Kitabı oku: «Das Passagen-Werk», sayfa 4

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Conclusion

»Hommes du XIXe siècle, l’heure de nos apparitions est fixée à jamais, et nous ramène toujours les mêmes.«

Auguste Blanqui: L’Eternité par les Astres. Paris 1872, p. 74/75.

Pendant la Commune Blanqui était tenu prisonnier au fort du Taureau. C’est là qu’il écrivit son Eternité par les Astres. Ce livre parachève la constellation des fantasmagories du siècle par une dernière fantasmagorie, à caractère cosmique, qui implicitement comprend la critique la plus acerbe de toutes les autres. Les réflexions ingénues d’un autodidacte, qui forment la partie principale de cet écrit, ouvrent la voie à une spéculation qui inflige à l’élan révolutionnaire de l’auteur un cruel démenti. La conception de l’univers que Blanqui développe dans ce livre et dont il emprunte les données aux sciences naturelles mécanistes, s’avère être une vision d’enfer. C’est de plus le complément de cette société dont Blanqui vers la fin de sa vie a été obligé de reconnaître le triomphe sur lui-même. Ce que fait l’ironie de cet échafaudage, ironie cachée sans doute à l’auteur lui-même, c’est que le réquisitoire effrayant qu’il prononce contre la société, affecte la forme d’une soumission sans réserve aux résultats. Cet écrit présente l’idée du retour éternel des choses dix ans avant Zarathustra; de façon à peine moins pathétique, et avec une extrême puissance d’hallucination.

Elle n’a rien de triomphant, laisse bien plutôt un sentiment d’oppression. Blanqui s’y préoccupe de tracer une image du progrès qui, – antiquité immémoriale se pavanant dans un apparat de nouveauté dernière – se révèle comme étant la fantasmagorie de l’histoire elle-même. Voici le passage essentiel:

»L’univers tout entier est composé de systèmes stellaires. Pour les créer, la nature n’a que cent corps simples à sa disposition. Malgré le parti prodigieux qu’elle sait tirer de ces ressources et le chiffre incalculable de combinaisons qu’elles permettent à sa fécondité, le résultat est nécessairement un nombre fini, comme celui des éléments eux-mêmes, et pour remplir l’étendue, la nature doit répéter à l’infini chacune de ses combinaisons originales ou types. Tout astre, quel qu’il soit, existe donc en nombre infini dans le temps et dans l’espace, non pas seulement sous l’un de ses aspects, mais tel qu’il se trouve à chacune des secondes de sa durée, depuis la naissance jusqu’à la mort … La terre est l’un de ces astres. Tout être humain est donc éternel dans chacune des secondes de son existence. Ce que j’écris en ce moment dans un cachot du fort du Taureau, je l’ai écrit et je l’écrirai pendant l’éternité, sur une table, avec une plume, sous des habits, dans des circonstances toutes semblables. Ainsi de chacun … Le nombre de nos sosies est infini dans le temps et dans l’espace. En conscience, on ne peut guère exiger davantage. Ces sosies sont en chair et en os, voire en pantalon et paletot, en crinoline et en chignon. Ce ne sont point là des fantômes, c’est de l’actualité éternisée. Voici néanmoins un grand défaut: il n’y a pas progrès … Ce que nous appelons le progrès est claquemuré sur chaque terre, et s’évanouit avec elle. Toujours et partout, dans le camp terrestre, le même drame, le même décor, sur la même scène étroite, une humanité bruyante, infatuée de sa grandeur, se croyant l’univers et vivant dans sa prison comme dans une immensité, pour sombrer bientôt avec le globe qui a porté dans le plus profond dédain, le fardeau de son orgueil. Même monotonie, même immobilisme dans les astres étrangers. L’univers se répète sans fin et piaffe sur place. L’éternité joue imperturbablement dans l’infini les mêmes représentations.«

Cette résignation sans espoir, c’est le dernier mot du grand révolutionnaire. Le siècle n’a pas su répondre aux nouvelles virtualités techniques par un ordre social nouveau. C’est pourquoi le dernier mot est resté aux truchements égarants de l’ancien et du nouveau, qui sont au cœur de ces fantasmagories. Le monde dominé par ses fantasmagories, c’est – pour nous servir de l’expression de Baudelaire – la modernité. La vision de Blanqui fait entrer dans la modernité – dont les sept vieillards apparaissent comme les hérauts – l’univers tout entier. Finalement la nouveauté lui apparaît comme l’attribut de ce qui appartient au ban de la damnation. De même façon dans un vaudeville quelque peu antérieur: Ciel et Enfer les punitions de l’enfer font figure de dernière nouveauté de tout temps, de »peines éternelles et toujours nouvelles«. Les hommes du XIXème siècle auxquels Blanqui s’adresse comme à des apparitions sont issus de cette région.

Passage du Ponceau.

Photo Germaine Krull

Abbildung 1



Passage du Caire.

Photo Germaine Krull

Abbildung 2



Passage des Deux-Sœurs.

Photo Germaine Krull

Abbildung 3


Aufzeichnungen und Materialien


〈Übersicht〉

A  Passagen, magasins de nouveauté⁠〈s〉, calicots

B  Mode

C  antikisches Paris, Katakomben, démolitions, Untergang von Paris

D  die Langeweile, ewige Wiederkehr

E  Haussmannisierung, Barrikadenkämpfe

F  Eisenkonstruktion

G  Ausstellungswesen, Reklame, Grandville

H  der Sammler

I  das Interieur, die Spur

J  Baudelaire

K  Traumstadt und Traumhaus, Zukunftsträume, anthropolog⁠〈ischer〉 Nihilism⁠〈us〉, Jung

L  Traumhaus, Museum, Brunnenhalle

M  der Flaneur

N  Erkenntnistheoretisches, Theorie des Fortschritts

O  Prostitution, Spiel

P  die Straßen von Paris

Q  Panorama

R  Spiegel

S  Malerei, Jugendstil, Neuheit

T  Beleuchtungsarten

U  Saint-Simon, Eisenbahnen

V  Konspirationen, compagnonnage

W  Fourier

X  Marx

Y  die Photographie

Z  die Puppe, der Automat

a  soziale Bewegung

b  Daumier

c  … … …

d  Literaturgeschichte, Hugo

e  … … …

f  … … …

g  die Börse, Wirtschaftsgeschichte

h  … … …

i  Reproduktionstechnik, Lithographie

k  die Kommune

l  die Seine, ältestes Paris

m  Müßiggang

n  … … …

o  … … …

p  anthropologischer Materialismus, Sektengeschichte

q  … … …

r  Ecole polytechnique

s  … … …

t  … … …

u  … … …

v  … … …

w  … … …

Passagen, magasins de nouveaute〈s〉, calicots


»De ces palais les colonnes magiques

A l’amateur montrent de toutes parts,

Dans les objets qu’étaient leurs portiques,

Que l’industrie est rivale des arts,«

Chanson nouvelle rit Nouveaux tableaux de Paris ou observations sur les mœurs et usages des Parisiens au commencement du XIXe siècle Paris 1828 I p 27

»A vendre les Corps, les voix, l’immense opulence inquestionable, ce qu’on ne vendra jamais.«

Rimbaud

»Wir haben«, sagt der illustrierte Pariser Führer, ein vollständiges Gemälde der Seine-Stadt und ihrer Umgebungen vom Jahre 1852⁠〈,〉 »bei den inneren Boulevards wiederholt der Passagen gedacht, die dahin ausmünden. Diese Passagen, eine neuere Erfindung des industriellen Luxus, sind glasgedeckte, marmorgetäfelte Gänge durch ganze Häusermassen, deren Besitzer sich zu solchen Spekulationen vereinigt haben. Zu beiden Seiten dieser Gänge, die ihr Licht von oben erhalten, laufen die elegantesten Warenläden hin, so daß eine solche Passage eine Stadt, eine Welt im Kleinen ist □ Flaneur □, in der der Kauflustige alles finden wird, dessen er benötigt. Sie sind bei plötzlichen Regengüssen der Zufluchtsort aller Überraschten, denen sie eine gesicherte, wenn auch beengte Promenade gewähren, bei der die Verkäufer auch ihren Vorteil finden.« □ Wetter □

Diese Stelle ist der locus classicus für die Darstellung der Passagen, denn aus ihr entspinnen sich nicht allein die divagations über den Flaneur und das Wetter, sondern auch was über die Bauweise der Passagen in wirtschaftlicher und architektonischer Hinsicht zu sagen ist, könnte hier seine Stelle finden. [A 1, 1]

Namen von Magasins de Nouveautés: La fille d’honneur / La Vestale / Le page inconstant / Le masque de fer / Le petit chaperon rouge / La petite Nanette / La chaumière allemande / Au mamelouk / Au coin de la rue – Namen, die meist aus erfolgreichen Vaudevilles stammen. □ Mythologie □ Ein gantier: Au ci-devant jeune homme; ein confiseur: Aux armes de Werther

»Der Name des Juweliers steht in großen, mit täuschend nachgeahmten Edelsteinen ausgelegten Buchstaben über der Ladenthür.« Eduard Kroloff: Schilderungen aus Paris Hamburg 1839 II p 73 »In der Galerie Véro-Dodat ist ein Eßwarenladen, über dessen Thür man die Inschrift Gastronomie cosmopolite lieset, deren einzelne Buchstaben auf eine höchst komische Art aus Schnepfen, Fasanen, Hasen, Hirschgeweihen, Hummern, Fischen, Vogelnieren u. s. w. zusammengestellt sind.« Kroloff: Schilderungen aus Paris II p 75 □ Grandville □ [A 1, 2]

Wenn das Geschäft sich entwickelte, kaufte der Inhaber Vorrat für eine Woche und zog, um Raum fürs Speichern seiner Ware zu gewinnen, in den Entresol. Damit war dann aus der boutique ein magasin geworden. [A 1, 3]

Es war die Zeit, in der Balzac schreiben konnte: »Le grand poème de l’étalage chante ses strophes de couleurs depuis la Madeleine jusqu’à la porte Saint-Denis.« Le diable à Paris Paris 1846 II p 91 (Balzac: Les boulevards de Paris) [A 1, 4]

»Le jour que Spécialité fut découverte par Sa Majesté l’Industrie, reine de France et de quelques lieux circonvoisins; ce jour-là, dit-on, Mercure, dieu spécial des marchands et de plusieurs autres spécialités sociales, frappa par trois fois de son caducée le fronton de la Bourse, et jura par la barbe de Proserpine que le mot lui paraissait joli.« □ Mythologie □ Das Wort ist übrigens zunächst nur für Luxuswaren im Gebrauch. La grande ville Nouveau tableau de Paris Paris 1844 II p 57 (Marc Fournier: Les spécialités parisiennes) [A 1, 5]

»Les rues étroites qui environnent l’Opéra, et les dangers auxquels les piétons étaient exposés en sortant de ce spectacle toujours assiégé de voitures, donnèrent en 1821, à une compagnie de spéculateurs, l’idée, d’utiliser une partie des constructions qui séparaient le nouveau théâtre d’avec le boulevart. / Cette entreprise, en même temps qu’elle devint une source de richesses pour ses auteurs, fut pour le public d’un immense avantage. / En effet, au moyen d’un petit passage étroit, élevé en bois et couvert, on communique de plain-pied et avec toute sécurité du vestibule de l’Opéra dans ces galeries, et de là sur le boulevart … Au dessus de l’entablement des pilastres doriques qui divisent les magasins s’élèvent deux étages d’appartements, et au dessus de ces appartements, et dans toute la longueur des galeries, régnent de grands vitrages.« J. A. Dulaure: Histoire physique, civile et morale de Paris depuis 1821 jusqu’à nos jours Paris 1835 II p 28/29 [A 1, 6]

Bis 1870 beherrschte der Wagen die Straße. Auf den schmalen Bürgersteigen war man äußerst beengt und daher fand das Flanieren vornehmlich in den Passagen statt, die vorm Wetter und vorm Verkehr Schutz boten. »Nos rues plus larges et nos trottoirs plus spacieux ont rendu aisée la douce flanerie impossible à nos pères, ailleurs que dans les passages.« □ Flaneur □ Edmond Beaurepaire: Paris d’hier et d’aujourd’hui La chronique des rues Paris 1900 p 67 [A 1 a, 1]

Passagen-Namen: Passage des Panoramas, Passage Véro-Dodat, Passage du Désir (menant jadis à un lieu galant), Passage Colbert, Passage Vivienne, Passage du Pont-Neuf, Passage du Caire, Passage de la Réunion, Passage de l’Opéra, Passage de la Trinité, Passage du Cheval-Blanc, Passage Pressière 〈Bessières?〉, Passage du Bois de Boulogne, Passage Grosse-Tête. (Passage des Panoramas hieß vorher Passage Mirès.) [A 1 a, 2]

Le passage Véro-Dodat (construit entre les rues de Bouloy et Grenelle-Saint-Honoré) »doit son nom à deux riches charcutiers, MM. Véro et Dodat, qui entreprirent en 1823 son percement ainsi que les immenses constructions qui en dépendent; ce qui fit dire, dans le temps, que ce passage était un beau morceau de l’art pris entre deux quartiers.« J. A. Dulaure: Histoire physique, civile et morale de Paris depuis 1821 jusqu’à nos jours Paris 1835 II p 34 [A 1 a, 3]

Die Passage Véro-Dodat hatte Marmorpflaster. Die Rachel bewohnte sie eine Zeitlang. [A 1 a, 4]

Galerie Colbert no 26 »Là, sous l’apparence d’une gantière, brillait une beauté accessible, mais qui ne tenait compte, en fait de jeunesse, que de la sienne; elle imposait aux mieux favorisés de pourvoir aux atours dont elle espérait une fortune … Cette jeune et belle femme sous verre, on l’appelait Labsolu; mais à sa recherche la philosophie aurait perdu tout son temps à courir. C’est sa bonne qui vendait les gants; elle en demandait.« □ Puppen □ Huren □ Lefeuve: Les anciennes maisons de Paris IV 〈Paris 1875〉 p 70 [A 1 a, 5]

Cour du Commerce »Là fut faite sur des moutons une première expérience de la guillotine, instrument dont l’inventeur demeurait à la fois cour du Commerce et rue de l’Ancienne-Comédie.« Lefeuve: Les anciennes maisons de Paris IV p 148 [A 1 a, 6]

»Le passage du Caire, dont la principale industrie est l’impression lithographique, aurait bien dû illuminer quand Napoléon III a supprimé l’obligation du timbre pour les circulaires de commerce; cette émancipation a enrichi le passage, qui s’en est montré reconnaissant par des frais d’embellissement. Jusque-là il fallait tenir, en cas de pluie, les parapluies ouverts dans ses galeries, qui en plusieurs endroits manquaient de couverture vitrée.« Lefeuve: Les anciennes maisons de Paris II p 233 □ Traumhäuser □ Wetter □ (Ägyptische Ornamentik) [A 1 a, 7]

Impasse Maubert, naguère d’Amboise. No 4 und 6 wohnte gegen 1756 eine Giftmischerin mit ihren beiden Helferinnen. Man fand sie eines morgens alle drei durchs Einatmen giftiger Gase getötet auf. [A 1 a, 8]

Gründerjahre unter Louis XVIII. Mit den dramatischen Aufschriften der magasins de nouveautés tritt die Kunst in den Dienst des Kaufmanns. [A 1 a, 9]

»Après le passage des Panoramas, qui remontait à l’année 1800 et dont la réputation mondaine était assise, voici, à titre d’exemple, la galerie ouverte en 1826 par les charcutiers Véro et Dodat et figurée par une lithographie d’Arnout, de 1832. Depuis 1800, il faut descendre jusqu’en 1822 pour rencontrer un nouveau passage: c’est entre cette date et 1834 que s’échelonne la construction de la plupart de ces voies si particulières et dont les plus importantes se trouvent groupées entre la rue Croix-des-Petits-Champs au Sud, la rue de la Grange-Batelière au Nord, le boulevard de Sébastopol à l’Est et la rue Ventadour à l’Ouest.« Marcel Poëte: Une vie de Cité Paris 1925 p 373/374 [A 1 a, 10]

Läden in der Passage des Panoramas: Restaurant Véron, cabinet de lecture, marchand de musique, Marquis, marchands de vins, bonnetier, merciers, tailleurs, bottiers, bonnetiers, libraires caricaturiste, Théâtre des Variétés. Demgegenüber war die Passage Vivienne die solide Passage. Dort gab es keine Luxusgeschäfte, □ Traumhäuser: Passage als Kirchenschiff mit Seitenkapellen. □ [A 2, 1]

Man nannte das »génie des jacobins et des industriels« zusammen, aber man legte auch Louis-Philippe das Wort in den Mund: Dieu soit loué et mes boutiques aussi. Die Passagen als Tempel des Warenkapitals. [A 2, 2]

Die neueste pariser Passage in den Champs-Elysées, von einem amerikanischen Perlenkönig erbaut, kein Geschäft mehr. □ Verfall □ [A 2, 3]

»Il y avait eu à Paris des essais de bazar et des boutiques vendant à prix fixe vers la fin de l’ancien régime. Il s’était fondé sous la Restauration et sous le règne de Louis-Philippe quelques grands magasins de nouveautés, comme le Diable boiteux, les Deux Magots, le Petit Matelot, Pygmalion; mais ces magasins étaient des établissements d’ordre tout à fait inférieur, quand on les compare aux établissements actuels. L’ère des grands magasins ne date en réalité que du second Empire. Ils ont pris un très grand développement depuis 1870 et ils continuent à se développer.« E. Levasseur: Histoire du commerce da la France II Paris 1912 p 449 [A 2, 4]

Passagen als Ursprung der Warenhäuser? Welche von den oben genannten Magazinen waren in Passagen? [A 2, 5]

Das régime der Spezialitäten gibt – nebenbei gesagt – auch den historisch-materialistischen Schlüssel für den Aufschwung (wenn nicht die Entstehung) der Genremalerei in den vierziger Jahren des vorigen Jahrhunderts. Mit dem wachsenden Anteil, den die Bourgeoisie an der Kunst nahm, differenzierte sie sich, aber, entsprechend dem zunächst geringen Kunstverständnis dieser Schicht, im Gegenständlichen, Dargestellten und es kamen historische Szenen, Tiermalerei, Kinderszenen, Bilder aus dem Leben der Mönche, der Familie, des Dorfes als scharfumrissene Gattungen zum Vorschein. □ Photographie □ [A 2, 6]

Es ist dem Einfluß des Handelsbetriebes auf Lautréamont und Rimbaud nachzugehen! [A 2, 7]

»Une autre caractéristique, à partir du Directoire surtout, (vermutlich bis etwa 1830??) ce sera la légèreté des étoffes; durant les froids les plus vifs, même, on ne verra apparaître que très rarement fourrures et chaudes douillet⁠〈t〉⁠es 〈?〉. Au risque d’y laisser leur peau, les femmes se vêtiront comme si les rudesses des hivers n’existaient plus, comme si la nature, subitement, s’était transformée en un éternel paradis.« Grand-Carteret: Les élegances de la toilette Paris p XXXIV [A 2, 8]

Auch sonst gab damals das Theater den Wortschatz für modische Dinge. Hüte à la Tarare, à la Théodore, à la Figaro, à la Grande-Prêtresse, à l’Iphigénie, à la Calprenade, à la Victoire. Dieselbe niaiserie, die im Ballett den Ursprung des Wirklichen sucht, verrät sich darin, wenn – um 1830 – eine Zeitung sich den Namen »Le sylphe« gibt. □ Mode □ [A 2, 9]

Alexandre Dumas auf einer Soiree bei der Prinzessin Mathilde. Die Verse gehen auf Napoleon III.

»Dans leurs fastes impériales

L’oncle et le neveu sont égaux:

L’oncle prenait des capitales,

Le neveu prend nos capitaux.«

Eisiges Schweigen folgte. Berichtet bei Mémoires du comte Horace de Viel-Castel sur le règne de Napoléon III II Paris 1883 p 185 [A 2, 10]

»Die Coulisse war die Permanenz des Börsenlebens. Hier gab es nie Feierabend, beinahe niemals Nacht. Wenn Tortoni geschlossen wurde, zog sich die Colonne auf die angrenzenden Boulevards und wogte dort, am dichtesten vor der Passage d l’Opéra, auf und nieder.« Julius Rodenberg: Paris bei Sonnenschein und Lampenlicht Leipzig 1867 p 97 [A 2, 11]

Spekulation in Eisenbahnaktien unter Louis-Philippe [A 2, 12]

»Von derselben Herkunft [sc. aus dem Hause Rothschild] ferner ist Mirès, der wundersam Beredte, der nur zu sprechen braucht, um seine Gläubiger zu überzeugen, daß Verlust Gewinst sei – dessen Name aber nichtsdestoweniger von der ›Passage Mirès‹ getilgt wurde nach seinem skandalösen Proceß, um sich in die ›Passage des Princes‹ (mit den famosen Speisesalons von Peters) zu verwandeln.« Rodenberg: Paris bei Sonnenschein und Lampenlicht Leipzig 1867 p 98 [A 2 a, 1]

Ruf der Verkäufer der Kurszettel auf der Straße: bei Hausse »La hausse de la Bourse«. Bei Baisse: 〈»〉⁠Les variations de la Bourse«. Der Terminus »Baisse« war polizeilich verboten. [A 2 a, 2]

Die Passage de l’Opéra ist in ihrer Bedeutung für Coulissengeschäfte mit der Kranzlerecke zu vergleichen. Argot der Boursiers 〈»〉⁠in den Tagen, welche dem Ausbruch des deutschen Kriegs [1866] vorausgingen: die dreiprocentige Rente ›Alphonsine‹, der Crédit foncier … ›le gros Ernest‹, die italienische Rente … ›le pauvre Victors‹, der Crédit mobilier … ›le petit Jules‹.⁠〈«〉 Nach Rodenberg 〈Leipzig 1867〉 p 100 [A 2 a, 3]

Preis einer Charge als Agent de change 2 000 000 〈sic〉 bis 1 400 000 Frcs. [A 2 a, 4]

»les passages, qui presque tous datent de la Restauration« Théodore Muret: L’histoire par le théâtre Paris 1865 II p 300 [A 2 a, 5]

Einiges über Avant, Pendant et Après von Scribe und Rougemont. Premiere 28 Juni 1828. Der erste Teil der Trilogie stellt die Gesellschaft des ancien régime dar, der zweite die Schreckensherrschaft, der dritte spielt in der Gesellschaft der Restaurationszeit. Die Hauptperson, der General, ist im Frieden Industrieller und zwar ein großer Fabrikant geworden. »La manufacture remplace ici, pour le haut grade, le champ que cultivait le Soldat-Laboureur. L’éloge de l’industrie n’a guère moins été chanté, par le vaudeville de la Restauration, que celui des guerriers et des lauriers. La classe bourgeoise, à ses différents degrés, était mise en regard de la classe noble: la fortune acquise par le travail était opposée au blason séculaire, aux tourelles du vieux manoir. Ce tiers-état, devenu la puissance dominante, avait, à son tour, ses flatteurs.« Théodore Muret: L’histoire par le théâtre II p 306 [A 2 a, 6]

Les Galeries de Bois »qui ont disparu de 1828 à 1829 pour faire place à la galerie d’Orléans, étaient formées par une triple ligne de boutiques peu luxueuses, et consistaient en deux allées parallèles, couvertes en toile et en planches, avec quelques vitrages pour donner du jour. On y marchait tout simplement sur la terre battue, que les fortes averses transformaient quelquefois en boue. Eh bien! on venait de toutes parts se presser dans cet endroit qui n’était rien moins que magnifique, entre ces rangées de boutiques qui sembleraient des échoppes en comparaison de celles qui leur ont succédé. Ces boutiques étaient occupées principalement par deux industries, ayant chacune leur genre d’attrait. Il y avait force modistes, qui travaillaient sur de grands tabourets tournés vers le dehors, sans qu’aucune glace les en séparât, et leur mine fort éveillée n’était pas, pour certains promeneurs, le moindre appât du lieu. Puis, les Galeries de Bois étaient le centre de la librairie nouvelle.« Théodore Muret: L’histoire par le théâtre II p 225/226 [A 2 a, 7]

Julius Rodenberg über das kleine Lesekabinett in der Passage de l’Opéra: »Wie freundlich steht dieses kleine halbdunkle Zimmer in meiner Erinnerung, mit seinen hohen Bücherreihen, seinen grünen Tischen, seinem rothhaarigen Garçon (einem großen Bücherfreund, der immer Romane las, statt sie den andern zu bringen), seinen deutschen Zeitungen, die das Herz des Deutschen an jedem Morgen erfreuten (mit Ausnahme der ›Kölnischen‹, die durchschnittlich alle zehn Tage nur einmal zum Vorschein kam). Aber wenn es Neuigkeiten in Paris gibt: hier sind sie zu haben, von hier aus erhalten wir sie. Leise geflüstert (denn der Rothhaarige paßt scharf auf, daß weder er noch die andern dadurch gestört werden) gehen sie von der Lippe zum Ohr, kaum hörbar von der Feder aufs Papier, von dem Schreibtisch zur benachbarten boîte aux lettres. Die gütige Dame des Bureau hat ein freundliches Lächeln für alle, Papier und Enveloppen für die Correspondenten: die erste Post ist besorgt, Köln und Augsburg haben ihre Nachrichten; und nun – zwölf Uhr! – in die Taverne.« Rodenberg: Paris bei Sonnenschein und Lampenlicht L⁠〈ei〉⁠pz⁠〈ig〉 1867 p 6/7 [A 2 a, 8]

»Le Passage du Caire rappelle beaucoup, en plus petit, le Passage du Saumon, qui existait autrefois rue Montmartre, sur l’emplacement de la rue Bachaumont aujourd’hui.« Paul Léautaud: Vieux Paris Mercure de France 1927 p 503 (15 oct⁠〈obre〉) [A 3, 1]

»Des boutiques vieux modèle, occupées par des commerces qu’on ne voit que là, surmontées d’un petit entresol à l’ancien temps, avec des fenêtres qui portent chacune le numéro, en écusson, correspondant à chaque boutique. De temps en temps, une porte, donnant sur un couloir, au bout duquel un petit escalier conduisant à ces entresols. Au bouton d’une de ces portes, cet écriteau, à la main:


en évitant de faire

cogner la porte en la

refermant

vous obligeriez l’ouvrier

qui travaille à côté.

[A 3, 2]

Ein anderes Schild ist ebendort (Léautaud: Vieux Paris M⁠〈ercure〉 d⁠〈e〉 F⁠〈rance〉 1927 p 502/503) zitiert:

Angela

au 1er étage à droite

[A 3, 3]


Alter Name für Warenhäuser »docks à bon marché« Giedion: Bauen in Frankreich 〈Leipzig Berlin 1928〉 p 31 [A 3, 4]

Entwicklung des Passagenmagazins zum Warenhaus. Prinzip des Warenhauses: »Die Stockwerke bilden einen einzigen Raum. Man kann sie ›sozusagen mit einem Blick umfassen‹.« Giedion: Bauen in Frankreich p 34 [A 3, 5]

Giedion zeigt (»Bauen in Frankreich⁠〈«〉 p 35) wie der Grundsatz »Accueillir la foule et la retenir en la séduisant« (Science et l’industrie 1925 No 143 p 6) zu verderbten architektonischen Gestaltungen beim Bau des Printemps (1881-89) führt. Funktion des Warenkapitals! [A 3, 6]

»Les femmes même, auxquelles l’entrée de la Bourse est interdite, s’assemblent à la porte pour glaner des indications de cours et donner aux courtiers leurs ordres, à travers la grille.« La transformation de Paris sous le second empire (Auteurs Poëte, Clouzot, Henriot) (Paris 1910) anläßlich der Exposition de la Bibliothèque et des travaux historique, p 66 [A 3, 7]

»N’a pas de spécialité« hatte der berühmte Trödler Frémin »l’homme à la tête grise« auf die enseigne seines Trödels auf der place des Abbesses geschrieben. Hier kommt, am alten Gerümpel, die alte Physiognomie des Handels noch einmal zum Vorschein, die in den ersten Jahrzehnten des vorigen Jahrhunderts durch die Herrschaft der »spécialité« verdrängt zu werden begann. »Au philosophe« nannte der Inhaber diesen »Grand Chantier de démolitions« – welcher Abriß und Abbruch des Stoizismus! »Attention, ne regardez pas la feuille à l’envers« stand auf seinen Maueranschlägen. Und: »N’achète rien au clair de lune«. [A 3, 8]

Offenbar wurde in den Passagen schon geraucht als es im übrigen auf der Straße noch nicht üblich war. »Ich muß hier auch noch ein Wort von dem Leben in den Passagen, als dem Lieblingsaufenthalte der Spaziergänger und der Raucher, dem Tummelplatze aller möglichen kleinen Metiers, sagen. In jeder Passage ist wenigstens ein Reinigungs-Salon. In einem Kabinet, das so elegant eingerichtet ist, als es die Bestimmung desselben erlaubt, sitzen auf hohen Estraden die Herren, und lesen gemächlich ein Journal, während man bemüht ist, ihnen den Schmutz von Kleid und Stiefeln abzubürsten.« Ferdinand von Gall: Paris und seine Salons II 〈Oldenburg 1845〉 p 22/23 [A 3, 9]

Ein erster Wintergarten – verglaster Raum mit Blumenparterres, Spalieren und Springbrunnen, zum Teil unterirdisch, an der Stelle wo 1864 im Garten des Palais-Royal (und auch jetzt noch?) das Bassin war. Angelegt 1788. [A 3, 10]

»C’est de la fin de la Restauration que datent les premiers magasins de nouveautés: les Vêpres siciliennes, le Solitaire, la Fille mal gardée, le Soldat Laboureur, les Deux Magots, le Petit Saint-Thomas, le Gagne-Denier.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 360 [A 3, 11]

»En 1820, on ouvrit … les passages Viollet et des deux Pavillons. Ces passages étaient une des nouveautés de l’époque. C’étaient des galeries couvertes, dues à l’initiative privée, où l’on installa des boutiques, que la mode fit prospérer. Le plus fameux fut le passage des Panoramas, dont la vogue dura de 1823 à 1831. Le dimanche, disait Musset, la cohue ›Est aux Panoramas ou bien aux boulevards‹. Ce fut également l’initiative privée qui créa, un peu au hasard, les ›cités‹, courtes rues ou impasses édifiées à frais communs par un syndicat de propriétaires.« Lucien Dubech, Pierre D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 355/56 [A 3 a, 1]

En 1825 ouverture des »passages Dauphine, Saucède, Choiseul« et de là cité Bergère. »En 1827 … les passages Colbert, Crussol, de l’Industrie … 1828 vit ouvrir … les passages Brady et des Gravilliers et commencer la galerie d’Orléans au Palais-Royal, à la place des galeries de bois incendiées cette année-là.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 357/8 [A 3 a, 2]

»L’ancêtre des grands magasins, la Ville de Paris, paraît au 174 de la rue Montmartre en 1843.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 389 [A 3 a, 3]

»Regengüsse schikanirten mich, deren einen ich in einer Passage verpaßte. Dieser ganz mit Glas überdeckten Gassen, welche oft in mehreren Abzweigungen die Häusermassen durchkreuzen, und somit auch willkommene Richtwege darbieten, giebt es sehr viele. Sie sind zum Theil mit großer Eleganz gebaut, und bieten bei üblem Wetter oder Abends bei tagesheller Beleuchtung sehr besuchte Spaziergänge dar, durch die Reihen der glänzenden Kaufläden hindurch.« Eduard Devrient: Briefe aus Paris Berlin 1840 p 34 [A 3 a, 4]

»Rue-Galerie. – La rue-galerie d’une phalange est la principale pièce du palais d’harmonie, dont on ne peut avoir aucune idée en civilisation. Chauffée en hiver elle est raffraîchie en été. Les rues-galeries internes en péristyle continu sont placées au premier étage du palais de la phalange (La galerie du Louvre peut être considérée comme un modèle).« cit nach Fourier: Théorie de l’unité universelle 1822 p 462 und Le nouveau monde industriel et sociétaire 1829 p 69, 125, 272. E. Silberling: Dictionnaire de sociologie phalanstérienne Paris 1911 p 386 Dazu: »Galerie. – Des galeries couvertes et chauffées relient les divers corps de logis d’un phalanstère, elles y forment des rues-galeries.« cit nach Fourier: Théorie mixte, ou spéculative, et synthèse routinière de l’association p 14 E. Silberling l c p 197/98 [A 3 a, 5]

Der Passage du Caire der ehemaligen Cours des Miracles benachbart. 1799 auf dem frühem Gartengrund der Filles Dieu errichtet. [A 3 a, 6]

Handel und Verkehr sind die beiden Komponenten der Straße. Nun ist in den Passagen deren zweite abgestorben; ihr Verkehr ist rudimentär. Sie ist nur geile Straße des Handels, nur angetan, die Begierden zu wecken. Weil in dieser Straße die Säfte stocken, wuchert die Ware an ihren Rändern und geht phantastische Verbindungen wie die Gewebe in Geschwüren ein. – Der Flaneur sabotiert den Verkehr. Er ist auch nicht Käufer. Er ist Ware. [A 3 a, 7]

Zum erstenmal in der Geschichte beginnen, mit der Gründung der Warenhäuser, die Konsumenten sich als Masse zu fühlen. (Früher lehrte sie das nur der Mangel.) Damit steigert sich das circensische und schaustückhafte Element des Handels ganz außerordentlich. [A 4, 1]

Mit der Herstellung von Massenartikeln kommt der Begriff der Spezialität auf. Sein Verhältnis zu dem der Originalität ist zu untersuchen. [A 4, 2]

»Je conviens que le commerce du Palais-Royal a eu son époque critique; mais je croîs qu’il faut l’attribuer non à l’absence des filles publiques, mais au percement de nouveaux passages, à l’agrandissement et aux embellissemens de plusieurs autres: je citerai ceux de l’Opéra, du Grand-Cerf, du Saumon, de Véro-Dodat, de Lorme, de Choiseul et des Panoramas.« FFA Béraud: Les filles publiques de Paris et la police qui les régit Paris et Leipzig 1839 I p 205 [A 4, 3]

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Yaş sınırı:
18+
Litres'teki yayın tarihi:
13 kasım 2024
Hacim:
1461 s. 19 illüstrasyon
ISBN:
9788026829706
Yayıncı:
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Bookwire
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