Kitabı oku: «Das Passagen-Werk», sayfa 6

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»Nous qu’on proscrit, notre usage est commode,

N’avons-nous pas, par notre aspect riant,

A tout Paris fait adopter la mode

De ces bazars, fameux dans l’Orient.

Quels sont ces murs que la foule contemple?

Ces ornemens, ces colonnes surtout?

On se croirait dans Athènes, et ce temple

Est au commerce élevé par le goût.« (p 29/30)

Lutèce schlichtet den Streit: »L’affaire est entendue. Génies des lumières, obéissez à ma voix. (En ce moment toute la galerie se trouve éclairée par le gaz.)« (p 31) Ein Ballett der Passagen und Straßen beschließt das Vaudeville. [A 10 a, 1]

»Je n’hésite point à l’écrire, si énorme que cela puisse paraître aux sérieux écrivains d’art, ce fut le calicot qui lança la lithographie … Condamnée aux figures d’après Raphaël, aux Briséis de Regnault, elle fût peut-être morte; Calicot la sauva.« Henri Bouchot: La lithographie Paris 〈1895〉 p 50/51 [A 11, 1]

»Dans le passage Vivienne,

Elle me dit: j’suis de la Vienne.

Et elle ajouta:

J’habite chez mon oncle,

C’est la frère à papa!

Je lui soigne un furoncle,

C’est un sort plein d’appas.

Je devais r’trouver la donzelle

Passage Bonne-Nouvelle,

Mais en vain je l’attendis

Passage Brady.

Les voilà bien, les amours de passage!«

Narcisse Lebeau cit Léon-Paul Fargue: Cafés de Paris II [in Vu IX 416 4 mars 1936] [A 11, 2]

»Aucune raison particulière … au premier coup d’œil, pour que l’histoire ait reçu ce nom: Le Magasin d’Antiquités. Il n’y a que deux des personnages qui aient quelque chose à voir avec ce genre de boutique, et dès les premières pages ils la quittent pour toujours … Mais, quand nous étudions les choses avec plus de suite, nous nous rendons compte que ce titre est une sorte de clef pour tout le roman de Dickens. Ses histoires avaient toujours pour point de départ quelque souvenir de la rue; les magasins, peut-être les plus poétiques de toutes les choses, mirent souvent en mouvement son imagination débridée. Chaque boutique, en fait, éveillait en lui l’idée d’une nouvelle. Parmi les diverses séries de projets …, on peut être surpris de ne pas en voir commencer une inépuisable sous le titre de La Rue, et dont les boutiques auraient constitué les chapitres. Il aurait pu faire des romans délicieux: La Boutique du Boulanger, La Pharmacie, La Boutique du Marchand d’Huiles: autant de pendants au Magasin d Antiquités.« GK Chesterton: Dickens Traduit par Laurent et Martin-Dupont Paris 1927 p 82/83 [A 11, 3]

»On peut évidemment se demander dans quelle mesure Fourier croyait lui-même à ces fantaisies. Il lui est arrivé dans ses manuscrits de se plaindre des critiques qui prennent à la lettre le figuré, et de parler ailleurs de ses ›bizarreries étudiées‹. Il n’est pas interdit de penser qu’il y ait là au moins une part de charlatanisme volontaire, une application au lancement de son système des procédés de publicité commerciale, qui commençaient à se développer.« F Armand et R Maublanc: Fourier Paris 1937 I p 158 □ Ausstellungen □ [A 11 a, 1]

Geständnis Proudhons gegen Ende seines Lebens (in La Justice – mit Fouriers Vision des Phalansteriums zu konfrontieren): »Il a bien fallu me civiliser. Mais l’avouerai-je? le peu que j’en ai pris me dégoûte … Je hais les maisons à plus d’un étage, dans lesquelles, à l’inverse de la hiérarchie sociale, les petits sont guindés en haut, les grands établis près du sol.« (cit Armand Cuvillier: Marx et Proudhon A la lumière du Marxisme II Première partie Paris 1937 p 211) [A 11 a, 2]

Blanqui: »J’ai porté, dit-il, la première cocarde tricolore de 1830, faite par Mme Bodin, passage du Commerce.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1897 p 240 [A 11 a, 3]

Noch Baudelaire schreibt »un livre éclatant comme un mouchoir ou un châle de l’Inde«. Baudelaire: L’art romantique Paris p 192 (Pierre Dupont) [A 11 a, 4]

Die Sammlung Crauzat besitzt eine schöne Darstellung des passage des panoramas von 1808. Ebendort ein Prospektus eines débit de cirage, der es in der Hauptsache mit dem gestiefelten Kater zu tun hat. [A 11 a, 5]

Baudelaire am 25 Dezember 1861 an seine Mutter über seinen Versuch, einen Shawl zu versetzen: »On m’a dit qu’il y avait dans les bureaux encombrement de cachemires, aux approches du jour de l’an, et qu’on cherchait à dégoûter le public d’en apporter.« Charles Baudelaire: Lettres à sa mère Paris 1932 p 198 [A 11 a, 6]

»Notre siècle reliera le règne de la force isolée, abondante en créations originales, au règne de la force uniforme, mais niveleuse, égalisant les produits, les jetant par masses, et obéissant à une pensée unitaire, dernière expression des sociétés.« H de Balzac: L’illustre Gaudissart Paris ed Calman-Lévy p 1 (1837) [A 11 a, 7]

Umsatz des Bon marché von 1852 bis 1863 von 450 000 frcs auf 7 Millionen frcs gestiegen. Die Gewinnsteigerung dürfte prozentual viel kleiner gewesen sein. Großer Umsatz, kleiner Nutzen war ein neues Prinzip, das zu den Hauptwirkungen, der Wirkung durch die kaufende Menge und die Masse des Warenlagers paßte. 1852 assoziiert sich Boucicaut mit Vidau, dem Inhaber des magasin de nouveautés Au bon marché. »L’originalité consistait à vendre la marchandise garantie au prix de la marchandise de camelote. La marque en chiffres connus, autre innovation hardie qui supprimait le marchandage et la ›vente au procédé‹, c’est-à-dire la majoration de l’objet suivant la physionomie des acheteurs; – le ›rendu‹, permettant au client d’annuler à volonté son marché; – enfin le paiement presque intégral des employés par une commission sur les ventes: tels furent les élémens constitutifs de la nouvelle organisation.« George d’Avenel: Le mécanisme de la vie moderne: Les grands magasins (Revue des deux mondes Paris 1894 p 335/336 124e tome) [A 12, 1]

Bei der Kalkulation der Warenhäuser dürfte anfänglich der Gewinn an Zeit eine Rolle gespielt haben, den sie durch den Fortfall des Handelns dem Detailgeschäft gegenüber hatten. [A 12, 2]

Ein Kapitel »Shawls, Cachemirs« in Börnes »Industrie-Ausstellung im Louvre«. Ludwig Börne: Gesammelte Schriften Hamburg Frankfurt a/M 1862 III p 260 [A 12, 3]

Die Physiognomie der Passage taucht bei Baudelaire in einem Satz zu Beginn des Joueur généreux auf: »Il me parut singulier que j’eusse pu passer si souvent à côté de ce prestigieux repaire sans en deviner l’entrée.« 〈Baudelaire: Œuvres Texte établi et annoté par Y.-G. Le Dantec Paris 1931〉 I p 456 [A 12, 4]

Spezifica des Warenhauses: die Kunden fühlen sich als Masse; sie werden mit dem Warenlager konfrontiert; sie übersehen alle Stockwerke mit einem Blick; sie zahlen feste Preise; sie können »Umtauschen«. [A 12, 5]

»In denjenigen Theilen der Stadt, wo die Theater, die öffentlichen Spaziergänge … liegen, wo daher die meisten Fremden wohnen und sich umhertreiben, gibt es fast kein Haus ohne Laden. Es kommt auf eine Minute, auf einen Schritt an, die Anziehungskräfte spielen zu lassen; denn eine Minute später, einen Schritt weiter steht der Vorübergehende vor einem andern Laden … Die Augen werden Einem wie gewaltsam entführt, man muß hinaufsehen und stehen bleiben, bis der Blick zurückkehrt. Der Name des Kaufmanns und seiner Waare steht zehnmal neben, unter einander auf den Thüren, über den Fenstern auf Schildern geschrieben, die Außenseite des Gewölbes sieht aus wie das Schreibbuch eines Schulknäbchens, das die wenigen Worte der Vorschrift immerfort wiederholt. Die Zeuge werden nicht in Mustern, sondern in ganzen aufgerollten Stücken vor Thüre und Fenster gehängt. Manchmal sind sie hoch am dritten Stocke befestigt, und reichen nach allerlei Verschlingungen bis zum Pflaster herab. Der Schuhmacher hat die Außenseite seines ganzen Hauses mit Schuhen aller Farben bemalt, welche bataillonsweise zusammen stehen. Das Zeichen der Schlosser ist ein sechs Fuß hoher vergoldeter Schlüssel; die Riesenpforten des Himmels brauchten keinen größern. An den Läden der Strumpfhändler sind vier Ellen hohe, weiße Strümpfe gemalt, vor welchen man sich im Dunkeln entsetzt, man glaubt, weiße Gespenster strichen vorüber … Auf eine edlere und anmuthigere Weise wird aber Fuß und Auge durch die Gemälde gefesselt, welche vor vielen Kaufläden ausgehängt sind … Diese Gemälde sind nicht selten wahre Kunstwerke, und wenn sie in der Gallerie des Louvre’s hingen, würden Kenner, wenn auch nicht mit Bewunderung, doch mit Vergnügen vor ihnen stehen bleiben … Am Hause eines Perrückenmachers [hängt] ein Bild, das zwar schlecht gemalt ist, aber eine drollige Vorstellung enthält. Der Kronprinz Absalon hängt mit den Haaren am Baume, und wird von einer feindlichen Lanze durchbohrt. Darunter die Verse: ›Contemplez d’Absalon le déplorable sort, | S’il eût porté perruque, il évitait la mort.‹ Ein anderes … Bild, ein Rosenmädchen vorstellend, das knieend aus den Händen eines Ritters den Kranz empfängt, schmückt die Ladenthüre einer Putzmacherin.« Ludwig Börne: Schilderungen aus Paris (1822 und 1823) VI Die Läden. (Sämtl⁠〈iche〉 W⁠〈erke; recte: Gesammelte Schriften〉) Hamb⁠〈urg〉 Frankfurt a/M 1862 III p 46-49 [A 12 a]

Zu Baudelaires »ivresse religieuse des grandes villes«: die Warenhäuser sind die diesem Rausch geweihten Tempel. [A 13]

Mode

»Mode: Herr Tod, Herr Tod!«

Giacomo Leopardi: Gespräch zwischen der Mode und dem Tod

»Rien ne meurt, tout se transforme.«

Honoré de Balzac: Pensées, Sujets, Fragments Paris 1910 p 46

Und Langeweile ist das Gitterwerk, vor dem die Kurtisane den Tod neckt ■ Ennui ■ [B 1, 1]

Ähnlichkeit der Passagen mit den gedeckten Hallen, in denen man Radeln lernte. In diesen Hallen nahm das Weib seine verführerischste Gestalt an: als Radlerin. So steht sie auf den damaligen Plakaten. Chéret der Maler dieser Frauenschönheit. Das Kostüm der Radlerin als frühe und unbewußte Vorform der Sportkleidung entspricht den traumgestalten Vorformen, wie sie, ein wenig früher oder später, für die Fabrik oder das Auto aufkamen. Wie die ersten Fabrikbauten sich an die überkommene Form des Wohnhauses klammern, die ersten Automobilkarosserien Karossen nachbilden, so ringt in der Kleidung der Radlerin der sportliche Ausdruck noch mit dem überkommenen Idealbild der Eleganz, und der Ertrag dieses Ringens ist der verbissene, sadistische Einschlag, der es für die Männerwelt dieser Jahre so unvergleichlich provokatorisch machte. ■ Traumhäuser ■ [B 1, 2]

»In diesen Jahren [um 1880] beginnt ja nicht nur die Renaissancemode Unfug zu treiben, sondern auf der anderen Seite setzt eine neue Freude der Frau am Sport ein, vor allem am Reitsport, und beides beeinflußt die Mode von ganz verschiedenen Richtungen her. Es wirkt originell, wenn auch nicht immer schön, wie so die Jahre von 1882 bis 1885 zwischen den Empfindungen zu vermitteln suchen, von denen die weibliche Seele hin und her gerissen wird. Man sucht sich zu helfen, indem man die Taille möglichst anliegend und schlicht, den Rock dafür aber umsomehr Rokoko gestaltet.« 70 Jahre deutsche Mode 1925 p 84-87 [B 1, 3]

Hier hat die Mode den dialektischen Umschlageplatz zwischen Weib und Ware – zwischen Lust und Leiche – eröffnet. Ihr langer flegelhafter Kommis, der Tod, mißt das Jahrhundert nach der Elle, macht wegen der Ersparnis selbst den Mannequin und leitet eigenhändig den Ausverkauf, der auf französisch »révolution« heißt. Denn nie war Mode anderes als die Parodie der bunten Leiche, Provokation des Todes durch das Weib und zwischen geller memorierter Lache bitter geflüsterte Zwiesprach mit der Verwesung. Das ist Mode. Darum wechselt sie so geschwinde; kitzelt den Tod und ist schon wieder eine andere, neue, wenn er nach ihr sich umsieht, um sie zu schlagen. Sie ist ihm hundert Jahre lang nichts schuldig geblieben. Nun endlich ist sie im Begriff, das Feld zu räumen. Er aber stiftet an die Ufer einer neuen Lethe, die den Asphaltstrom durch Passagen rollt, die Armatur der Huren als Trophäe. □ Revolution □ Liebe □ [B 1, 4]

»Plätze, o Platz in Paris, unendlicher Schauplatz,

wo die Modistin, Madame Lamort,

die ruhlosen Wege der Erde, endlose Bänder,

schlingt und windet und neue aus ihnen

Schleifen erfindet, Rüschen, Blumen, Kokarden, künstliche Früchte –«

R. M. Rilke: Duineser Elegien Lpz 1923 p 23 [B 1, 5]

»Rien n’est tout à fait à sa place, mais c’est la mode qui fixe la place de tout.« L’esprit d’Alphonse Karr Paris 1877 p 129 »Si une femme de goût, en se déshabillant le soir, se trouvait faite en réalité comme elle a fait semblant d’être toute la journée, j’aime à croire, qu’on la trouverait le lendemain matin submergée et noyée dans ses larmes.« Alphonse Karr cit bei F. Th. Vischer: Mode und Zynismus Stuttgart 1879 p 106/107 [B 1, 6]

Bei Karr findet sich eine rationalistische Theorie der Mode, die denkbar nahe der rationalistischen Theorie vom Ursprung der Religionen verwandt ist. Den Anstoß zur Entstehung langer Röcke denkt er sich so, daß gewisse Frauen Interesse daran gehabt hätten, einen häßlichen 〈Fuß〉 zu verbergen. Oder er denunziert als Ursprung gewisser Hutformen und Frisuren den Wunsch, einen spärlichen Haarwuchs zu beschönigen. [B 1, 7]

Wer weiß denn heute noch, wo im letzten Jahrzehnt des vergangenen Jahrhunderts Frauen ihre verführerischste Gestalt, das intimste Versprechen ihrer Figur an den Mann brachten? In den gedeckten, asphaltierten Hallen, in denen man radeln lernte. Als Radlerin macht sie der Chansonette auf den affichen die Herrschaft streitig u⁠〈nd〉 gibt der Mode ihre gewagteste Linie an. [B 1, 8]

Das brennendste Interesse der Mode liegt für den Philosophen in ihren außerordentlichen Antizipationen. Es ist ja bekannt, daß die Kunst vielfach, in Bildern etwa, der wahrnehmbaren Wirklichkeit um Jahre vorausgreift. Man hat Straßen oder Säle sehen können, die in allen farbigen Feuern strahlten lange ehe die Technik durch Lichtreklamen und andere Veranstaltungen sie unter ein solches Licht setzte. Auch geht die Empfindlichkeit des einzelnen Künstlers für das Kommende bestimmt weit über die der großen Dame hinaus. Und dennoch ist die Mode in weit konstanterem, weit präziserm Kontakt mit den kommenden Dingen kraft der unvergleichlichen Witterung, die das weibliche Kollektiv für das hat, was in der Zukunft bereitliegt. Jede Saison bringt in ihren neuesten Kreationen irgendwelche geheimen Flaggensignale der kommenden Dinge. Wer sie zu lesen verstünde, der wüßte im voraus nicht nur um neue Strömungen der Kunst, sondern um neue Gesetzbücher, Kriege und Revolutionen. – Zweifellos liegt hierin der größte Reiz der Mode, aber auch die Schwierigkeit, ihn fruchtbar zu machen. [B 1 a, 1]

»Übersetzt russische Volksmärchen, schwedische Familiengeschichten und englische Gaunerromane, wir werden in Dem, was für die Masse den Ton angibt, immer wieder auf Frankreich zurückkommen, nicht, weil es immer die Wahrheit, sondern weil es immer die Mode sein wird.« Gutzkow: Briefe aus Paris II 〈Leipzig 1842〉 p 227/228 Tonangebend nun ist zwar immer das Neueste, aber doch nur wo es im Medium des Ältesten, Gewesensten, Gewohntesten auftaucht. Dieses Schauspiel wie das jeweils Allerneueste in diesem Medium des Gewesenen sich bildet, macht das eigentliche dialektische Schauspiel der Mode. Nur so, als grandiose Darstellung dieser Dialektik, versteht man die merkwürdigen Bücher Grandvilles, die Mitte des Jahrhunderts Furore machten: wenn er einen neuen Fächer als éventail d’Iris vorstellt und sein neues Dessin einen Regenbogen darstellt, wenn die Milchstraße eine nächtliche von Gaskandelabern erhellte Avenue darstellt, »la lune, peinte par elle-même« statt auf Wolken auf neumodischen Plüschkissen liegt, so erfaßt man erst, daß gerade in diesem trockensten, phantasielosesten Jahrhundert sich die gesamte Traumenergie einer Gesellschaft mit verdoppelter Vehemenz in d⁠〈as〉 undurchdringliche lautlose Nebelreich der Mode geflüchtet hat, in d⁠〈as〉 der Verstand ihr nicht folgen konnte. Die Mode ist die Vorgängerin, nein, die ewige Platzhalterin des Surrealismus. [B 1 a, 2]

Zwei laszive Blätter von Charles Vernier stellen, als Gegenstücke, »Une noce en vélocipèdes« Aller – Retour dar. Das Rad gab eine ungeahnte Möglichkeit für die Darstellung des retroussé. [B 1 a, 3]

Eine endgültige Perspektive auf die Mode ergibt sich nur aus der Betrachtung, wie jeder Generation die gerade verflossene als das gründlichste Anti⁠〈a〉⁠phrodisiacum erscheint, das nur denkbar ist. Mit diesem Urteil hat sie nicht so durchaus Unrecht, wie man annehmen könnte. Es ist in jeder Mode etwas von bitterer Satire auf Liebe, in jeder sind alle sexuellen Perversitäten aufs mitleidloseste angelegt, jede ist von geheimen Widerständen gegen Liebe erfüllt. Es lohnt sich mit der folgenden Betrachtung von Grand-Carteret 〈sich〉 auseinanderzusetzen, so oberflächlich sie ist: »C’est avec les scènes de la vie amoureuse que l’on sent, en effet, apparaître tout le ridicule de certaines modes. Tels hommes, telles femmes ne sont-ils pas grotesques en des gestes, en des poses ni le toupet déjà extravagant en lui-même, ni le chapeau à haute forme, ni la redingote serrée à la taille, ni le châle, ni les grandes pamélas, ni les petits brodequins d’étoffe.« Die Auseinandersetzung mit den Moden der vergangenen Generationen ist denn auch eine Sache von viel größerer Bedeutung als man gewöhnlich vermutet. Und es ist eine der wichtigsten Seiten am historischen Kostüm, daß es, vor allem im Theater, das unternimmt. Über das Theater greift die Kostümfrage tief in das Leben der Kunst und der Dichtung ein, in denen die Mode zugleich bewahrt und überwunden wird. [B 1 a, 4]

Vor einem durchaus verwandten Problem stand man angesichts der neuen Geschwindigkeiten, die einen veränderten Rhythmus in das Leben trugen. Auch der wurde erst gewissermaßen spielerisch ausprobiert. Die montagnes russes kamen auf, und die Pariser bemächtigten sich wie besessen dieses Vergnügens. Um 1810 notiert ein Chronist habe eine Dame an einem Abend im parc de montsouris, wo damals diese Luftschaukeln standen, 75 Franken darauf vergeudet. Das neue Tempo des Lebens kündigt sich oft auf die unvermute⁠〈t〉⁠ste Weise an. So in den Affichen. »Ces images d’un jour ou d’une heure, délavées par les averses, charbonnées par les gamins, brûlées par le soleil, et que d’autres ont quelquefois recouvertes avant même qu’elles aient séché, symbolisent, à un degré plus intense encore que la presse, la vie rapide, secouée, multiforme, qui nous emporte.« Maurice Talmayr: La cité du sang Paris 1901 p 269 Es existierte ja in den Anfangszeiten der Affiche noch kein Gesetz, das die Art und Weise der Plakatierung, den Schutz der Plakate aber auch den Schutz vor Plakaten, anordnete und so konnte man, wenn man eines Morgens beim Aufwachen sein Fenster von einem Plakat verklebt finden 〈sic〉. An der Mode hat dieses rätselhafte Sensationsbedürfnis sich von jeher befriedigt. Auf den Grund aber wird ihm allein die theologische Untersuchung kommen, denn es spricht daraus ein tiefes, affektives Verhalten des Menschen dem Geschichtsablauf gegenüber. Man möchte dies Sensationsbedürfnis an eine der sieben Todsünden anschließen und man wundert sich nicht, wenn ein Chronist apokalyptische Prophezeiungen daran schließt und die Zeit verkündet, da die Menschen vo⁠〈n〉 der Überfülle von elektrische⁠〈m〉 Licht blind und von dem Tempo der Nachrichtenübermittlung wahnsinnig werden würden. (Aus Jacques Fabien: Paris en songe. Paris 1863.) [B 2, 1]

»Le 4 octobre 1856, le Gymnase représenta une pièce intitulée: les Toilettes tapageuses. C’était l’heure de la crinoline, et les femmes bouffantes étaient à la mode. L’actrice qui jouait le principal rôle, ayant compris les intentions satiriques de l’auteur, portait une robe dont la jupe exagérée à dessein avait une ampleur comique et presque ridicule. Le lendemain de la première représentation, sa robe lui fut demandée, comme modèle, par plus de vingt grandes dames, et huit jours après la crinoline avait doublé de dimension.« Maxime Du Camp: Paris VI p 192 [B 2, 2]

»La mode est la recherche toujours vaine, souvent ridicule, parfois dangereuse, d’une beauté supérieure idéale.« Du Camp: Paris VI p 294 [B 2, 3]

Das Motto von Balzac ist sehr geeignet, die Zeit der Holle daran zu entwickeln. Wieso nämlich diese Zeit den Tod nicht kennen will, auch die Mode sich über den Tod moquiert, wie die Beschleunigung des Verkehrs, das Tempo der Nachrichtenübermittlung, in dem die Zeitungsausgaben sich ablösen, darauf hinausgeht, alles Abbrechen, jähe Enden zu eliminieren und wie der Tod als Einschnitt mit allen Geraden des göttlichen Zeitverlaufes zusammenhängt. – Gab es in der Antike Moden? Oder hat die »Gewalt des Rahmens« sie untersagt? [B 2, 4]

»elle était contemporaine de tout le monde« Jouhandeau: Prudence Hautechaume Paris 1927 p 129. être contemporaine de tout le monde – das ist die leidenschaftlichste und geheimste Befriedigung, die die Mode der Frau gibt. [B 2, 5]

Gewalt der Mode über die Stadt Paris in einem Sinnbild. »Ich habe mir den Plan von Paris gekauft, abgedruckt auf einem Taschentuch.« Gutzkow: Briefe aus Paris I 〈Leipzig 1842〉 p 82 [B 2 a, 1]

Zur medizinischen Diskussion über die Krinoline: Man meinte sie, wie den Reifrock »rechtfertigen zu können mit der angenehmen, zweckmäßigen Kühle, welche die Glieder darunter genießen … man will [also] auf Seiten der Mediciner wissen, daß jene so belobte Kühle schon Erkältungen mit sich gebracht habe, welche ein verderblich vorschnelles Ende eines Zustandes herbeiführten, den zu verhüllen der ursprüngliche Zweck der Crinoline sei.« F. Th. Vischer: Kritische Gänge Neue Folge Drittes Heft Stuttgart 1861 p 100 [Vernünftige Gedanken über die jetzige Mode] [B 2 a, 2]

Es war »verrückt, daß die französische Mode der Revolutions- und ersten Kaiserzeit mit modern geschnittenen und genähten Kleidern das griechische Verhältnis nachahmte.« Vischer: Vernünftige Gedanken über die jetzige Mode p 99 [B 2 a, 3]

Gestrickter Halsshawl – Cache-nez-Bajadere – in unansehnlichen Farben auch von Männern getragen. [B 2 a, 4]

F. Th. Vischer über die Mode der weiten, übers Gelenk fallenden Ärmeln bei Männerkleidern: »Das sind nicht mehr Arme, sondern Flügelrudimente, Pinguinsflügelstümpfe, Fischflossen und die Bewegung der formlosen Anhängsel im Gang sieht einem thörichten, simpelhaften Fuchteln, Schieben, Nachjücken, Rudern gleich.« Vischer: Vernünftige Gedanken über die jetzige Mode p 111 [B 2 a, 5]

Bedeutende politische Kritik der Mode vom bürgerlichen Standpunkt: »Als der Verfasser dieser vernünftigen Gedanken den ersten Jüngling mit dem allermodernsten Hemdkragen auf der Eisenbahn einsteigen sah, so meinte er alles Ernstes, einen Pfaffen zu sehen; denn dieser weiße Streifen läuft ja in gleicher Höhe niedrig um den Hals, wie das bekannte Collar des katholischen Clerus, und der lange Kittel war zudem schwarz. Als er den Weltmenschen neuester Mode erkannt hatte, begriff er, was auch dieser Hemdkragen heißen will: O, uns ist Alles, Alles Eins, auch die Concordate! Warum nicht? Sollen wir für Aufklärung schwärmen wie edle Jünglinge? Ist nicht Hierarchie vornehmer, als die Plattheit seichter Geisterbefreiung, die am Ende immer darauf geht, den noblen Menschen im Genusse zu stören? – Zudem gibt dieser Kragen, da er den Hals in gerader, scharfer Linie rund umschneidet, so etwas angenehm frisch Geköpftes, was so recht zum Charakter des Blasirten stimmt.« Dazu kommt die heftige Reaktion gegen das Violett. Vischer: Vernünftige Gedanken über die jetzige Mode p 112 [B 2 a, 6]

Zur Reaktion von 1850/60: »Farbe bekennen gilt für lächerlich, straff sein für kindisch; wie sollte da die Tracht nicht auch farblos, schlaff und eng zugleich werden?« Vischer 117 So bringt er die Krinoline auch in Verbindung mit dem erstarkten »Imperialismus, der sich breit und hohl ausspannt wie dieses sein Bild, der als letzter und stärkster Ausdruck der Zurückschwellung aller Tendenzen des Jahres 1848 seine Macht wie eine Glocke über Gutes und Schlimmes, Berechtigtes und Unberechtigtes der Revolution gestürzt hat.« p 119 [B 2 a, 7]

»Im Grund sind diese Dinge eben frei und unfrei zugleich. Es ist ein Helldunkel, worin Nöthigung und Humor sich durchdringen … Je phantastischer eine Form, desto stärker geht neben dem gebundenen Willen das klare und ironische Bewußtsein her. Und dieses Bewußtsein verbürgt uns, daß die Thorheit nicht dauern werde; je mehr es wächst, desto näher ist die Zeit, wo es wirkt, zur That wird, die Fessel abwirft.« Vischer p 122/123 [B 2 a, 8]

Eine der wichtigsten Stellen zur Beleuchtung der exzentrischen, revolutionären und surrealistischen Möglichkeiten der Mode, vor allem auch eine Stelle die eben damit den Zusammenhang des Surrealismus mit Grandville etc herstellt, ist das Kapitel Mode in Apollinaires Poète assassiné Paris 1927 p 74 ff [B 2 a, 9]

Wie die Mode allen folgt: Für Gesellschaftskleider kamen Programme auf wie für die neueste Symphoniemusik. 1901 stellte Victor Prouvé in Paris eine große Toilette aus mit dem Titel: Flußufer im Frühling. [B 2 a, 10]

Cachet der damaligen Mode: einen Körper anzudeuten, der überhaupt niemals völlige Nacktheit kennen lernt. [B 3, 1]

»Erst um 1890 findet man, daß die Seide nicht mehr für das Straßenkleid das vornehmste Material ist, und weist ihr dafür eine bis dahin unbekannte Bedeutung als Futterstoff zu. Die Kleidung von 1870 bis 1890 ist außerordentlich kostbar, und die Änderungen der Mode beschränken sich daher vielfach sehr vorsichtig auf Änderungen, denen die Absicht innewohnt, durch Umarbeitung des alten Kleides gewissermaßen ein neues Kleid zu gewinnen.« 70 Jahre deutsche Mode 1925 p 71 [B 3, 2]

»1873 … wo die riesigen über die auf das Gesäß aufgebundenen Kissen sich spannenden Röcke mit ihren gerafften Gardinen, plissierten Rüschen, Besätzen und Bändern weniger aus der Werkstatt eines Schneiders als eines Tapeziers zu stammen scheinen.« J. W. Samson: Die Frauenmode der Gegenwart Berlin und Köln 1927 p 8/9 [B 3, 3]

Keine Art von Verewigung so erschütternd wie die des Ephemeren und der modischen Formen, die die Wachsfigurenkabinette uns aufsparen. Und wer sie einmal sah, der muß wie André Breton sein Herz an die Frauengestalt im Musée Grévin verlieren, die im Winkel einer Loge ihr Strumpfband richtet. (Nadja (Paris 1928) p 199) [B 3, 4]

»Die Blumen-Garnierungen aus großen weißen Lilien oder Wasserrosen mit den langen Schilfgraszweigen, welche sich so graziös in jedem Haarputz zeigen, erinnern unwillkürlich an zarte, leicht schwebende Sylphiden und Najaden – so wie sich die feurige Brunette nicht reizender schmücken kann, als mit den, zu anmuthigen Zweigen gewundenen Früchten: Kirschen, Johannisbeeren, ja Weintrauben mit Epheu und Grasblüthe vereint; oder: mit den langen Fuchsien aus brennend rotem Sammet, deren roth geäderte, wie vom Thau angehauchte Blätter sich zu einer Krone bilden; auch steht ihr der schönste Cactus Speciosus, mit langen weißen Federstaubfäden zu Gebote; überhaupt sind die Blumen zu den Haargarnierungen sehr groß gewählt – wir sahen eine solche aus weißen Cantifolien (Unica) malerisch schön mit großen Stiefmütterchen und Epheuzweigen, oder vielmehr Ästen, zusammengeflochten, denn es zeigte sich daran wirklich so täuschend das knorrige, rankige Geäst als hätte sich die Natur selbst hineingemischt – lange Knospenzweige und Halme wiegten sich an den Seiten bei der leisesten Berührung.« Der Bazar Dritter Jahrgang Berlin 1857 p 11 (Veronika von G.: Die Mode) [B 3, 5]

Der Eindruck des Altmodischen kann nur entstehen, wo auf gewisse Art an das Aktuellste gerührt wird. Wenn in den Passagen Anfänge der modernsten Baukunst liegen, so hat ihre altmodische Wirkung auf den heutigen Menschen genau soviel zu sagen wie das Antiquiert-Wirken des Vaters auf seinen Sohn. [B 3, 6]

Ich formulierte, »daß das Ewige jedenfalls eher eine Rüsche am Kleid ist, als eine Idee«. □ Dialektisches Bild □ [B 3, 7]

Im Fetischismus legt der Sexus die Schranken zwischen organischer und anorganischer Welt nieder. Kleidung und Schmuck stehen mit ihm im Bunde. Er ist im Toten wie im Fleisch zuhause. Auch weist das letztere selber ihm den Weg, im ersten sich einzurichten. Die Haare sind ein Konfinium, welches zwischen den beiden Reichen des Sexus gelegen ist. Ein anderes erschließt sich ihm im Taumel der Leidenschaft: die Landschaften des Leibs. Sie sind schon nicht mehr belebt, doch immer noch dem Auge zugänglich, das freilich je weiter desto mehr dem Tastsinn oder dem Geruch die Führung durch diese Todesreiche überläßt. Im Traum aber schwellen dann nicht selten Brüste, die wie die Erde ganz mit Wald und Felsen bekleidet sind und die Blicke haben ihr Leben in den Grund von Wasserspiegeln versenkt, die in Tälern schlummern. Diese Landschaften durchziehen Wege, die den Sexus in die Welt des Anorganischen geleiten. Die Mode selbst ist nur ein anderes Medium, das ihn noch tiefer in die Stoffwelt lockt. [B 3, 8]

»Cette année, dit Tristouse, la mode est bizarre et familière, elle est simple et pleine de fantaisie. Toutes les matières des différents règnes de la nature peuvent maintenant entrer dans la composition d’un costume de femme. J’ai vu une robe charmante, faite de bouchons de liège … Un grand couturier médite de lancer les costumes tailleur en dos de vieux livres, reliés en veau … Les arêtes de poisson se portent beaucoup sur les chapeaux. On voit souvent de délicieuses jeunes filles habillées en pèlerines de Saint-Jacques de Compostelle; leur costume, comme il sied, est constellé de coquilles Saint-Jacques. La porcelaine, le grès et la faïence ont brusquement apparu dans l’art vestimentaire … Les plumes décorent maintenant non seulement les chapeaux, mais les souliers, les gants, et l’an prochain on en mettra sur les ombrelles. On fait des souliers en verre de Venise et des chapeaux en cristal de Baccarat … J’oubliais de vous dire que, mercredi dernier, j’ai vu sur les boulevards une rombière vêtue de petits miroirs appliqués et collés sur un tissu. Au soleil, l’effet était somptueux. On eût dit une mine d’or en promenade. Plus tard il se mit à pleuvoir, et la dame ressembla à une mine d’argent … La mode devient pratique et ne méprise plus rien, elle ennoblit tout. Elle fait pour les matières ce que les romantiques firent pour les mots.« Guillaume Apollinaire: Le poète assassiné Nouvelle édition Paris 1927 p 75-77 [B 3 a, 1]

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Yaş sınırı:
18+
Litres'teki yayın tarihi:
13 kasım 2024
Hacim:
1461 s. 19 illüstrasyon
ISBN:
9788026829706
Yayıncı:
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