de la Convention, du 31 juillet 1793.
[9] Séance de la Convention, du 1er avril 1793.
[10] Dr ROBINET. Danton, mém. sur sa vie privée, p. 67; Paris, 1884.
[11] Ibid., p. 67.
[12] Séance de la Convention, du 16 mars 1794.
[13] F. AULARD, oevr. cit., tome I, p. 181.
[14] ANTONIN DUBOST. Danton et la politique contemporaine, p. 48; Paris, Fasquelle, 1880.
[15] ALFRED BOUGEART. Danton, documents authentiques pour servir à l’histoire de la Révolution française; 1861, in-8°.
[16] BARON GOURGAUD. Journal inédit de Sainte-Hélène (1815-1818), avec préface et notes de MM. le vicomte de Grouchy et Antoine Guillois.
[17] ANTONIN DUBOST, vol. cit., p. 56.
[18] Mémoires de R. Levasseur (de la Sarthe), tome II.
[19] Louis BLANC, Histoire de là Révolution française, t. VII, p. 97.
[20] P.-A. Taschereau.—Fargues à Maximilien Robespierre aux Enfers; Paris, an III, p. 16.—Cité dans les Annales révolutionnaires, n° 1, janvier-mars 1908, p. 101.
[21] Bulletin du Tribunal révolutionnaire, 4e partie, n° 21.
[22] F.-A. AULARD. Études et Leçons sur la Révolution française, t. II, p. 54; Paris, Félix Alcan, 1898.
[23] Texte du Moniteur.—Celui du Journal des Débats et de Décrets offre quelques légères variantes.
[24] Oeuvres de Camille Demoulins, recueillies et publiées d’après les textes originaux, par M. Jules Claretie, t. II, p. 369; Paris, Fasquelle.
[25] L’abolition de la royauté.
[26] Quelques conventionnels s’étant, en cet endroit, opposés à la proposition de Danton, il continua, développant ses arguments en faveur de la libre élection de tous les citoyens au poste de juge.
[27] Moniteur du jeudi 4 avril 1793, p. 94.
[28] Pétion avait été, dès la première séance, élu président par 235 voix. (Procès-verbal de la Convention national, tome I.)
[29] Danton entend désigner Garat qui était précédemment intervenu.
[30] Le Moniteur du 1er avril, n° 91, qui rend compte de la séance du 30 mars ne donne pas le nom de ce membre.
[31] A. AULARD (Oeuvr. cit., tome I, p. 137 et suiv.) a prouvé, pièces en mains, que, contrairement à l’assertion de la femme Roland et de presque tous les historiens, Danton avait rendu les comptes de son ministère dans la séance de la Convention du 6 octobre 1792.
[32] Cet article était ainsi conçu: «Tout homme est libre dans l’exercice de son culte». (Moniteur, n° 111.)
[33] Vermorel qui donne, p. 51, 58, quelques fragments de ce discours lui attribue la date du 23 mai 1793. La réédition du Moniteur (p. 467) donne en effet cette date: vendredi, 23 mai. Mais c’est là une erreur certaine, car ce vendredi était le 24 mai. La manchette de ce numéro (n° 146) porte d’ailleurs: Dimanche 26 mai 1793.
[34] «C’est l’anéantissement de la Commission que je sollicite,» avait dit Thuriot (Moniteur, p. 152).
[35] Une autre erreur de Vermorel, p. 203, donne à ce discours la date du 14 juin. Le n° 167 du Moniteur, qui le rapporte, spécifie qu’il fut prononcé dans la séance du jeudi 13 juin, dans la discussion sur les arrêtés des administrations de l’Eure et du Calvados.
[36] Et non «tuer» comme Vermorel, p. 230, l’imprime.