Kitabı oku: «Das Passagen-Werk», sayfa 18

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Das Ausstellungspalais von 1867 auf dem Marsfeld, das mit dem Collosseum verglichen wurde: »La distribution imaginée par le commissaire général Le Play était des plus heureuses: les objets étaient répartis par ordre de matière dans huit galeries concentriques; douze allées … partaient du grand axe: les principales nations occupaient les secteurs limités par ces rayons. De la sorte … l’on pouvait … soit en parcourant les galeries, se rendre compte de l’état d’une industrie dans les différentes nations, soit en parcourant les allées transversales se rendre compte de l’état, dans chaque pays, des diverses branches de l’industrie.« Adolphe Démy: Essai historique sur les expositions universelles de Paris Paris 1907 p 129 – Ebendort ein Zitat aus Théophile Gautiers Artikel über das Palais im Moniteur vom 17 September 1867: »Il semble qu’on ait devant soi un monument élevé dans une autre planète, Jupiter ou Saturne, d’après un goût que nous ne connaissons pas et des colorations auxquelles nos yeux ne sont pas habitués.« Ein Satz zuvor: »Le grand gouffre azuré avec sa bordure couleur de sang produit un effet vertigineux et désoriente les idées qu’on avait sur l’architecture.« [G 9, 2]

Widerstände gegen die Weltausstellung von 1851⁠〈:〉 »Le Roi de Prusse interdisait au prince et à la princesse royale … de se rendre à Londres … Le corps diplomatique refusait de présenter à la reine une adresse de félicitations. ›En ce moment même, écrivait … le 15 avril 1851 le prince Albert à sa mère … Les adversaires de l’Exposition travaillent largement … Les étrangers, annoncent-ils, commenceront ici une révolution radicale, tueront Victoria et moi-même et proclameront la république rouge. La peste doit certainement résulter de l’affluence de si grandes multitudes et dévorer ceux que l’accroissement du prix de toutes choses n’aura pas chassés.‹« Adolphe Démy: Essai historique sur les expositions universelles Paris 1907 p 38 [G 9, 3]

François de Neufchateau über die Ausstellung von 1798 (nach Démy: Essai historique sur les expositions universelles)⁠〈.〉 »Les Français, disait-il …, ont étonné l’Europe par la rapidité de leurs succès guerriers; ils doivent s’élancer avec la même ardeur dans la carrière du commerce et des arts de la paix.« (p 14) »Cette première exposition … est réellement une première campagne, une campagne désastreuse pour l’industrie anglaise.« (p 18). – Eröffnungsfestzug von kriegerischem Charakter: »1° l’école des trompettes; 2° un détachement de cavalerie; 3° les deux premiers pelotons d’appariteurs; 4° des tambours; 5° musique militaire à pied; 6° un peloton d’infanterie;7° les hérauts; 8° le régulateur de la fête; 9° les artistes inscrits pour l’exposition; 10° le jury.« (p 15) – Die goldene Medaille behält Neufchateau dem vor, der die englische Industrie am meisten schädigt. [G 9 a, 1]

Die zweite Ausstellung, im Jahre IX⁠〈,〉 sollte die Werke der Industrie und der bildenden Kunst im Hof des Louvre vereinigen. Aber die Künstler lehnten die Zumutung ab, gemeinschaftlich mit Industriellen auszustellen. (Démy p 19) [G 9 a, 2]

Ausstellung von 1819⁠〈.〉 »Le roi à l’occasion de l’exposition conféra à Ternaux et à Oberkampf le titre de baron … L’octroi de titres nobiliaires à des industriels avait provoqué des critiques. En 1823 on s’abstint de toute collation de noblesse.« Démy: Essai historique p 24 [G 9 a, 3]

Ausstellung von 1844. Über sie Mme de Girardin⁠〈:) Le Vicomte de Launay, Lettres parisiennes IV p 66 (cit nach Adolphe Démy: Essai historique p 27): »›C’est un plaisir, disait-elle, qui ressemble singulièrement à un cauchemars‹. Et elle énumérait les singularités qui ne manquaient pas: le cheval écorché, le hanneton colossal, la mâchoire mouvante, le Turc pendule qui marquait les heures par le nombre de ses culbutes, sans oublier, M. et Mme Pipelet, les concierges des Mystères de Paris, en angélique.« [G 9 a, 4]

Weltausstellung 1851 14 837, von 1855 80 000 Aussteller. [G 9 a, 5]

Die ägyptische Ausstellung von 1867 war in einem Bau untergebracht, der einen ägyptischen Tempel nachbildet. [G 9 a, 6]

Walpole schildert in seinem Roman »The Fortress« die Vorkehrungen, die in einem eigens für die Besucher der Weltausstellung von 1851 erstellten Hotel für deren Aufnahme getroffen wurden. Zu diesen gehörte die ständige polizeiliche Überwachung des Hotels, die Anwesenheit eines Hotel-Geistlichen und die regelmäßige Morgenvisite eines Arztes. [G 10, 1]

Walpole schildert den Kristallpalast mit der gläsernen Fontäne in seiner Mitte und den Ulmen, »die aussahen, wie wenn ein Waldlöwe in einem Netz aus Glas gefangen worden wäre«, (p 307) Er schildert die mit kostbaren Teppichen verzierten Logen, vor allem aber die Maschinen. »In diesem Maschinenraum gab es selbsttätige Spinnmaschinen, die jacquartsche Spitzenmaschine, Maschinen, die Briefumschläge machten, Dampfwebstühle, Modellokomotiven, Zentrifugalpumpen und Lokomobile; alle diese arbeiteten wie verrückt, während die Tausende neben ihnen in Zylindern und Kapotthüten ruhig wartend dasaßen, passiv und nicht ahnend, daß das Zeitalter des Menschen auf diesem Planeten zuende war.« Hugh Walpole: The Fortress Hamburg, Paris, Bologna 〈1933〉 p 306 [G 10, 2]

Delvau spricht von »gens qui ont les yeux collés chaque soir aux vitres des magasins de la Belle Jardinière, pour voir faire la caisse de la journée.« Alfred Delvau: Les heures parisiennes Paris 1866 p 144 (Huit heures du soir) [G 10, 3]

In einer Senatsrede vom 31 Januar 1868 versucht Michel Chevalier das Palais de l’industrie von 1867 vor der Zerstörung zu retten. Von den mehrern Verwendungsmöglichkeiten, die er für das Gebäude vorschlägt, ist die merkwürdigste, das Innere, das seiner zyklischen Form nach dazu geeignet sei, für Truppenübungen zu verwenden. Auch empfiehlt er den Bau als Lokal einer ständigen ausländischen Mustermesse. Die Absicht der gegnerischen Seite scheint gewesen zu sein, aus militärischen Gründen das Champ de Mars von Bauten freizuhalten. Vgl. Michel Chevalier: Discours sur une pétition réclamant contre la destruction du palais de l’exposition universelle de 1867 Paris 1868 [G 10, 4]

»Les expositions universelles … ne peuvent manquer d’amener les comparaisons les plus exactes entre les prix et les qualités des mêmes produits chez les différents peuples: que l’école de la liberté absolue du commerce se réjouisse donc! Les expositions universelles tendent … à l’abaissement, si ce n’est à la suppression des droits de douane.« Achille de Colusont⁠〈?〉: Histoire des expositions des produits de l’industrie française Paris 1855 p 544 [G 10 a, 1]

»Chaque industrie, exposant ses trophées

Dans ce bazar du progrès général,

Semble avoir pris la baguette des fées

Pour enrichir le Palais de Cristal.

Riches, savants, artistes, prolétaires,

Chacun travaille au bien-être commun;

Et, s’unissant comme de nobles frères,

Ils veulent tous le bonheur de chacun.«

Clairville et Jules Cordier: Le Palais de Cristal ou les Parisiens à Londres (Théâtre de la Porte-Saint-Martin le 26 mai 1851) Paris 1851 p 6 [G 10 a, 2]

Die beiden letzten tableaux von Clairvilles »Palais de Cristal« spielen vor und im Kristallpalast. Die Bühnenanweisung für das 〈vor-〉⁠letzte tableau: »La galerie principale du Palais de cristal; à gauche, sur le devant, un lit dont à la tête est un grand cadran. Au milieu, une petite table sur laquelle sont des petits sacs et des pots de terre; à droite une machine électrique; au fond, l’exposition des divers produits d’après la gravure descriptive tirée de Londres.« (p 30) [G 10 a, 3]

Anzeige von Chocolat Marquis aus dem Jahre 1846⁠〈:〉 »Chocolat de la maison Marquis, passage des Panoramas et rue Vivienne 44 – Voici venir l’époque où le chocolat praliné et toutes les autres variétés de chocolat de fantaisie vont sortir … de la maison Marquis sous les formes les plus diverses et les plus gracieuses … Les confidences que nous avons reçus nous permettent de prévenir nos lecteurs que cette fois encore de jolis vers, judicieusement choisis dans ce qui s’est produit cette année de plus pur, de plus gracieux et de plus ignoré du vulgaire profane, accompagneront les exquises douceurs du chocolat Marquis. Par le positif qui court et qui nous régit, nous le félicitons d’accorder si généreusement sa puissante publicité à tous ces jolis vers.« C⁠〈abinet〉⁠d⁠〈es〉 E⁠〈stampes〉 [G 10 a, 4]

Industriepalast von 1855⁠〈:〉 »Sechs Pavillons begrenzen das Gebäude von allen vier Seiten; im Ganzen zählt man im unteren Stockwerk 306 Arkaden. Ein ungeheures Glasdach erhellt den inneren Raum. Als Material ist nur Stein, Eisen und Zink verwendet worden; die Baukosten haben sich auf 11 Millionen Franken belaufen … Zwei große Glasgemälde im Osten und Westen der Hauptgallerie sind besonders bemerkenswerth … Alle Personen erscheinen wie in natürlicher Größe dargestellt, und sind doch nicht weniger als 6 Meter hoch.« Acht Tage in Paris Paris Juillet 1855 p 9/10. Die Glasbilder stellen das industrielle Frankreich und die Gerechtigkeit dar. [G 11, 1]

»J’ai … écrit avec mes collaborateurs de l’Atelier, que le moment était venu de faire la révolution économique …, quoique nous fussions tombés d’accord, quelque temps auparavant, que les populations ouvrières de toute l’Europe étaient solidaires, et qu’il fallait s’attacher avant tout à l’idée de la fédération politique des peuples.« A Corbon: Le secret du peuple de Paris Paris 1863 p 196 und p 242: »En résumé, l’opinion politique de la classe ouvrière de Paris est presque tout entière contenue dans le désir passionné de servir le mouvement de fédération des nationalités.« [G 11, 2]

Nina Lassave, die Geliebte Fieschis, wird nach dessen Hinrichtung am 19 Februar 1836 als caissière im Café de la Renaissance, place de la Bourse angestellt. [G 11, 3]

Tiersymbolik bei Toussenel: der Maulwurf: »La taupe n’est pas … l’emblème d’un seul caractère, elle est l’emblème de toute une période sociale, la période d’enfantement de l’industrie, la période cyclopéenne … elle est l’expression allégorique … de la prédominance absolue de la force brutale sur la force intellectuelle … Il y a ressemblance assez marquée entre les taupes qui bouleversent le sol et percent des voies de communication souterraines … et les monopoleurs de chemins de fer et de messageries … L’extrême sensibilité nerveuse de la taupe qui redoute la lumière … caractérise admirablement l’obscurantisme obstiné de ces monopoleurs de banque et de transports qui redoutent aussi la lumière.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Zoologie passionnelle Mammifères de France Paris 1884 p 469 et 473/474 [G 11, 4]

Tiersymbolik bei Toussenel: das Murmeltier: »La marmotte … perd son poil par le travail, par allusion à la misère du pauvre Savoyard dont l’industrie pénible a pour premier effet de râper les vêtements.« Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 334 [G 11, 5]

Pflanzensymbolik bei Toussenel: die Rebe: »La vigne aime à jaser … elle monte familièrement sur l’épaule des pruniers, des oliviers, des ormes; elle tutoie tous les arbres.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 107 [G 11, 6]

Toussenel gibt die Theorie des Kreises und der Parabel mit Beziehung auf die verschiednen Spiele der beiden Geschlechter. Das erinnert an die Anthropomorphismen Grandvilles. »Les figures chéries de l’enfance affectent invariablement la forme sphérique, la balle, le cerceau, la bille; les fruits qu’elle aime de préférence aussi: la cerise, la groseille, la pomme d’api, la tourte aux confitures … L’analogiste qui a observé ces jeux avec une attention suivie n’a pas été sans remarquer une différence caractéristique dans le choix des amusettes et des exercices favoris des enfants des deux sexes … Qu’a donc remarqué notre observateur dans le caractère des jeux de l’enfance féminine? Il a remarqué dans la physionomie de ces jeux une propension décidée vers l’ellipse. Je compte, en effet, parmi les exercices favoris de l’enfance féminine, le volant et la corde … La corde et le volant décrivent des courbes elliptiques ou paraboliques. Pourquoi cela? Pourquoi, si jeune encore, cette préférence du sexe mineur pour la courbe elliptique, et ce mépris manifeste pour la bille, la balle et la toupie? Parce que l’ellipse … est la courbe d’amour, comme le cercle est celle d’amitié. L’ellipse est la figure dont Dieu … a profilé la forme de ses créatures favorites, la femme, le cygne, le coursier d’Arabie, les oiseaux de Vénus; l’ellipse est la forme attrayante par essence … Les astronomes ignoraient généralement … pour quelle cause les planètes décrivaient des ellipses et non pas des circonférences autour de leur pivot d’attraction; ils en savent maintenant sur ce mystère autant que moi.« Toussenel le p 89-91 [G 11 a, 1]

Toussenel stellt eine Symbolik der Kurven auf, derzufolge der Kreis die Freundschaft, die Ellipse die Liebe, die Parabel den Familiensinn, die Hyperbel den Ehrgeiz darstellt. Im Abschnitt über die letztere führt die folgende Stelle besonders nahe an Grandville heran: »L’hyperbole est la courbe de l’ambition … Admirez la persistance opiniâtre de l’ardente asymptote, poursuivant l’hyperbole d’une course échevelée; elle approche, elle approche toujours du but … mais elle ne l’atteint pas.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 92 [G 11 a, 2]

Tiersymbolik bei Toussenel: der Igel: »Vorace et d’aspect repoussant, c’est aussi le portrait du valet de plume infime, trafiquant de biographie et de chantage, vendant des brevets de maître de poste et des concessions de théâtre … et tirant … de sa conscience d’artichaut … faux serments et apologies à prix fixe … On dit que le hérisson est le seul des quadrupèdes de France sur lequel le venin de la vipère n’ait pas prise. J’aurais deviné l’exception par l’analogie seule … Comment voulez-vous … que la calomnie (vipère) morde sur le goujat littéraire …!« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 476 et 478 [G 11 a, 3]

»L’éclair est le baiser des nuages, orageux, mais fécond. Deux amants qui s’adorent et qui veulent se le dire en dépit de tous les obstacles, sont deux nuages animés d’électricités contraires et gonflés de tragédies.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Zoologie passionnelle Mammifères de France Paris 1884 p 100/101 (Vierte Auflage) [G 12, 1]

Die erste Auflage von Toussenels »Esprit des bêtes« erschien 1847. [G 12, 2]

»J’ai vainement fouillé l’antiquité pour y trouver des traces du chien d’arrêt … J’ai interrogé sur l’époque de l’apparition de cette race les souvenirs des plus lucides somnambules; tous les renseignements … aboutissent à cette conclusion que le chien d’arrêt est une création des temps modernes.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 159 [G 12, 3]

»Une jeune et jolie femme est une véritable pile voltaïque … chez qui le fluide captif est retenu par la forme des surfaces et la vertu isolante des cheveux; ce qui fait que lorsque ce fluide veut s’échapper de sa douce prison, il est obligé de tenter d’incroyables efforts, lesquels produisent à leur tour, par influence, sur les corps animés diversement d’effrayants ravages d’attraction … L’histoire du genre humain fourmille d’exemples d’hommes d’esprit, de savants, de héros intrépides … foudroyés par une simple œillade féminine … Le saint roi David fit preuve qu’il comprenait parfaitement les propriétés condensatrices des surfaces elliptiques polies quand il s’adjoignit la jeune Abisag.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 101-103 [G 12, 4]

Toussenel erklärt die Rotation der Erde als Resultante aus Zentrifugal- und Anziehungskraft. Weiter: »L’astre … commence à valser sa valse frénétique … Tout bruit, tout se meut, tout s’échauffe, tout scintille à la surface du globe, encore enseveli la veille dans le froid silence de la nuit. Spectacle merveilleux pour l’observateur bien placé; changement de décors à vue, d’un effet admirable; car la révolution s’est accomplie entre deux soleils, et, le soir même, une nouvelle étoile de couleur améthyste, a fait son apparition dans nos cieux.« (p 45) Und, anspielend auf den Vulkanismus früher Erdepochen: »On sait les effets habituels de la première valse sur les organisations délicates … La Terre aussi a été secouée rudement par sa première épreuve.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Zoologie passionnelle Paris 1884 p 44/45 [G 12, 5]

Grundsatz von Toussenels Zoologie: »Le rang des espèces est en raison directe de la ressemblance avec l’homme.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p I vgl das Motto des Werkes: »Ce qu’il y a de mieux dans l’homme, c’est le chien.« Charlet. [G 12 a, 1]

Der Ballonfahrer Poitevin unternahm, von großer publicité unterstützt, eine ascension de l’Uranus mit Mädchen, die als mythologische Figuren ausstaffiert waren, auf seiner Gondel. (Paris sous la république de 1848 Exposition de la bibliothèque et des travaux historiques de la Ville de Paris 1909 p 34) [G 12 a, 2]

Nicht nur bei der Ware kann von einer fetischistischen Selbständigkeit gesprochen werden, sondern – wie die folgende Stelle von Marx zeigt – auch bei dem Produktionsmittel: »Betrachen wir den Produktionsprozeß unter dem Gesichtspunkt des Arbeitsprozesses, so verhielt sich der Arbeiter zu den Produktionsmitteln … als bloßem Mittel … seiner zweckmäßigen produktiven Tätigkeit … Anders, sobald wir den Produktionsprozeß unter dem Gesichtspunkt des Verwertungsprozesses betrachteten. Die Produktionsmittel verwandelten sich sofort in Mittel zur Einsaugung fremder Arbeit. Es ist nicht mehr der Arbeiter, der die Produktionsmittel anwendet, sondern es sind die Produktionsmittel, die den Arbeiter anwenden. Statt von ihm als stoffliche Elemente seiner produktiven Tätigkeit verzehrt zu werden, verzehren sie ihn als Triebkraft ihres eignen Lebensprozesses … Schmelzöfen und Arbeitsgebäude, die des Nachts ruhn und keine lebendige Arbeit einsaugen, sind ›reiner Verlust‹ für den Kapitalisten. Darum begründen Schmelzöfen und Arbeitsgebäude einen ›Anspruch auf die Nachtarbeit‹ der Arbeitskräfte.« Diese Betrachtung ist zur Analyse Grandvilles heranzuziehen. Wieweit ist der Lohnarbeiter die »Seele« seiner fetischhaft bewegten Objekte? [G 12 a, 3]

»La nuit fait des distributions d’essence stellaire aux fleurs endormies. Tous les oiseaux qui volent ont à la patte le fil de l’infini.« Victor Hugo: Œuvres complètes Paris 1881 Roman 8 p 114 (Les Misérables IV) [G 12 a, 4]

Drumont nennt Toussenel »un des plus grands prosateurs de ce siècle«. Edouard Drumont: Les héros et les pitres Paris 〈1900〉 p 270 (Toussenel) [G 12 a, 5]

Ausstellungstechnik: »Une règle fondamentale que l’observation fait bientôt découvrir, c’est qu’aucun objet ne doit être placé directement sur le sol au niveau des voies de circulation. Les pianos, les meubles, les instruments de physique, les machines sont mieux exposés sur un socle ou sur un plancher surélevé. Les installations qu’il convient d’employer comprennent deux systèmes bien distincts: les expositions sous vitrine et celles à l’air libre. Certains produits, en effet, doivent, par leur nature ou par leur valeur, être mis à l’abri du contact de l’air ou de la main; d’autres gagnent à être exposés à découvert.« Exposition universelle de 1867, à Paris – Album des installations les plus remarquables de l’exposition de 1862, à Londres, publié par la commission impériale pour servir de renseignement aux exposants des diverses nations Paris 1866 〈p 5〉 Tafelwerk in gr fol, mit sehr interessanten, teilweise farbigen Abbildungen, bezw. Querschnitten und Längsschnitten von Ausstellungsständen der Weltausstellung von 1862. B⁠〈ibliothèque〉 N⁠〈ationale〉⁠V. 644 [G 13, 1]

Paris im Jahre 2855: »Les hôtes qui nous viennent de Saturne et Mars oubliaient en débarquant ici les horizons de la planète maternelle! Paris est désormais la métropole de la création! … Où êtes-vous, Champs-Elysées, thème favori des nouvellistes de l’an 1855? … Dans cette allée, pavée en fer creux, couverte de toitures de cristal, bourdonnent les abeilles et les frêlons de la finance! Les capitalistes de la Grande-Ourse discutent avec les agioteurs de Mercure! On vient de mettre aujourd’hui même en actions les débris de Vénus à moitié incendiée par ses propres flammes!« Arsène Houssaye: Le Paris futur (Paris et les Parisiens au XIXe siècle Paris 1856 p 458/59) [G 13, 2]

Über die Fixierung des Generalrats der Arbeiterinternationale in London kursierte das Wort: »L’enfant né dans les ateliers de Paris était mis en nourrice à Londres.« (S. Ch Benoist: Le »mythe« de la classe ouvrière Revue des deux mondes 1 mars 1914 p 104) [G 13, 3]

»Puisque le bal est la seule réunion où les hommes sachent se tenir, habituons-nous à calquer toutes nos institutions sur le bal, où la femme est reine.« A Toussenel: Le monde des oiseaux I Paris 1853 p 134 Und⁠〈:〉 »Bien des hommes sont galants et très-bien dans un bal, qui ne se doutent pas que la galanterie est un commandement de Dieu.« le p 98 [G 13, 4]

Über Gabriel Engelmann. »Lorsqu’il publiera, en 1816, ses Essais lithographiques, il aura un grand soin de mettre cette médaille en frontispice de son livre, avec une légende: ›Décernée à M. G. Engelmann, de Mulhouse (Haut-Rhin). Exécution en grand et perfectionnement de l’art lithographique. Encouragement. 1816.‹« Henri Bouchot: La lithographie Paris 〈1895〉 p 〈38〉 [G 13, 5]

Über die Londoner Weltausstellung: »Au milieu de cette immense exposition, l’observateur reconnaissait bientôt que, pour ne pas s’y perdre …, il fallait réunir les peuples divers en un certain nombre de groupes, et que le seul mode efficace, utile, de composer ces groupes industriels consistait à prendre pour base, quoi? les croyances religieuses. A chacune des grandes divisions religieuses entre lesquelles se répartit le genre humain correspond en effet … un mode d’existence et d’activité industrielle qui lui est propre.« Michel Chevalier: Du progrès Paris 1852 p 13 [G 13 a, 1]

Aus dem ersten Kapitel des »Kapital«: »Eine Ware erscheint auf den ersten Blick ein selbstverständliches triviales Ding. Ihre Analyse ergibt, daß sie ein sehr vertracktes Ding ist, voll metaphysischer Spitzfindigkeit und theologischer Mucken. Soweit sie Gebrauchswert, ist nichts Mystisches an ihr … Die Form des Holzes wird verändert, wenn man aus ihm einen Tisch macht; nichtsdestoweniger bleibt der Tisch Holz, ein ordinäres sinnliches Ding. Aber sobald er als Ware auftritt, verwandelt er sich in ein sinnlich übersinnliches Ding. Er steht nicht nur mit seinen Füßen auf dem Boden, sondern er stellt sich allen anderen Waren gegenüber auf den Kopf und entwickelt aus seinem Holzkopf Grillen, viel wunderlicher, als wenn er aus freien Stücken zu tanzen begänne.« cit Franz Mehring: Karl Marx und das Gleichnis [in: Karl Marx als Denker Mensch und Revolutionär hg. von Rjazanov Wien Berlin 〈1928〉 p 57 (abgedruckt aus »Die Neue Zeit« 13 März 1908)] [G 13 a, 2]

Renan vergleicht die Weltausstellungen mit den großen griechischen Festen, den olympischen Spielen, den Panathäneen. Aber zum Unterschied von den letzten feh⁠〈l〉⁠t den ersten die Poesie. »Deux fois l’Europe s’est dérangé pour voir des marchandises étalées et comparer des produits matériels et, au retour de ces pèlerinages d’un genre nouveau, personne ne s’est pleint que quelque chose lui manquait.« Einige Seiten weiter: »Notre siècle ne va ni vers le bien ni vers le mal; il va vers la médiocrité. En toute chose ce qui réussit de nos jours, c’est le médiocre.« Ernest Renan: Essais de morale et de critique Paris 1859 p 356/57 und 373 (La poésie de l’Exposition) [G 13 a, 3]

Haschischvision im Spielsaal von Aix-la-Chapelle. »Le tapis d’Aix-la-Chapelle est un congrès hospitalier où les monnaies de tous les règnes et de tous les pays sont admises … Une pluie de léopolds, de frédéric-guillaumes, de queen Victoria et de napoléons fondait … sur la table. A force de considérer cette brillante alluvion … je crus m’apercevoir … que les effigies des souverains … s’effaçaient invinciblement de leurs écus, guinées ou ducats respectifs, pour faire place à d’autres visages tout à fait nouveaux pour moi. Les plus grand nombre de ces faces … grimaçaient … le dépit, l’avidité ou la fureur. Il y en avait de joyeuses, mais c’était le très-petit nombre … Bientôt ce phénomène … pâlit et disparut devant une vision bien autrement extraordinaire … Les bourgeoises effigies qui avaient supplanté les Majestés ne tardèrent pas elles-mêmes à s’agiter dans le cercle métallique … où elles étaient confinées. Bientôt elles s’en séparèrent, d’abord par le grossissement exagéré de leur relief; puis les têtes se détachèrent en ronde bosse. Elles prirent ensuite … non-seulement la physionomie, mais la carnation humaine. Des corps lilliputiens vinrent y adhérer; le tout se modela … tant bien que mal, et des créatures de tout point semblables à nous, sauf la taille … commencèrent d’animer le tapis vert d’où tout numéraire avait disparu. J’entendais bien le cliquetis de l’argent choqué par l’acier des râteaux, mais c’était tout ce qui restait de l’ancienne sonorité … des louis et des écus changés en hommes. Ces pauvres myrmidons s’enfuyaient éperdus devant l’homicide râteau du croupier … mais en vain … Alors … l’enjeu nain, forcé de s’avouer vaincu, était impitoyablement appréhendé au corps par le fatal râteau, qui le ramenait dans la main crochue du croupier. Celui-ci, ô horreur! prenait l’homme délicatement entre deux doigts et le croquait à belles dents! En moins d’une demi-heure, je vis ainsi engouffrer dans cet effroyable tombeau une demi-douzaine de ces imprudents Lilliputiens … Mais ce dont je restai le plus épouvanté, ce fut lorsque, levant les yeux par hasard sur la galerie qui entourait ce redoutable champ de mort, je constatai non pas seulement une parfaite ressemblance, mais une complète identité entre divers pontes paraissant jouer un très-gros jeu et les miniatures humaines qui se débattaient sur la table … De plus, ces pontes … me parurent … s’affaisser sur eux-mêmes à mesure que leurs fac-similé enfantins étaient gagnés de vitesse … par le formidable râteau. Ils semblaient partager .., toutes les sensations de leurs petits Sosies; et je n’oublierai de ma vie le regard et le geste haineux, désespérés, que l’un de ces joueurs adressa à la banque au moment même où sa mignonne contrefaçon, saisie par le râteau, s’en allait assouvir la faim vorace du croupier.« Félix Mornand: La vie des eaux Paris 1862 p 219-221 (Aix-la-Chapelle) [G 14]

Zu Grandvilles Darstellung von Maschinen ist nützlich zu vergleichen, wie Chevalier noch 1852 von der Eisenbahn spricht. Er berechnet, daß zwei Lokomotiven von zusammen 400 Pferdekräften der Kraft von 800 wirklichen Pferden entsprechen würden. Wie soll man sie anschirren? wie sich das Futter für sie beschaffen? Und in einer Anmerkung hierzu: »Il faut tenir compte aussi de ce que des chevaux de chair et d’os sont forcés de se reposer après un court trajet; de sorte que, pour faire le même service qu’une locomotive, il faudrait avoir à l’écurie un très grand nombre de bêtes.« Michel Chevalier; Chemins de fer Extrait du dictionnaire de l’économie politique Paris 1852 p 10 [G 14 a, 1]

Die Anordnungsprinzipien der Ausstellungsgegenstände in der Galerie des machines von 1867 stammen von Le Play. [G 14 a, 2]

Eine divinatorische Darstellung der architektonischen Aspekte der späteren Weltausstellungen findet sich in Gogols Essay »Über die Architektur unserer Zeit«, der Mitte der dreißiger Jahre in seinem Sammelband »Arabesken« erschien. »Quand donc, – s’écrie-t-il – en finira-t-on avec cette manière scolastique d’imposer à tout ce qu’on construit un goût commun et une commune mesure? Une ville doit comprendre une grande diversité de masses, si nous voulons qu’elle donne de la joie aux yeux. Puissent s’y marier les goûts les plus contraires! Que dans une seule et même rue s’y élèvent un sombre édifice gothique, un bâtiment décoré dans le goût le plus riche de l’Orient, une colossale construction égyptienne, une demeure grecque aux harmonieuses proportions! Que l’on y voie côte à côte la coupole lactée légèrement concave, la haute flèche religieuse, la mitre orientale, le toit plat d’Italie, le toit de Flandre escarpé et chargé d’ornements, la pyramide tétraédrique, la colonne ronde, l’obélisque anguleux!« Nicolas Gogol: Sur l’architecture du temps présent cit Wladimir Weidlé: Les abeilles d’Aristée Paris 〈1936〉 p 162/163 (L’agonie de l’art) [G 14 a, 3]

Fourier beruft sich auf die Volksweisheit, die die Zivilisation seit langem als le monde à rebours gekennzeichnet habe. [G 14 a, 4]

Fourier läßt es sich nicht nehmen, ein Gelage an den Ufern des Euphrat zu beschreiben, bei dem sowohl die Sieger im Wettbewerb der eifrigen Deicharbeiter (600 000) wie die in einem gleichzeitigen Kuchenbackwettbewerb gefeiert werden. Die 600 000 Industrieathleten bemächtigen sich der 300 000 Champagnerflaschen, deren Pfropfen sie auf ein Signal von der tour d’ordre her gleichzeitig herausschnellen lassen. Echo in den »Bergen des Euphrat«, cit 〈Armand et〉 Maubl⁠〈anc Fourier Paris 1937〉 II p 178/ 179 [G 14 a, 5]

»Pauvres étoiles! leur rôle de splendeur n’est qu’un rôle de sacrifice. Créatrices et servantes de la puissance productrice des planètes, elles ne la possèdent point elles-mêmes, et doivent se résigner à leur carrière ingrate et monotone de flambeaux. Elles ont l’éclat sans la jouissance; derrière elles, se cachent invisibles les réalités vivantes. Ces reines-esclaves sont cependant de la même pâte que leurs heureuses sujettes … Maintenant flammes éblouissantes, ils seront un jour ténèbres et glaces, et ne pourront renaître à la vie que planètes, après le choc qui volatilisera le cortège et sa reine en nébuleuse.« A Blanqui: L’éternité par les astres Paris 1872 p 69/70 vgl Goethe: »Euch bedaur’ ich, unglückselge Sterne« [G 15, 1]

»La sacristie, la bourse et la caserne, ces trois antres associés pour vomir sur les nations la nuit, la misère et la mort. Octobre 1869.« Auguste Blanqui: Critique sociale Paris 1885 II Fragments et notes p 351 [G 15, 2]

»Un riche mort, c’est un gouffre fermé.« In den fünfziger Jahren. Auguste Blanqui: Critique sociale Paris 1885 II Fragments et notes p 315 [G 15, 3]

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Yaş sınırı:
18+
Litres'teki yayın tarihi:
13 kasım 2024
Hacim:
1461 s. 19 illüstrasyon
ISBN:
9788026829706
Yayıncı:
Telif hakkı:
Bookwire
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